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1963 à nos jours : « toute l’Afrique noire dite francophone des nègres de services des 14 pays soumis tous sous contrôle expansionniste ». Par Ahmadou Diop

afrique noire-soumiseAu Sénégal, l’étrange, inimitable Tallon d’Achille multimilliardaire au pouvoir par effraction, peut-il servir de contre-pouvoir ? Certainement pas. Il est par nature réfractaire à la démocratie une fois que les sénégalais par leur étourderie massive, généralisée l’ont élu à défaut et par dépit dans des conditions totalement exceptionnelles, inédites même. Que faire donc ? Démissionner, abdiquer par consentement réactionnaire, se courber ou sévir et assurer notre propre survie totalement menacée par un seul homme, qui n’a jamais fait preuve de patriotisme, ni de fiscalisme, encore moins de civisme déclaré, pour dire la vérité, rien que la vérité ?
En Afrique, l’impunité du statut du chef de l’Etat, prend les allures d’un monarque en chair et en os ? Rien ne change et tout continue depuis l’instauration du régime présidentiel. Mais Ici, chez nous, tout le monde sait que l’issue des scrutins de cirque se joue à huis clos dans la cour des voleurs tous solidaires entre eux et en bande organisée.
Il nous faut donc absolument éxplorer l’option alternative distincte des cirques électoraux, qui ne sont qu’une parodie, pour faire beau. Ou alors, voudrions-nous faire de la mayonnaise sans casser les œufs ? Le destin du sénégal vient de lui-même. Cela est aussi valable à l’échelle continentale africaine.
Pour toutes ces raisons, j’appelle donc à la vigilance et à l’activisme politique des sénégalais d’user de leur réflexe patriotique par un sursaut national pour contraindre Macky Sall, qui utilise lâchement sa posture pour qu’il revienne à de meulleurs sentiments, et qu’il verse de l’eau dans Bissap, car le Sénégal n’est pas sa propiété qu’il prétend détenir par la force et croire pouvoir parquer tous les citoyens, de sorte qu’il demeure éternellement au pouvoir.
A dessein de sauver leurs sièges éjectables, les élites politiques, demeurées en auixiliaires indigènes, s’exécutent machinalement et suivent à la lettre la feuille de route qu’on leur a tracée.
Toutes ces élites politiques, mercenaires sont arriméées et à la solde de la suprémacie blanche bon teint, qui dicte sa loi tyrannique, selon ses propres intérêts économiques des soubassements politico- financiers en bandouilière passent par l’entregent des prétenus accords de défense bidon, totalement obsolètes.
Comment faire en sorte que le rapport de change de camp, pour que nous soyons libres et capables d’opérer une nette rupture pour toute l’Afrique ?
De 60 à nos jours, toutes les braves élites qui ont voulu être libres et tracer leurs chemins et assurer l’indépendance monataire nationale, politique, économique, ont été éliminées une par par une, sans encombre ?
Du congo, en passant par le Togo, le Congo Brazza, La Rdc, le Gabon, le Cameroun, le Niger, le mali, le Burkina Faso, la Côte d’ivoire, jusqu’au Sénégal, des coups d’état ont été habilemment orchestrés pour mettre des pantins et des suppôts dociles à la tête de tous ces pays satellites de l’ancienne puissance coloniale.
Les populations trépassent et trinquent, mais en définitive, « seuls les sous-marins-américano français », asservis, restent au pouvoir pendant 50 ans, quand bien même les aptitudes de la tyrannie politique, parentale se transmettent allégrement de pères en fils, pillent, tuent la démocratie, l’expression du peuple, qui est le premier droit d’un peuple, puisqu’ ils n’en ont cure, car ils violent en toute impunité les droits de l’homme, emprisonnent tout citoyen et déportent à tout vent tout opposant réel ou supposé, qu’il leur fait de l’ombre. Certains bourreaux, génocidaires, autoproclamés victimaires, s’offrent le loisir d’assassiner dans le silence et sous la barbe et le nez de la Communauté internationale, visiblement sourde, muette et aveugle.
Pour parvenir à leurs fins, la sarabande pressureuse, corrompue, se met en jointure avec la servitude de référence, qui assure le service-après vente de la propagande pour les dédouaner et les décharger de tout.
Le comble du comble, c’est que les mêmes cambrioleurs,transmués en talibans nègres de services, détournent grossièrement les deniers de l’état qu’ils mettent dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets, bidouillent aisément les constitutions étrangères, bidon, étranglées et taillées exclusivement sur mesure pour leur propre gloire, comme si les populations africaines ne valent plus que les animaux, pendant que des milliers d’africains prennent le largent et bravent les océans maudits, truffés de requins et parfois au péril de leurs vies..
Certaines organisations internationales, clientélistes des politiques, mondialistes, en particulier, un nombre important d’ong, très bavardes, qui sont financées par l’impérialisme bipolariste, se déclarent apolitiques, soi-disant philantropiques ou supposéés humanitaires, ne sont en définitive que des mercenaires, tranformés en bras armés, pour n’être que les espions des puissances colonialistes, masquées, lesquelles tirent par derrière les ficelles.
Selon certains spécialistes libres qui sont bien fournis en la matière, disent haut et fort que ces prétendues organisations caritatives roulent exclusivement pour les beaux yeux des oligarchies financières politico- militaro-industrielles, portent elles mêmes l’estampille des stratègies géopolitiques, nous tarabiscotent à longueur de journées les droit de l’Homme, sont les symboles et les outils de ceux qui nous opprimment. Certaines sont déclarées personna non grata en inde et ailleurs dans les pays libres et indépendants. C’est le cas des nations émergentes qui disposent de leur souvarenaeté monétaire, politique et éconmique.

Dans un débat intitulée, FACE A L’AFRIQUE-LA PAUVRETÉ EN AFRIQUE: LE RÔLE DES ONGS ET LEUR UTILITÉ (ROGER BONGOS), auquel Sidy Fall du MSU FRANCE a participé.
L’un des pécialistes sur la question, qui n’a pas sa langue dans sa poche, a montré du doigt les commanditaires directs politiques. Croire qu’elles défendent des valeurs et je ne quoi, relève assurément d’une candeur déconcertante.
Quand l’hypcrisie tient le monde. L’humanitarisme rime avec racisme voilé. C’est la régle érigée d’une idéologie parfumée au choc des cultures.
Au passage, revisitons donc l’histoire ! L’Egypte antique noire du pied à la tête a été la première à initier l’action humanitaire. Mais les falsificateurs historiques se l’approprient et s’en accaprent au nom de la soi-disant mission civilisatrice, supposée salvatrice.

Reparlons donc du sommet-Etats- Unis et des chefs d’état africains qui furent convoqués par Barak Obama au moment où le virus Ebola tue des milliers d’africains ! Qui a donc inoculé le virus Ebola en Afrique, et dont- l’objectif ne vise qu’à réduire par la ruse, leurs récessions capitalistes, économiques galopantes ?
Le thème sur le virus Ebola avait même défrayé la chronique et suscité un vif débat dans notre Radio Sunuker : la première Radio FM à Los Angeles en Californie.
Face à l’Afrique : le rôle des ONG et leur utilité, le journaliste (ROGER BONGOS) , rappelait les termes de l’ancien Secrétaire d’Etat américain, Collin Powell, qui déclarait, nous le citons textuellement : « nous avons les meilleures relations avec les ong qui sont en tels multiplicateurs de force pour nous, une partie importante de notre combat ».
Et pouratant, Collin Powell avait pourtant menti par rapport aux armes de destruction massives en irak
Pour rappel, Michel Rocard, qui fut le premier ministre de la France, déclare au journal français Le Monde en 2010 : « au moment où l’Elysée apprenait ce projet, Mamadou Tandjan est resté au pouvoir une semaine et on a organisé la chute de son gouvernement ». Car le fils du président nigérien avait pris contact avec la Chine, pour développer le projet d’un train, passant par la côte d’ivoire, le burkina Faso, le Togo et le Bénin.
Laurent GBAGBO, le détenu politique dans les geôles de la CPI de la Communautariste blanche suprémaciste, ne nous démentira pas.
Ce n’est pas une première au niger, car Hamani Diori qui voulait nationaliser l’uranuim a subi un coup d’état et s’était refugié au maroc, alors que sa femme Aïchatou Diori a été assassinée lors du coup d’état le 15 avril 1974, opéré par Seyni Kounché, pion et ethniciste.
Depuis le 11 avril putsch 2011, on organisé un hold-up électoral, suivi par des tonnes de bombardements incessants contre le palais du président Laurent GBAGBO , le vainqueur et le tigre de réel, qui ont pourtant entrâiné des milliers de civils, ivoiriens, innocents, victimes. Que fait-on donc de ces infractions ? Et qui sont les véritables responsables de ces crimes imprescriptibles ? En vérité, on a arrangé en Côte d’ivoire, une vaste escroquerie politique, que l’ona savamment légalisée, de sorte qu’elle soit sous le joug du colonialisme hexagonal, côté de la Seine.
Comme par hasard, Laurent GBAGBO, qui a été déporté à la Haye, voulait libérer son pays pour le sortir « de la monnaie Nazie du F CFA », est accusé de crime contre l’humanité. Et pourquoi donc La CEI, dirigée par Bakayoko, membre du parti d’Alassane Ouattara, qui aurait refusé un nouveau décompte des voix comme le proposait Laurent GBAGBO ? Et pourquoi la Communauté Internationale avait-elle décrété le challenger, Alassane Ouattara, comme étant le vainqueur réel. Pourquoi et à quelle fin ?
Macky Sall himself n’agit jamais en tant que président de la république, mais en tant que chef de clan, utilise massivement et abuse de la force publique, profite de tous les moyens de l’état, sous le fallacieux postulat de l’éternel conseil des ministres- Qui finance l’Etat- APR à Pikine et partout ? Curieusement, celui qui arrose son propre parti politique cliniquement clanique, acte sa campagne électorale déloyale, et se fait inviter comme si tout est transparent, alors qu’il n’en est rien.
L’immunité du statut du chef d’Etat rime avec impunité. La classe politicarde et la presse farandole n’osent l’aborder directement, de peur qu’en tendant leurs sébilles devant le seul guichet automatique, les engraisse tous par les spectacles permanents des deniers de l’état, qui se nourissent de péchés, n’auront plus leurs pitances.
Macky Sall va passer quatre nuits à Rufisque et un peu partout et dépense sans compter l’argent du contribuable. Il abuse de tous les moyens de l’état sans modération aucune et imprime sa marque de fabrique. On est où ?
Macky Sall oriente la presse et dicte sa loi, « dépoussière » automatiquement les noirs des uns et des autres, qu’il sélectionne, trie au volet, , mais prend le soin d’épargner ceux de son camp, benno bok yakaar, en particulier, l’apr, tous coupables.

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