De la Disjonction en Cascades À la Platitude d’une Gouvernance de la Flétrissure et ses laquais. Par Ahmadou Diop.
Chez les pègres nègres de service de naissance les mensonges suintants, constituent une vocation qui les poursuit durant leurs vies et jusqu’à leurs morts.
Je vous l’avais promis, Macky Sall ne fera que » du réchauffé » dans son habituel discours scandaleux de fin d’année. C’est le spectacle permanent de l’enfumage classique en continu. Chose promise, chose due.
Le Professionnel, Expert Menteur qui n’en démord jamais, embellit son piètre bilan, martèle dans son monologue : l’année 2017 s’achève sous de beaux offices dans tous les secteurs, avec à l’appui le chiffre bidonné, qu’il réajuste à 6, 8 %, passera en perspective à 7%, en 2018. Réécoutez mon Emission » Xew Xewi Rewmi » de Sunuker.com de la semaine dernière !
En cinq ans de gouvernance boiteuse, plus de 400 Compagnies nationales ont mis la clé sous le paillasson.
Autrement dit, l’affichage du taux de croissance imaginaire, ne reflète nullement la réalité sur le terrain, en termes d’emplois pérennes.
Et le champion pimente ses réalisations tout azimut, notamment les constructions d’universités ici où là.
Aucune surprise pour nous autres. Car nous avons entendu un verbatim creux et verbeux de la part d’un capitulard, affabulateur, maître des faux bonds, qui accouche ses longues litanies de sa politique de platitude. Le discours idyllique est parfaitement en contradiction avec la gestion calamiteuse d’une gouvernance népotique, dans laquelle le favoritisme et les charrettes d’arrestations massives en continu et dans le sens unique d’un camp, présumé judiciaire, portent essentiellement des procès politiques en arrière-plan et des entournures qui obéissent à des critères totalitaires, tendant à réduire dans sa plus simple expression toute capacité de résistance.
Celui qui a commandé dans le secret des dieux les inepties cataclysmiques, concernant la soi-disant la récupération des 200 mrds de FCFA des biens mal acquis, ou la médiation Fénal, confirme par derrière et naturellement les déclarations hystérique de son ex Ministronne de la justice et garde des sceaux, Mimi Touré.
Une bourrique qui fait peser son épée de Damoclès sur l’ensemble d’un pays qui l’accepte, et, tremble, telles des feuilles mortes, est-il vraiment à la hauteur ? Notre pays marche sur la tête. Le Sénégal n’émergera jamais, tant qu’il toujours sera entre les mains des insignifiants, opportunistes et des arrivistes de tout bord.
Soyons debout et fiers de l’être ! Nous passons tout notre temps à mettre en orbite des nègres de service, ce qui fait que nous nous inscrivons dans le prolongement du colonialisme soft et dans la dynamique de la dépendance de l’asservissement. C’est bien les conséquences des politiques générales de tous les gouvernements africains des 14 pays qui sont constamment sous tutelle coloniale, depuis les indépendances formelles de l’indignité.
Pis encore, nous nous mettons en porte à faux avec nos grands résistants et nos soufis. C’est comme si La France, qui a été occupée par les nazis en 1945, dresse à la place publique les symboles du négationnisme.
Nous devons revenir aux fondamentaux au lieu de laisser le terrain aux valets qui ne défendent leurs que leurs propres intérêts et ceux de leurs maitres colonialistes. Il est temps de nous réveiller, et d’ouvrir nos yeux, pour voir la réalité ! Nous n’avons pas des élites libres et à la hauteur, à la place qu’il faut et à l’endroit, mais des médiocres à l’envers du décor et des farandoles fantoches qui ont les consciences totalement abîmées, et qui empruntent les habits culturels, venus d’ailleurs, pour nous tromper et nous dominer.
Il va de soi que dans ces conditions, n’importe quel minable-imposteur, flibustier, qui ait de longues dents, de façon incantatoire et attentatoire, fût-il un milliardaire, insolite, ténébreux, peut avoir son envol fulgurant, et acquérir ainsi une célébrité par des pirouettes décousues, une promotion sociale politique, aussi vite que la vitesse du son et de la lumière réunie, grâce aux largesses et à la bénédiction de l’inadvertance de son créateur, inattentif, peut être catapulté avec fracas du jour au lendemain à des postes de haute stature, qui dépassent de très loin et , son cursus standard et sa capacité intellectuelle et ses expériences bidon et son CV, bidonné, de fond en comble, aura tout le loisir de gravir tous les échelons, pourrait émerger sûrement sans encombre, ni entraves au plus haut sommet de l’état.
Un peuple oublieux, qui abdique, s’agenouille, se laisse divertir par une minorité de traitres , médiocres, goinfrés, dont l’euphorie et l’arrogance en disent long sur leur lâcheté, un tel peuple, quoique l’on puisse dire, ne mérite que ses dirigeants pantouflards.
En lieu et place d’une véritable rupture, nous avons au sommet de l’état sénégalais vassalisé, des ramassis et des incultes faussaires professionnels profanateurs agitateurs, esbroufeurs lamentables négationnistes ethniques, n’ont que des insultes à la bouche et des invectives, qui tentent de compenser leur brutalité par des méthodes fascistes auxquelles il faut mettre un terme
De la parodie référendaire en passant le braquage électoral permanent, symbolisées par les législatives cataclysmiques, jusqu’aux lamentables procès politiques, polluants, qui tous sont décousus de fond en comble dans le ciel obscur sénégalais, depuis le regrettable triste, historique du 25 mars, 2012.
Décidément, le mot n’est pas de trop, pour qualifier le phacochère, surnommé le défroque victimaire des leurres et ses semblables s’engraissent tous sans scrupules, ni vertu, ni retenue, tels des éléphants, au point qu’ils restent tous méconnaissables, impassibles, au regard de la morale, tandis que la rupture des mensonges épouvantables, qui s’effiloche peu à peu, se conçoit par la saignée, les larmes et le sang des citoyens, majoritairement écartés, sont volontairement relègues au rang de seconde zone. Telle est l’approche approximative des goinfrés, multimilliardaires de la dernière heure, qui poursuivent du haut de leur ignorance et leur boulimie, les uns et les autres, qui sont présumés illicitement si riches par les mêmes raccourcis politiques, tous ou presque ont détourné les deniers de l’état sous la barbe et au nez de tout le monde avec une désinvolture surannée, en toute impunité.
De 2012 à nos jours, rien n’y fait. 2018, comme toutes les autres années, qui se ressemblent, l’homme ne déroge point à la règle.
Après les fêtes de noël, l’Escobarderie des procès surréalistes, politiques, à caractère totalitaire, programmés, reprendront de plus bel leur droit, sans éthique, ni équité, à dessein de croire garder le pouvoir par des méthodes fascistes, décriées. C’est une litote pour dire que la lâcheté est devenu l’apanage des médiocres, coalisés.
Que nenni, car sans discontinuer nous assistons, sans répit à la rhétorique chevaleresque de caniveau d’un larbin et ses esclaves, emmitouflés aux cavalcades riment avec la fuite en avant et la capitulation d’un nègre de service monstrueux, lequel s’arroge typiquement ,se distinguera encore affreusement dans son rôle d’affabulateur, fantoche, burlesque, en chair et en os, pourri de la tête aux pieds, se métamorphose étrangement de plus en plus au fil des années comme étant l’apôtre des girouettes et des pirouettes exceptionnelles, corrosives, dont il a l’unique secret devant l’éternel, démontre piteusement et à la place publique par sa servilité et ses deux nervis, interposés.
Selon Cheikh Anta diop, l’égyptologue, le scientifique hors-pair de classe exceptionnelle et de renommée internationale, le kamit panafricain, l’homme charnière, la figure de proue, l’organisation des sociétés africaines avant la pénétration coloniale était supérieure ou analogue à celle de l’Europe
De la rupture à la Platitude comme Mode opératoire d’une gouvernance de la racaille de la charogne des garnements et ses rituelles ritournelles pestilentielles, empestées.
C’est ça la conception étriquée, de ceux qui nous dirigent d’une main de fer, nous imposent la fatwa ubuesque , symbolisée par la fuite en avant d’une gouvernance des leurres et des pantalonnades avec sa caste de cancres en jointure, qui s’accommode piteusement et se complaît dangereusement à la tromperie, dont l’attitude scandaleusement manifeste et la capacité démesurée, sont substantiellement conformes à leur petitesse d’esprit.