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La grâce monarchique : la racine du mal est-elle source de qualité ? Par Ahmadou Diop CPC

grâce- monarchique- macky sall- karim-wadeSur la question qui fâche, il s’agit tout simplement que du symbole de l’autoritarisme sur fond d’accommodements et de rapines politiques, à savoir la libération éventuelle de Karim Wade par la grâce monarchique. Il n’y a ni moins ni plus. Le statut monarchique est une impunité à laquelle il faut y mettre un terme, si nous voulons sortir du fondamentalisme politique et refonder un véritable état de droit dans lequel tous les citoyens naissent libres et égaux en droit comme en devoirs.
Depuis 1963, le Sénégal copie sysmatiquement et hystériquement la contitution de la V ème république. Une réminiscence héritée de l’Ancien régime. Un comble du despotisme.
En France, sous l’Ancien régime, le pouvoir de justice appartenant au roi, car ce dernier avait le droit de grâcier.
Alors, par mimétisme à François Hollande, qui étudiait la demande de la famille de Jacqueline Sauvage, Macky Sall, l’usurpateur de la justice au Sénégal, abusera-t-il de son droit de grâce présidentielle, monarchique pour grâcier karim wade, à la seule fin d’engranger les dividendes de bas étage ? dans le cas d’espèce, karim wade a-t-il oui ou non donc demandé la grâce monarchique ? Dans le cas contraire, pourquoi Macky sall, qui a bien emprisonné le fils de son père, veut-il se servir de son colloque pour libérer ? Pourquoi le revirement de Macky Sall et à quelle fin ? Qui tire donc les ficelles par derrière ? A qui profite donc le crime ?
Sans discontinuer depuis le 25 mars 2012, l’axe du mal symbolisé par Macky Sall et sa ribambelle de serivitude cartellisée des policards, rabatteurs, politico-médiatiques-, organisent indignent leur colloque politique de piètre de qualité, en vue de préparer un autre complot en 2017, plus gigantesque que celui de 2012, qui continue, hélas de défrayer, sans répit la chronique. Le ridicule ne tue plus dans ce pays qui perd décidément ses repères, depuis l’arrivée au pouvoir de Macky Sall, le changeant atypique de toute l’histoire politico-financière de ce pays, le Sénégal.
Macky Sall, la graine avariée peut-elle vraiment produire une récolte de qualité ? : agir absolument pour changer radsicalement la constitution importée.
Macky Sall- Karim Wade : grâce monarchique, une tyannie inacceptable, déclarée nulle et non avenue ! Le despote crée sa cour sa justice, peut gracier à tout vent. Cela équivaut à une justice instrumentalisée.
Il s’agit d’une tradition ancienne, héritée de la monarchie napoléonnienne en France.
En dehors de karim wade, n’importe citoyen, libre, adversaire ou opposant politique, peut être accusé par la police politique et emprisonné sur commande du président -monarque, qui peut du jour au lendemain le grâcier
La justice hérétique, est coupable, la constitution est moribonde, le chef de l’exécutif, juge et partie, est coupable. Karim wade, condamné par la cour royale à 6 ans de prisonferme, pour avoir détourné la somme de 138 milliards f cfa, est-il donc coupable ?
Empêtré dans ses contradictions les plus insolites, le félon s’accommode savamment de son colloque de piétre qualité, cherche vaille que vaille par la ruse une bouée de sauvetage et tient à libérer karim wade. L’homme se présenter aux yeux de l’opinion nationale et internationale, pour redorer son blason en lambeaux, sous le fallacieux prétexte d’une fausse image idyllique, tente de se peindre sous les auspices d’un rassembleur, magnanime.
Peut-on à la fois vouloir quelque chose et son contraire ? Peut-on vouloir une justice libre, souveraine, indépendante et l’instrumentaliser ? Ça n’a pas de sens. une absurdité abjecte que l’on ne saurait acceper.
Que macy sall assume donc ses responsabilités ! Dans l’hypothèse où karim wade, bénéficierait d’une grâce monarchique, Macky sall doit rendre le tablier, sans conditions au nom du peuple !
Cela veut dire que la CREI, qui est la Cour royale, réactivée par un décret présidentiel, n’est pas rendue au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais agit sur commande du pouvoir du président-monarque, qui est juge et partie. En vérité, sous le régime présidentiel, le pouvoir de justice appartient au président de la république -monarque, s’adjuge le droit de grâcier qui il veut, comme il veut, quand il veut, quand il le désire, selon sa propre convenance..
Contre vents et marées, l’éternel diable renégat, oriente unilatéralement le faux débat pour ses propres intérêts mal placés, qu’il continue de mettre en musique malgré ses innombralables dénégations, qui sont source de trahisons. On ne peut accorder d’aucune façon des circonstances atténuantés à un menteur professionnel, qui ne s’encombre d’aucune parcelle de moralité. C’est inacceptable et indigne. Un menteur est un menteur.
Le traitre endurci, ne change pas, ne changera jamais sa trajectoire totalitaire. Il convient de le destituer et de tout de suite, sans attendre une seule minute de plus. C’est honteux qu’un traitre, poltron né, confisque la démocratie, fasse l’histoire la place des vrais patriotes, minoritaires que l’on réduit au silence. Car l’anachronisme déficitaire des sénégalais autorise les dérives de ce nègre de ce service atypique du paysage singulier, sénégalais, fait sa propre loi par l’entregent de ses doungourous auxiliaires, qui sont convertis en mercanaires politiques, ne pensent qu’à eux.
Ne jamais reporter ce qui est posssible maintenant, à conditions que nous soyons tous courageux et unis pour en finir avec le mal, avant qu’il n’en finisse avec nous. Plus la somnolence et la naïveté généralisée continuent, plus, l’apôstat piètine les sénégalais auxquel il n’a le moindre respect.. Qu’il se le tienne pour dit ! A défaut le goulot d’étranglement ou la chappe de plomb, ira en pis. Nous voyons le soleil, mais certains ne peuvent l’admettre, pour croire garder infiniment leurs privilèges indus, qu’ils obtiennent mordicus par leur basesse suintante. Nous savons que toute la classe dans son ensemble n’est pas nà la hauteur. La saga pestilentielle de la classe politique ne doit leur posture que grâce à des postes de nominations de Tan Sa Boula Nex.
lorsqu’il s’agit des affaires de la cité, c’est-à-dire les intérêts essentiels, supérieurs, incessible de la nations askanwi – la majorité des sénégalais dans leurs substrats phacygocités par les séquelles indébiles du colonialisme, se focalisent exclusivement sur ce qui les désunit. Autrement dit, la désunion ipso facto constitue l’union sacrée. Cela veut dire que la médiocrité d’une minorité traitresse imprime sa marque de fabrique sur la majorité dominée comme des moutons de panurge.
La renonciation abusive, généralisée et l’esprit rebelle bani, deviennent systèmatiquement et extraordinairement consensuels.
L’heure est venue de libérer les esprits, pour les désalliéner, les lubrifier, de façon que l’expression du peuple puisse s’exprimer librement. Le président de la république n’est ni un dieu, ni un prophète, ni un monarque de droit divin, doit être sous pression constamment. Cela va de soi. Quand il ment, il faut absoulument le lui dire. Ce n’est pas un tabou. C’est ça la quintessence de sa mission régalienne et les raisons de son élection à la magistrature suprême.
Mais pour l’instant, ne perdons pas de vue que c’est bien Macky Sall himself, au pouvoir est l’ennemi politique public à abattre politiquement, lequel a menti aux sénégalais sur toute la ligne, doit bénéficier d’un purgatoire sans modération.
Les sénégalais ont élu un falsificateur. Nous payons maintenant le prix fort et c’est normal. A chaque situation exceptionnelle, des solutions radicales, proportionnelles à la mesure de la gravité. Nous devons nous unir comme un seul homme pour casser la rhétorique démentielle de l’inimitable faussaire, non repenti pour mettre le tyran pithiatique hors d’état de nuire. . Il est la ciblle prioritaire, absolue à laquelle tous les sénégalais doivent s’unir, de manière que tous les tirs groupés, convergent vers lui par des boulets rouges, sans répit et l’obliger à rendre le tablier . C’est lui qui est sur les commandes.
Macky sall, s’est travesti en imposteur en chair et en os, fut jadis peint faussement sous les défroques victimaires, a trahi toute la confiance des sénégalais, est à la fois comptable du régime d’Abdoulaye wade, dont il a hérité des milliards F CFA dans des conditions totalement nébuleuses, scandaleuses et le seul responsable de nos éternelles déconvenues en pis par son manque de patriotisme, visiblement vu et de la pagaille organisée en continu.
L’argent russe éclabousse Macky Sall, qui bénéficie d’une immunité n’a pas sa raison d’être, devient une impunité Pourquoi donc l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), trie-t-il au volet et convoque exclusivement trois responsables politiques qui refusent de déférer aux convocations, en épargnant le principal coupable, désigné, qui se donne une apparence de respectabilité, derrière les grilles d’un palais halpulaar ?

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