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Et le Traitre Satanique Flagorne ses Dysfonctionnements et ses Manquements en vérité éternelle devant l’éternel. Par Ahmadou Diop.

La semaine de la jeunesse, un cadre de dialogue et de réflexion, selon Macky Sall.

Voilà donc un menteur-professionnel, mécréant, profanateur dans l’âme jusqu’à l’abime,  qui est toujours pris la main, ipso facto  dans le sac, ne s’encombre  outre mesure d’aucune parcelle de moralité, n’a la moindre étoffe d’un Kilifeu-ment plus qu’il ne respire !  C’est inscrit dans  son ADN en lambeau.

Les mystifications cataclysmiques sont  désormais devenues une religion d’état et une pathologie inguérissable chez l’attardé mental, qui  est dénommé le Caniche, chouchouté de  l’Occident, digne de son rang,  s’en  accommode piteusement.

 Selon  la conscience mutilée du nègre de service,  les promesses de campagne électorale n’engagent que ceux qui y croient.

 Dialoguer, est synonyme  d’abus sans vergogne,  pour tromper expressément  et   imposer sa  propre  loi  tyrannique.

 C’est  bien  ça  la marque de fabrique  du renégat,   qui est arrivé par  effraction au pouvoir  et à cause de   l’esclandre de ses mrds  de  F CFA qu’il a bien volés dans les deniers de  publics.

Le personnage curieux  n’en démord jamais, n’en a cure,  n’a que  des faveurs, a bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre.

Un tel pédigrée indigne, méconnaît totalement les arcanes d’un état régalien, civilisé.

Comme on s’y attendait,  la justice  politique de la sarabande  alignée, instrumentalisée par le fasciste,  tortionnaire,  au service du despote, juge et partie,  condamne  5 ans de prison ferme  khalifa Sall.

 La  bande des marionnettes toujours promptes   qui font durer le suspense, pour faire croire à une justice  sereine libre, indépendante et souveraine,  s’est distinguée   davantage et de plus en  une fois, a prêté le flanc par sa singularité, ne rend pas jamais un verdict  équitable,  fondé sur l’éthique et  l’équité, au nom du peuple par le peuple et pour le peuple,  mais  selon  le diktat  pathologique   du  petit  » Hitler Nédo ko Bandoum » en place .

En vérité,  la séparation des pouvoirs au sens élevé du terme,  est  devenue une notion abstraite,  n’existe pas, lorsque  la constitution moribonde autorise par devers  la  monarchie présidentielle, s’adjuge la piètre qualité de président du haut conseil supérieur de la magistrature,  nomme par décret  présidentiel  et  le conseil anticonstitutionnel et ses juges et ses  magistrats  et les  tous les corps de contrôle prétendument institutionnels.

Donc, il n’y a pas d’outrage à magistrat ».  La notion d’outrage à des magistrats et ou d’offenses au chef d’état est  déshonorée.

Qui offense  tout le  pouvoir du peuple,  si ce n’est  le chef de clan et ses valets «  doungourous » tous  en jointure ?   Le député Bathélémy Dias appelle les gens à se mobiliser pour dire non.  De toute façon, il est tout à fait légitime que tout  le peuple puisse  se lever, face à un traitre, qui s’est renié sur  toutes  ses promesses électorales pour lesquelles il a été élu par dépit et à défaut  dans des conditions totalement exceptionnelles inédites.

  Rappel : Macky Sall  en 2012,  défiait le régime de Wade,  jusqu’à   menacer  ouvertement de créer un gouvernement parallèle, en cas de victoire D’Abdoulaye Wade.  Qui trouble  aujourd’hui l’ordre public, menace la paix, la stabilité, la cohésion sociale et l’unité nationale ?  Évidemment, c’est le cancre, médiocre de la référence qui est  au plus haut  sommet de l’état sénégalais.

 Si ce dernier [Abdoulaye Wade] l’avait voulu, il l’aurait  arrêté immédiatement  pour atteinte à la sureté de l’état et déstabilisation des institutions de la république.

Peut-on parler  d’une  véritable justice,  régalienne  impartiale, équidistante,  indépendante, libre et souveraine entre le pouvoir politique et ses concurrents, lorsque celle –ci  se met au garde-à-vous, fait le sale boulot,  est nommée par le président de la république, quoi est en même temps de parti politique,  trie au volet ceux que l’on doit juger ou non, selon qu’ils soient au bon ou mauvais endroit ?   » koulay abal ay bët  molay wax fi ngay xool « .

Quand  la justice décriée,  dévie de sa trajectoire, abdique par son  caractère blasphématoire,  et son  consentement réactionnaire,  s’aligne  mécaniquement  sur la pensée   fasciste  d’en haut,   il faut la dénoncer tout haut, sans retenue, car elle   ne peut être au dessus des lois

Il y a lieu de parler de  la lâcheté  d’une justice  hérétique, embrigadée,  laquelle est  arrimée  à   la débauche, se laisse brider   par le pouvoir tortionnaire ethnique.

Le despote a-t-il donc  gracié    khalifa Sall ? Tout est possible.  Il n’y a pas de fumée sans feu.

Les rabatteurs, acrobates  politicards-  mercenaires demandent  à Macky Sall de gracier  khalifa sall. Cela veut dire  que le délinquant dictateur, financier,  cynique et lâche de classe exceptionnelle  par son banditisme,  qui  s’arroge le  seul juge du Sénégal,  connaissait-il  déjà  le verdict  qu’il dictait  dans le secret des dieux à son juge, Malick Lamotte ?

Avons-nous affaire à  » un BUUR »,  autoproclamé des Grâces monarchiques ? Tout comme l’affaire Karim,  Macky Sall, qui a  condamné khalifa Sall,  le graciera-t- il,  pour le disqualifier de se  présenter aux élections présidentielles de 2019 ? Une bien curieuse  méthode fasciste de toute l’histoire du Sénégal à nos jours.

Il n’y a aucune surprise sur le verdict  tant attendu contre khalifa Sall, le maire de Dakar. C’est la chronique annoncée d’un  couperet  qui tombe comme un secret de polichinelle.  Le planificateur   par sa  justice interposée   de la pensée mécanique, avait déjà   fixé d’avance le scénario.  Le réfractaire  en chair et en os  à  la démocratie  par sa lâcheté  gagne  à tous les coups, depuis le 25 mars 2012. Telle est la conception  limitée  sur  sa justice dévergondée.

Le pouvoir est si sacré qu’il  faille réfléchir à deux fois   et  rigoureusement  avant de le confier à un revanchard rancunier de naissance.

Maintenant  la question est  de savoir comment nous  en sortir  du guêpier infernal, en dehors  du suffrage universaliste,  qui  reste la   boîte de pandore  chez les nègres de service ?

Nous ne pourrions   compter sur les  comédies électorales. Il n’y a que le rapport de force qui puisse changer l’affront  pour corriger le tir, et remettre, demain, notre  état de droit   sur les rails.                                                                                                                                                              Et la  CMU ?  Un copier coller- de piètre qualité  que le nègre de service   met en exergue,  n’est qu’une vaste escroquerie gigantesque  d’un Tissuthèque de mensonges politiques, nous renseignent sur   un trompe-l’œil, ou l’habillage  surréaliste d’un foutoir, cousu de fil blanc, ne tient pas.

Nos  hôpitaux  sont devenus  des mouroirs,  manquent  de tout. Pendant qu’il [ Macky Sall ] dilapide à tout vent  toutes les finances publiques, voyage partout à l’échelle planétaire internationale, en endettant  l’état sénégalais qu’il n’est obligatoire.

  Et le Diable, Minable, met en bandoulière l’inutile Centre international Abdou Diouf à Diamniadio, a coûté plus de 50 MRDS de F CFA, pour le plaisir et les beaux yeux  du  champion de la francophonie, auquel s’ajoutent le coûteux  palais présidentiel [100 MRDS de FCFA]  et   le chantier du Ter inopportun [ avoisine la bagatelle de 1365 MRDS de FCFA, et ceci  sur  une commande du même gendarme colonial,  qui impose sa  loi et  par devers  ses entreprises  pour le construire.

On se passe des prétendus bien entendu,  des  accords de défense  avec ses clauses secrètes, qui sont destinés  à  asseoir durablement  l’hégémonie et la mainmise de la France aussi longtemps que cela sera nécessaire, pour protéger simultanément et de façon concomitante   ses intérêts et  ceux de son valet, chouchouté,  immédiat et toute sa famille.

 N’en parlons pas du nazisme monétaire, depuis 1945 à nos jours, et ses conséquences cataclysmiques sur le Sénégal !

 Plus de 50%  des réserves de change sont déposés  au trésor français, à travers des comptes d’opération,  dans l’ensemble des  14  pays  africains, dits honteusement francophones, en tète desquels  des fascistes,  où le pouvoir se conçoit exclusivement   dans la famille et au clanisme.

 Et Total, Eiffage dans tout cela   ?

 Le deuxième,   a signé un contrat de 30 ans pour l’autoroute à péage.  La souciété française,   a l’exclusivité  des stations d’essence.   La même compagnie pétrolière, renforce son retour entre  avec fracas,  pour l’exploration et l’exploitation de concessions pétrolières « en offshore profond » au large du pays.  À cet effet, elle obtient  la signature deux accords :

Le premier accord porte sur le permis de « Rufisque Offshore Profond », au sud de Dakar, « dont Total sera opérateur » et détiendra 90% aux côtés de la Société nationale des pétroles du Sénégal (Petrosen).

 Pour  le deuxième accord, Total a signé concernant un autre lieu « un accord de coopération » avec Petrosen[ Abdou Rahmane Seck dit Homère,  beau-père de Macky Sall,  dirige cette entreprise , qui est de droit sénégalais, soi-disant  pour  réaliser « une étude de la zone en mer très profonde » pour « en déterminer le potentiel » et « devenir opérateur d’un bloc d’exploration ».

NB : le placement d’Abdou Rahmane Seck à Petrosen,  est nommé PCA. Ce qui en dit long  sur des trahisons multiples, parmi tant d’autres, infinis et à la pelle,  dont Macky Sall,  est le coupable devant l’histoire.

Et ce n’est pas tout, puisque  Orange, qui est une filiale de France Télécom, a le monopole, assure  elle seule, la passerelle des Télécommunications du Sénégal. Tout passe au peigne fin.

 Et même l’éducation qui n’échappe pas non plus  à la règle,  sera  assurée par les français, sont appelés  à  former les formateurs sénégalais, sont tous  classés de seconde zone.

 Et   la reconstruction de la  langue  de  barbarie, à St Louis, sera confiée aux mêmes compagnies françaises,  qui se frottent les mains, obtiennent automatiquement toutes les parts de marché  et sans aucun appel d’offre.

 La réélection de la taupe, qui plaide pour la cause coloniale constituera un risque majeur et  danger public supplémentaire multiplicatif,  le mettra à l’aise, lui permettra  de parachever son régime fantoche, décrié. Mais faut-il que nous puissions  prendre la mesure de la  gravité exceptionnelle ?

 Toute chose est égale par ailleurs.  L’étrange  politique du nullard ressemble fort à celle de son pédigrée, ivoirien, lequel disait que les ivoiriens ne l’aiment  pas parce qu’il est musulman. Alors, son acolyte sénégalais, qui lui ressemble comme une goutte d’eau, s’y loge comme une teigne  dans cette brèche, se dédouane  et se décharge de tout, fulmine « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un attentat ».

 Un tel discours décousu d’un flibustier, imbu de sa personne qu’il se fait de lui-même,  est destiné à cristalliser les esprits candides, ne vise qu’à  marcher sur les plates bandes  des politicards outre atlantique, et  pour  faire les yeux doux  à la démocratie  mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie,  autoproclamée  faiseur de roi et d’opinion.

 Le Machiavel  en place,  passe tout son temps  à  inverser les rôles, ne  prend en compte que  sa  forfaiture  qu’il  tente de  travestir  en label  de la bonne gouvernance vertueuse, transparente, que sais- encore ?  Le personnage  curieux  continue sa fuite en avant,  s’érige constamment en victimaire des leurres, tandis qu’à yeux,   les politiques  et les sénégalais,  qui dénoncent  ses rapines   politiques restent et apparaissent  tous   comme étant   les  éternels coupables.

 Et  Le  Traitre Satanique  Flagorne   ses  Dysfonctionnements et ses Manquements  en  vérité éternelle devant l’éternel.

le cynisme profanateur  de l’apostat en place,  repose  essentiellement sur   les  médias interposés,  qu’il monopolise, privatise,  comme ses instruments  politiques dociles, lesquels plaident  pour sa propre cause égoïste.

Le traitre   se  constitue en éternelle victime,   jouit  du pouvoir, en  sauvant par ricochet  et   les intérêts colonialistes, place  toute   sa famille immédiate au cœur de l’état  et  son  ethnie,   qu’il  harnache par derrière, les   considère,  et  » bénit sa propre  loi « .

Alors, si par extraordinaire  et dans l’hypothèse impensable,  où nous  réélirons encore l’imposteur,   le fantoche, en 2019,  son règne sera  plus féroce  que  ceux des Bongo I, Bongo II et des Eyadema  réunis.

 Que l’on  ne nous dise pas, demain « –YALLA  MOKO  FALATI  MOKO DOGO  LATI MOKO FI TEGATI ! « 

Sur ce plan là, l’armée nationale a sa  large part de responsabilité. Car il n’y aura pas d’autre choix.  On ne discute pas avec un traitre-minable, hargneux, qui croit avoir un droit de vie ou de mort sur nous. Il faut lui opposer systématiquement  la  force d’en face, et qu’il rende le tablier et  des comptes. ! Car la coupe est déjà pleine, et  tout n’est pas permis dans notre pays,  et qu’il se tienne pour dit !

Un voyou est un voyou, un minable est un minable, un voleur est un voleur, un lâche est un lâche, qu’il  faut le traiter comme tel.

Le  rancunier-revanchard,  un  voleur Spécial pickpocket de tous les temps,  qui s’est lui-même  enrichi  gloutonnement, abusivement,  miraculeusement, scandaleusement  et lamentablement   par les raccourcis politiques et dans  des postes de nomination – Tan Sa Bula Nex de la fourberie- traque, chasse par  sa justice instrumentalisée, interposée, ses potentiels concurrents, qu’il accuse d’emprunter les mêmes chemins douteux.

 Alors,   les discours courtois,  modérés, édulcorés, sont  désormais obsolètes et bannis.  Il faut appeler les choses  par leurs noms.   Place Maintenant  à l’art de la vérité, qui tient lieu de contradictions subliminales et  à  caractère épistolaire !

 Par devoir moral et au nom du peuple par le peuple et pour le peuple,  nous nous  inscrivons en  porte à faux  avec  la pensée mécanique,  nihiliste, rédhibitoire, selon la quelle  un   voyou, déclaré, et non éclairé, fût-il un soi-disant de la république de circonstance et ses valets  proxénètes,  timbrés  des  hors-la-loi,  tous  sont casés  dans les plus hautes   structures  de l’état  et  au nom  de l’immoralité suintante.

Et  sait dieu qu’ils  n’ont  ni   les compétences, ni  les  expériences, requises,  avérées, ni  la moindre  intégrité, continuent de bénéficier allégrement  des largesses  indues de l’incongruité sidérante, s’érigent pitoyablement  en gardes- chiourmes,  ignobles, du haut  de  leur  ignorance et de leur rang,  puissent   nous  mettre et   par leur vacarme démesuré, dans une bouteille en permanence ?

Le peuple  Sénégalais,  est libre, souverain et indépendant,  fera vent débout et fier de l’être,  comme un seul homme,  vaincra   ce  larbin, qui  sévit  de jour comme de nuit en intelligence  totale  avec nos oppresseurs, n’aura de compte à rendre à qui que ce soit, et quelles que  soient  la puissance de feu et les  logistiques de ses souteneurs, tapis dans l’ombre.

Quand nous sommes menacés par le label d’un franc-maçon, qui s’est transmué  lamentablement  en malfrat flibustier, faquin lâche,  le devoir de réserve qui  n’a pas de sens, est source de trahison et de  complicité avec le pouvoir ethnique, tortionnaire, n’agit  que de la sorte,  qu’il considère  comme sa seule   vocation. Point barre !  C’est la seule solution possible, qui vaille, si nous voulons aller de l’avant, à l’instar des  grands pays, qui ont leurs histoires matériellement prouvées.

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