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Immunité\Impunité de la Monarchie Présidentielle et l’Alliance Caractérielle Politico- Intégralement Intégriste -Ethnique-Affairiste. Par Ahmadou Diop

Immunité\Impunité de la Monarchie Présidentielle et l’Alliance Caractérielle  Politico-  Intégralement Intégriste  -Ethnique-Affairiste.  Par Ahmadou Diop

Le Statut d’Immunité  du chef d’état  rime  avec  impunité, dans les faits qui parlent d’eux-mêmes.

Nous ne cesserons jamais  de le marteler à tout vent et tout haut, publiquement : le coup d’état permanent, totalitaire du régime présidentiel.  Une ignominie que ne l’on saurait passer sous silence, n’en déplaise à la bande des traitres, arrogants, unifiés.

Le Statut d’Immunité de la  monarchie présidentielle, qui est source  d’Impunité,  porte un caractère totalitaire  par définition,  un  habillage odieusement   légitimaire,  est à bannir. Le Statut d’Immunité  du Chef d’état monarchique : ou l’impunité irréversiblement  scandaleuse,  usuelle, passe habituellement  sous silence dans la cour des voleurs en bande organisée.  En vérité, les politicards l’esquivent savamment et pour cause, l’occultent sciemment pour le pérenniser, afin d’être les bénéficiaires de demain.

Le paysage singulier sénégalais qui très loquace,  n’a pipé un seul mot sur les pouvoirs exorbitants  et les dérives  du régime présidentiel,  symbolisé par cette marchandise avariée- trompe l’œil,   telle  qu’elle  est conçu e chez nous,  et dans laquelle, les mensonges couscous de fil blanc prennent le dessus sur la vérité éternelle. Pas une seule  vox sur la question n’ait  audible.    Car ne rien dire, c’est consentir et se complaire, surtout lors qu’il s’agit  d’une   affaire publique essentielle, vitale   qui engage  l’avenir de notre pays.

Apparemment, la classe politique  dans son ensemble semble avoir d’autres  priorités  que de  défendre la charte de bonne gouvernance, pour changer radicalement  le visage de nos institutions  qui sont   nettement embardées  au regard de la morale.

Commençons par décrypter et les bourdes du Le directeur de la police demande à la population d’interférer, d’intercéder entre le citoyen et l’agresseur !

Oumar Maal, abdique,  le Mal, qui mérite bien, démontre son incapacité criarde, fournit  incontestablement   les preuves matérielle d’un état incurieux, avarié   en  déliquescence,  et dont la  faillite  totale se traduit  en lambeaux, va de dysfonctionnements en cascades, se défausse  indignement  sur l’attitude, présumée  passive des populations face aux actes d’agressions et de vols dans le pays.

Nous sommes abasourdis, indignés, choqués, outrés  face aux sorties scandaleuses du  chef de la police sénégalaise.  De quelle école est-il sorti ?  Naturellement, la mauvaise graine ne peut produire la bonne.

 Évidemment, lorsque  les et les expériences bidon  supposées  compétences des postes de nomination Tan Sa Boula Nex s’octroient arbitrairement  sur le Socle   Ethnique, Blâmable,  il va  sans dire qu’il en soit  toujours ainsi.  Car les mêmes causes reproduisent nécessairement  ipso facto les mêmes effets nocifs.

Le policier oublieux  fait preuve d’étourderie et d’amateurisme n’est donc  pas à la hauteur. En politique, l’erreur se paie cash et très cher.

 En vérité, un tel personnage  n’a pas sa place comme directeur de la police- qu’il démissionne !  Un état  civilisé  digne  de ce nom, a l’obligation  de garantir et  d’assurer  la sécurité  des  biens et des personnes.

C’est une   mission régalienne  de  l’état  et non de culpabiliser les citoyens.

En apparence, le premier policier de l’Etat Macky Sall  tient  absolument à ce que les populations fassent  elles-mêmes leur  justice.

Un tel boulet  scandaleux irrecevable,   révèle indiscutablement  les incongruités  tares  congénitales    d’un régime de capharnaüm,  moribond,  irresponsable, doit  rendre le tablier au nom du peuple pour le peuple et le peuple.

A quoi sert alors la police, si celle-ci,  face à l’insécurité totale, récurrente,  permanente  et   les multiples agressions des vols de la part  des gangs  en bande organisée, dont sont victimes les citoyens, payent un lourd tribut,  sèment  la terreur à tout vent  et impriment  sa marque,  si cette dernière est inapte  à faire  régner l’ordre et  la justice, pour que les populations  vivent dans la tranquillité absolue, sans qu’elles aient besoin d’avoir peur,  puissent se promener librement  à n’importe quelle heure  de jour comme de nuit, qui  sont  criblées des impôts et des taxes de toutes sortes,  font vivre  les fonctionnaires de la police  ? Il ne peut  y avoir  pas de zone de non droit.

Que vaut donc  régime  des tromperies  qui  s’arroge pompeusement  et piteusement,  prétend jouer affreusement  les impétrants   de la rupture  ou je ne sais encore  –  au nom  d’un Yono yokuté de piètre qualité, et parle plus qu’il ne fait en réalité en terme   de  progrès exponentiels   et du changement radical en action sur le terrain ?

Qu’on  ne s’y trompe point,  tant que l’on n’abroge pas l’immunité et l’impunité de la monarchie totalitaire garantissent  crescendo toutes les dérives et nos éternelles déconvenues, exponentielles.

Abdoulaye Daouda Diallo, est un activiste  ethniciste, juge et partie,  mercenaire  infatigable et Ministron de l’intérieur,  ne vise  qu’à  organiser  par la ruse un coup d’état électoral, lors des prochaines législatives de juillet 2017 –le mois des Submersions Cataclysmiques. C’est un calendrier  qui obéit  à un  calcul politique de bas étage.

* Alors, comme tout félon,  celui-ci roule exclusivement  pour Macky Sall ,  Himself,  n’est  que l’archétype   menteur professionnel, profanateur, a leurré et roulé dans la farine  tous les citoyens  sur toute la ligne,  pour avoir fait  à maintes reprises  un faux bond en continu sur ses promesses électorales, notamment  la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, qu’il a indignement transformée en parodie  référendaire en mars 2016.

Nous autres membres de  La CPC – La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- -«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW»,  nous  exigeons  donc  sans conditions, ni  délais  aucun,  la suppression  totale et immédiate  de l’immunité du statut monarchique de la république- représenté par ce foutoir estampillé le prolongement du colonial revigoré, confus,  est par définition  une impunité flagrante .   Le Statut d’Immunité et d’Impunité  constitue un pantouflard de la régression  sismique condamnable.  Au Sénégal et en Afrique,  les constitutions  bancales  savamment pensées et  élaborées,  ont  un caractère  idéologique, politique et culturel, se sont intelligemment  substituées à la féodalité africaine, que les parrains outre atlantique labellisent outrancièrement.   On ne peut vouloir quelque chose et son contraire.

De même que  l’article 80 immoral,  lamentable  de la constitution,  doit  subir le même sort,  n’est qu’un négationnisme, outrageant,  voire même une humiliation  inacceptable contre tout le peuple que l’on assujettit.

Il faudrait mettre fin  à la tyrannie  du président de la république qui apparaît   être au-dessus des lois   envers et contre tous.  Qu’il  ne soit plus à l’abri de toute poursuite ! La contradiction  politique ne peut être ni un délit, encore moins d’offenses supposées contre un monarque qui  se croit investi d’une soi-disant  mission divine.    Ce personnage paresseux, vit éternellement  aux crochets de la république  et aux dépens des deniers  de l’Etat,  a droit de vie ou de mort  sur les l’ensemble des citoyens présumés crevables et à merci.  Ça suffit maintenant ! Trop, c’est trop.  Le président de la république  vit éternellement  aux crochets de la république. Nous ne pouvons plus l’accepter. s

Le règne ethnocentrique ségrégationniste, négationniste d’apartheid, intégralement  terroriste   du régime  le plus scandaleux de toute l’histoire politico-financière  annonce ouvertement  la couleur.   Et pour cause.   Le récidiviste,  premier  menteur incorrigible  de la république fripouille, pouilleuse rempile à Podor et Matam,  comme tout traitre de son espèce, dont les habitants  se sont inscrits massivement et rapidement   sur les listes électorales, ont obtenu largement  plus que d’autres  leurs pièces d’identité  biométrique, pendant que les autres sénégalais, présagés de seconde zone,  ont du mal à avoir leurs sésames, dans les mêmes délais.

Le régime présidentiel  est par essence totalitaire, nous met  légitiment  et absolument  dans nos gonds, mais  celui-là, représentée  par la  magistrature   pitoyablement  ignominieuse autocratique,  dans les faits, se distingue  par sa brutalité, intolérable,  brille parfaitement dans une indécence  qui lui colle à la peau.   Nous disons non à ce régime d’abruti, lequel   contre vents et marées  privatise de plus en plus  la démocratie, comme si la présidence de la république est une  affaire d’entreprise unipersonnelle, familiale, dans laquelle  les postes de nomination biscornue sont à l’aune  des mêmes patronymes  ethniques particuliers.

Convergence iconoclaste des  griots, abjurée en  cohorte ethnique et  en rats  de terre  invétérés  –  que l’on appelle la caste   des usurpateurs- mercenaires minables vers de terre  incultes, ignorants une indignité des régressions –  rupture-  des mensonges cataclysmiques . Le président de la république qui  est au centre de toutes les décisions,   a la  haute main sur tout, dispose  de facto de tous les leviers du pouvoir  par devers  envers et contre tous,  détient absolument , exclusivement  le pouvoir de  l’exécutif,  contrôle  tous  les citoyens,  confisque les pouvoirs politiques, judiciaires, législatives et   médiatiques.   Nous ne sommes pas dans une démocratie parlante, mais dans  un totalitarisme  qui tourne en plein régime. Manifestement,  il  n’y a  pas de contre-pouvoir, puisque la tyrannie monarchie présidentielle  interdit toute contradiction politique.

 Farba Ngom , le griot du médiocre  de la dernière heure  – le Jouflou bew, le massif, clinquant, s’arroge tout,   l’arrogant  député de  L’ethnicités , qui a la gâchette facile, tire à vue sur tout ce qu’il veut, mais la justice de carpette s’aligne à sa loi,  devient brusquement si riche,  dispose d’une grande villa aux almadies, coûtant  la bagatelle de plus de 700 MILIIONS de F CFA  – puisque  la justice catapultée  des pantalonnades  l’épargne sur Ndiguël  du traire encombrant.

L’immunité de  l’assemblée nationale, devient en réalité la caisse de résonnance et d’enregistrement   au chef de l’exécutif, ne peut être source  d’impunité par son caractère blasphématoire.

Il  faut  donc mettre  un terme   définitif à la caste   totalitaire des partis politiques,  laquelle  agit contre toute morale, contrôle  factuellement les députés,   comme si  les affaires de la cité  appartiennent  à l’incongruité  des partis politiques,  qui  deviennent  par devers   des entreprises unipersonnelles,  familiales,  trient hystériquement  au volet  les  députés  cartellisés  de la sarabande , en lieu et place des  vrais députés du peuple et pour le peuple.

Pour ce faire,  les députés  et  les maires   doivent être  élus aux suffrages universels.

 pis,  les dispositions de la loi exigent  immanquablement  que tout  candidat au poste de député, doit impérativement et absolument  verser une caution  faramineuse  de 25 000 000 F CFA , selon  le  diktat système mafieux  en place,  en tire profit,   exige en plus   de chaque  candidat 20.000 signatures, parrainées des maires, qui sont eux-mêmes    issus des partis politiques.   En vérité, il s’agit tout simplement   d’une solidarité de classe d’une caste coalisée    qui ne défend que son bifteck.

 Or,  jusqu’à  maintenant,  les maires sont élus  aux suffrages  indirects par des conseillers,  combinards, tous  corrompus, embrigadés  les uns  aux autres, appartiennent  tous aux mêmes écuries  politiques  . Un déni de justice  qui dit bien son nom,  est source  de  tyrannie.   Et cela  n’est pas notre vision de la démocratie.   Pour toutes ces raisons,  nous devons absolument   changer   les institutions  étrangères, dans lesquelles   le régime présidentiel totalitaire constitue une insulte permanente contre tout le peuple. Pour cela, il nous  incombe de balayer  toute la vieille  garde des vautours-politicards gérontocratiques  qui se transforment en éternels vacataires, transhument  servilement  d’un camp à l’autre, à chaque magistrature carambouilleuses.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître,  l’escarcelle des voleurs en bande organisée n’entend nullement  briser le système colonial, s’y complaît affreusement,  tient mordicus  à perpétuer le régime présidentiel,   qui  ce foutoir  de la terreur, n’est  qu’un gouverneur des colonies françaises.

En dépit de sa docilité exceptionnelle,  étrange, décapante, en  envers  les pays impérialistes  pour lesquels il a une faiblesse notoire, par ses charrettes de décrets présidentiels, torrentiels,  incommensurables à l’infini,  notamment  les  accords de défense bidon et   la présence militaire permanente américaine,  en sus  du renforcement des entreprises françaises.

 L’inimitable piano-américano  français monstrueux – mercenaire, profanateur menteur,  ne s’arrête pas, pimente la sauce,  livre  aussi , sans coup férir,  notre pétrole et gaz,  en   y met  constamment et systèmatiquement   des  couches épaisses, dont il a l’unique secret des dieux,  labellise  indignement  le nazisme de la  monnaie CFA,  qu’il estime bonne à garder,  passe à la vitesse  supérieure, continue de nous étonner à plus d’un titre, s’offre piteusement en spectacle permanent. puisque   tous les jours, l’échevelé, maintenant,  se fait remarquer de plus et s’approprie librement  l’œuvre d’art  d’un sénégalais et l’offre   à la CPI.

Le  nègre de service, qui est à la tête sénégalais,  fait partie du gotha  des pires dictateurs africains  que nous ayons connus, ici  au Sénégal, notre chère  patrie,  que nous aimons plus que d’autre ;

Qu’on le veuille ou non, sous la magistrature de « l’affairiste Pétain Noir » sénégalais, notre beau pays, notre patrie que nous aimons tant, jamais dans son histoire, n’est tombé aussi bas, en élisant à défaut et par dépit, dans des conditions totalement inédites, un nullard de classe exceptionnelle, qui s’est transformé étrangement à petit feu en taupe télécommandée, attitrée de ses propriétaires, tapis dans l’ombre, tiraient  soigneusement par derrière les ficelles et les brides du cheval marron, apocalyptique, maçonnique dans l’âme et jusqu’à l’abîme. La rhétorique des mensonges bien organisés prime sur tout, selon la vision étriquée des écervelés.

Macky, le laquais, présagé, ingénieur géologue de profession, nous dit-on., a en réalité, brandi un cv savamment bidouillé pour lui donner un caractère sublimable bien établi. Tenez-vous ! Rien que de la fumée.

L’homme, jadis, au visage émacié, si pauvre, hier,  qui vivait dans les quartiers populaires de la Capitale sénégalaise avec sa femme, Marième Faye, est étrangement devenu si  ventru  et  si trapu, en sus  d’ une surcharge pondérale,  évidente, exceptionnelle,  avec  en prime une  figure très claire, qui semble avoir bénéficié  d’un lifting crédible,  contraste  avec le visage  familier, que nous avons connu sous d’autres cieux,  au point qu’il est totalement méconnaissable, quelques mois après son investiture en grande pompe, basée emphatiquement sur la sobriété de la rupture, l’efficience et la transparence.

Je l’ai déjà écrit, martelé et continue de  le réitèrer dans ce sens : tout pouvoir  abusif, pour être charismatique, musèle et contrôle la presse, est par définition, totalitaire. Cette maxime s’applique incontestablement au bourreau des sénégalais   qui est  le réfractaire à la démocratie.

Le statut supposé du président du président est confiscatoire à la liberté d’expression. Il n’y a rien  d’autre et rien ne peut l’expliquer  sous aucun prétexte.  Derrière un menteur professionnel, profanateur, se cache un voleur en puissance et à l’épreuve des faits.

 Pour rappel,  interrogé par  le Magazine américain, Forgien Affairs,  le chapardeur déclare sans ambages  qu’il a bien bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre.  On ne peut être plus clair; plus loin, le même homme Macky Sall,  en  rajoute : « Jeune Afrique : «il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine».

Comment donc un tel inconnu,  sorti de nulle part, peut-il être plus fort  pour   écraser, écrabouiller tout un peuple entier, qu’il tient à assujettir, envers et contre tous,  jusqu’à vouloir  cueillir à tout vent,  tout citoyen libre, ou tout opposant supposé ou réel,  sème ainsi la terreur par sa lâcheté, abuse  de la force publique ?

 Si on exigeait  d’avance que tout candidat à la présidence de la république, doive   participer à des primaires de guerres, comme condition sine qua non, le poltron qui  nous enquiquine  et bande ses muscles à la moindre incartade, ne serait pas sûrement partant.  Et Lat Dior Ngoné latir Diop, le  dernier Damel du Cayror l’eut  bien  prouvé. N’importe qui ne pouvait être roi, car il fallait avoir de  la poigne, la  capacité, l’audace  et le courage pour prétendre  au titre de Damel. Alors,   « Ku xamul buur deyna niu wax ko buuur say na”.

 

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