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La République Soumise et ses Trahisons Burlesques est-elle donc à l’Endroit ? Par Ahmadou Diop.

La République Soumise et ses Trahisons Burlesques est-elle donc à l’Endroit ? Par Ahmadou Diop.

Le  Bougre –berger colonial est-il  vraiment  à l’endroit ?

Compte tenu des actes répréhensibles qu’il pose tous les jours,  sans répit, depuis le début de son mandat totalement banal  jusqu’ici, que nous n’ignorons pas,  que vous n’ignorez pas.  Pourrions- nous alors continuer à lui  faire encore confiance, qu’il faille  le garder ?

Certes, nous savons que la notion de messie n’existe pas en politique,  même si le président de la république doit être un serviteur de la nation tout entière, au lieu de se servir pas lui, encore moins de  d’en faire  de même  pour  sa famille immédiate, mais quand même.

Que cache donc le débat autour d’un 3e mandat de Macky Sall, allumé par le Professeur Babacar Gueye ?  S’agit-il encore d’un ballon de sonde pour préparer les esprits, comme d’habitude  et avaler la pilule, dans un régime totalitaire ?

Il n’y a pas de fumée sans feu. C’est comme si les trahisons  massives, culottées ne suffisaient pas encore, se rajoutent d’autres plus corsées, de sorte que l’on focalise l’actualité politique sur une incongruité. Un phénomène inédit qui en dit long sur le rituel d’une gouvernance tortueuse par ses histoires carambouilleuses. Tout y est. Et qui profite des crimes à répétitions ?

En vérité,  les tirs groupés  de  l’axe paris – Washington, si bruyants, hier,  sur les  ingérences directes dans les affaires sénégalo sénégalaises en 2011 à la place de l’Obélisque, contrastent  parfaitement avec le climat délétère, cachaient sans doute des intérêts mercantiles non avoués, ne visaient qu’à  parrainer et mettre sur pied l’actuel rigoureusement  gouvernement  colonial, fantoche,  autoritaire, en place. Le pétrole et gaz  en abondance obligent.

Soyons donc  vigilants et  sur  nos gardes, pour éviter la surprise aux effets cataclysmiques, car tout est possible dans un régime colonial, puisque nous ne sommes pas encore sortis de l’ornière, ni à l’abri de rien,   Des risques  majeurs encore insoupçonnés, qui se profilent à l’horizon, n’augurent rien de bon !

 Thierno Alassane Sall a payé un lourd tribut et laissé des plumes pour avoir refusé de se plier à la règle du chef de l’exécutif.

 L’homme qui continue de faire l’apologie de la monnaie coloniale, prouve éloquemment son manque de patriotisme avéré, criant.

Alors, que  BP qui entre  avec fracas, détient 49, 99 % dans Kosmos Energy et dans les Blocs de  Cayar Offshore, de St Louis au large du Sénégal, nous inquiètent sur un  binôme, nous conduisent à penser que les politiques exogènes, qui  étaient jadis très prolixes, restent aphones, paraissent satisfaits et revigorés, sont sourds, muets et aveugles sur les dérives exponentielles de ce régime scandaleux, incurieux, brille  par des cueillettes et qui dépense sans compter l’argent du contribuable sénégalais, totalement dévalisé, et laissé pour compte. 

.Nous n’avons  que des égocentriques  qui ne pensent  qu’à eux-mêmes et   pour leur  propre surmoi.

Avons –nous  donc des élites  responsables, exemplaires, visionnaires, altruistes, volontaristes, qui ont la capacité de discernement, de dépassement avec des valeurs ajoutées,  pour servir  de catalyseur et de déclic, à dessein de fixer, et prendre  en charge  les masses paysannes, en vue de développer des politiques agricoles, pérennes, notamment  sur les recherches scientifiques, la santé, l’éducation etc., de façon que les populations y trouvent leurs propres intérêts, puissent  s’impliquer davantage  sur les  affaires de la Cité ?

La politique de la soumission n’est pas source d’émergence  du Sénégal, mais de décadence.

 Pour dire la vérité, le berger Colonial, le Soumis, le Bougre en place, n’est pas digne de porter la qualité de président de la République.

Le Statut de président de la République, ne se décrète pas, se mérite pour celui qui se  réclame comme tel.

La soumission  à l’expansionnisme est-elle donc compatible  au  Statut de président de la République ?

Quand bien même l’appellation est l’émanation et le produit manufacturé de la monarchie en France.  Ladite constitution  reste  la copie certifiée conforme  à la Vème république, a été  retoquée.

Senghor, fût-il un agrégé en  grammaire française,  nous l’a imposée par devers et sur diktat du gendarme colonial, de sorte lui-même y trouve son  propre compte, et qu’il  puisse partager habilement les bénéfices  avec son client principal Bitim Rew.

On peut se demander pourquoi nous l’avons adoptée transposée servilement, textuellement, brutalement et mécaniquement dans nos pays satellites, Le serpent change sa peau, mais garde en vérité sa nature.

Le  président de la République  ne doit pas  nous mentir, ni  plaire, ni se soumettre à la loi de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, soit elle  la puissance de feu et leurs logistiques.

Le  président de la République détient par devers  le pouvoir législatif, judiciaire, exécutif, auxquels s’y ajoute le quatrième pouvoir, parachève le régime colonial, autoritaire qui n’a que trop duré.

On nous accorde sur un plateau d’argent les indépendances de la dépendance  mais les mêmes passent par derrière par des mécanismes douteux pour les bâillonner à des fins obscures.

 La constitution  telle qu’elle est élaborée et appliquée chez nous, prouve qu’il n’y a pas la moindre   séparation des pouvoirs.

C’est une esquille confiscatoire à la démocratie qui constitue  inévitablement un blasphème contre le pouvoir du peuple à qui on dénie toute souveraineté, toute indépendance

La prétendue constitution qui s’est commutée à la monarchie féodale va à l’encontre des intérêts supérieurs de notre pays.

Afin de faire  croire à des progrès imaginaires qui ne résultent  que d’une simple vue de l’esprit. Car la suprémacie blanche, autoproclamée, qui s’est investie dans l’art de la démocratie démagogique a conçu savamment des simulacres d’outils politiques de domination.

Pour ce faire, elle a  démantelé  par des coups de canon  la monarchie féodale traditionnelle par cet écran de fumée, qu’est cette constitution,  représenté  par ce bluff, ce leurre, que l’on appelle  le  paradigme paranoïaque, présumé universaliste, n’obéit qu’à des critères purement idéologiques, comme arrière-plan, comme  un modèle  de la démocratie. Mon œil !   Or, il n’en est rien au regard de ses effets pervers multiplicatifs.

Cette écharde à la démocratie  constitue à nos yeux un prolongement soft du colonialisme, qui reprend d’une main, ce qu’il  a perdu ailleurs, tord les cous et les bras  de nos soi-disant élites, matelassées, se dressent  toutes comme  des carpes,  des  esclaves enchaînés.

L’idée aberrante, selon laquelle  le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, constitue un mensonge grossier.

Les fantoches, guignols, farandoles en Afrique des courbettes, foulent du pied le principe fondamental  de la démocratie et des libertés de conscience.

 Il s’agit ni plus ni moins que d’un régime dictatorial dans lequel le monarque concentre à lui seul  tous les pouvoirs.  Ce n’est pas l’idée que  nous  nous faisons  de la démocratie

 Ce n’est  pas  une démocratie, mais une dictature  qui tourne  à plein régime.

 Mais les bougres coalisés à l’échelle continentale francophone, l’entendent autrement. La  soumission garantit l’impunité des despotes qui  gouvernent  avec leur proximité consanguine en bande organisée.  Cela constitue le mode opératoire des larbins alignés par le gendarme colonial, demeure plus jamais  l’arbitraire,  dicte par derrière  sa loi  au niveau de son pré carré.

Un pays qui se  soumet  ne peut se développer, encore  moins d’émerger.

Pour commencer, que l’on ne me parle pas d’institution, de courtoisie, ou de respect, que je  balaie d’un revers de main, lorsqu’un tel  abruti devient si arrogant, hautain, changeant,  se complait dans son adn pathologique, qui lui colle à la peau

L’honorabilité, l’intégrité, ne se décrète pas automatiquement par l’autoglorification et à tambour battant par presse interposée de la servilité, se mérite par les actions matérielles, palpables, visibles sur le terrain, mais ne s’autoproclame  par la rhétorique creuse, verbeuse cousue  de fil blanc.

Le terme de méritocratie, d’élites ou la qualité de “ kilifeu “est aujourd’hui plus que dévoyé, relève exclusivement  du domaine du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, est le seul à juger ceux qui se réclament  comme des notables, et non l’inverse.  Il ne peut en être autrement.

 Un  chef de clan qui  gouverne  et  nomme sa propre famille biologique  par  des décrets   ne mérite pas le statut de président de la République.

Que cela soit clair !  La  tambouille de mauvais  goût ne passera pas !

Un président de la république  ne doit pas  se soumettre  pas aux intérêts  colonialistes, mais à ceux  de son pays.

Un président de la république  est tenu  de respecter ses engagements  électoraux  pour lesquels il a été élu, n’a pas le droit d’y revenir, comme si rien n’était.

Un président de la république  qui use et abuse dangereusement de la force publique,  diligente tout, interdit, est-il vraiment un homme d’honneur ?

Un président de la république qui brade toutes les ressources pétrolières et gazières  et  les livre  à ceux qui  nous oppriment, pour un sou, est-il vraiment à la hauteur et à l’endroit ?

 Un fonctionnaire  si riche  est-il synonyme de patriotisme et de civisme ?

Un tel homme qui parle plus qu’il n’en fait en réalité,  mérite-il son statut supposé ?

Au pays de Marianne les hommes politiques passent, mais le rouleau compresseur et le bourreau du Sénégal, fidèle à lui-même, se soumet et porte allégeance  à la France. Une constante chez les Bougres Nègres de service.

Lorsque pour un oui ou pour un  non  et  à la moindre incartade,  les règlements de comptes politiques, le  chantage  permanent  et  la désinformation, la  manipulation tout azimut, l’excès de zèle et toutes dérives  exponentielles  constituent le socle d’une gouvernance ethnique.  Nous assistons donc  à  une dictature et à  une justice politique, hérétique, instrumentalisée, partiale, dévoyée, s’accommode et n’obéit qu’au doigt et à l’œil du tyran

Lorsque le culte de la médiocrité et de l’idolâtrie deviennent un système de gouvernance bancale, absolue  et  de  pillage des deniers de l’état.  On peut  parler d’une caste  d’associations de malfaiteurs  en bande organisée en lien avec une entreprise terroriste, ségrégationniste, nihiliste en place, annihile, musèle la liberté d’expression et les libertés fondamentales de conscience. .

Lorsque la rupture se conçoit au paroxysme de la transhumance, qui est source de la trahison, d’archaïsme, de cannibalisme politique et d’anarchie des consciences abîmées, il y a lieu de parler de fascisme et de dérives, que l’on ne saurait passer sous silence.

Lorsque les mensonges grotesques  servent de gagne-pain  et  de  promotion sociale d’une ribambelle en bande organisée, on peut parler d’une jungle et non d’un  état véritablement régalien, civilisé, sauf    dans une république, normale  dans laquelle les citoyens naissent libres et égaux  en droit , comme en devoir, devant la loi.

Nous ne sommes jamais amnésiques, ni des veaux, ni des gueux. Car nous sommes libres d’esprit.  Que le piteux le sache, se le  tienne pour dit !

Que l’on me comprenne bien le fond de ma pensée ! Ni les manœuvres dilatoires, ni la terreur des abrutis insulteurs de la République Familiale Ethnique, qui se fardent tous comme les cireurs débauchés des bottes du despote ; encombrant, lequel s’est transformé mécaniquement en Berger Colonial, interdit tout du haut de son ignorance à l’intérieur du pays, mais tient à sévir mordicus partout  dans les réseaux sociaux, qui restent le laboratoire des progrès et  des contradictions politiques, sociales.

A ce prisme, soyons précis clairs et conséquents ! Les restrictions liberticides burlesques  saugrenues, farfelues, contreproductives tout azimut, constituent le socle fondamentale et l’apanage  des faibles d’esprit, sont substantielles  et  compatibles aux entournures fascistes,  n’auront aucune emprise réelle  dans notre ligne éditoriale.

Quoique l’on puisse dire, celui qui est à la tête de l’état sénégalais par accident, grâce  à la propagande   de référence médiatique, combinée, savamment élaborée par des lobbies impérialistes capitalistes de la décadence, n’avait que des intérêts  incongrus, alors que l’archétype farandole, pion, négationniste,    n’est qu’un  vil renégat, imposteur, fidèle à lui-même, lâche, affabulateur de naissance, ne mène  qu’au bout du compte, à une politique de l’impasse dynamique, et  s’y cramponne, telle une teigne dans les  cheveux.

Comment donc accepter l’idée qu’un tel  dindon de la face peut-il incarner la marque d’une   quelconque institution ?

Je le répète et continue dans ce sens, car aucune rivière  au monde ne pourra  laver ni de près, ni de loin sa flétrissure si moribonde la capacité d’un monstre par sa nuisance catastrophique, rime avec son état de piètre qualité.

Ce qu’il dit le matin, il le  dédit sans vergogne le soir même avant de se coucher.

Celui qui s’est lui- même enrichi gloutonnement, illicitement par les raccourcis politiques, se nourrit de l’argent des russes;  privilégie contre vents et marées,  sa propre famille biologique, si pressureuse,  en leur attribuant des postes  de haute stature, diligente, oriente  sa justice,  n’est pas digne d’occuper  un tel poste.

Celui qui  fait du népotisme, parraine la transhumance, les transvasements avec l’argent de l’état, s’accommode  à la corruption massive,  ne mérite pas cette stature

 Celui qui accorde des largesses infinies  en continu  à son pitoyable frangin paresseux, n’est pas un homme d’honneur, pour dire la vérité, car les faits matériels, têtus sont là, que personne ne peut nier sous aucun prétexte.

le tyran pathétique, le larbin, taciturne, acrobate de son rang,  nous gouverne d’une main fer  par des mensonges et des invectives surréaliste  à répétitions, interdit tout, dépense sans compter, jouit du pouvoir, voyage à tout vent à l’échelle planétaire internationale, arrache ses constamment ses comédies électorales par des mécanismes douteux, utilise grossièrement sans remords, ni scrupules, jusqu’à en  abuser de la force publique, tue volontairement  et  la démocratie, la liberté d’expression et les libertés  fondamentales de consciences, comme le pays est devenu son legs divin

Celui qui promet tout et n’importe quoi, notamment sur  la réduction de son mandat présidentiel de  7 à 5 ans, n’a pas respecté sa parole donnée,  et en fait d’ailleurs  une religion d’état.

Celui qui dispose d’un magot colossal dans les paradis fiscaux est cyniquement irrécupérable, alors que la majorité des sénégalais crèvent de faim, manquent de tout, Un fonctionnaire si riche n’est pas synonyme de patriotisme.

Au lieu de servir exclusivement  notre pays, sur la base de ses promesses électorales pour lesquelles il a été élu,  le nègre  de service se métamorphose en  agresseur permanent  contre  son peuple,  est  plus connu sous le nom étrange d’Envoyé Spécial Colonial  en Afrique, attitré et accrédité à Dakar,  préfère s’allier avec nos oppresseurs et  porter la corde autour  pour plaire à ses maîtres blancs  à qui il a porté allégeance depuis 2009.

Un pays  qui n’est pas libre, ni indépendant, ni souverain, n’a pas  sa monnaie, ne maître pas son destin, est soumis tout simplement,  qui a les pieds et poings liés,  ne peut pas émerger, peu ou prou, encore d’espérer  se développer, demain.

C’est le cas du Sénégal et de toute l’Afrique francophone sous tutelle coloniale,  en tête desquels  des  valets de la puanteur se réduisent  totalement en carpes  et  se complaisent dangereusement  dans leur rôle rituel  de marionnettes.

Pis encore, l’ensemble des larbins  ne servent d’abreuvoir à l’expansionnisme outrancier; lequel foule du pied les fondements des indépendances formelles, factuelles de la dépendance dynamique. et au mépris des consciences collectives que l’on enterre.

Le bougre nègre de service, le  chouchou, croqué, « Macronisé », ventru, joufflu, qui se dispute sa surcharge pondérale avec son clone immédiat-regardez mon doigt- traîne plus que tous ses autres  adversaires, qu’il accuse de s’être  enrichis illicites, bat le triste record des ritournelles et des casseroles plus  bruyantes que  les coups de tonnerre.

 Le champion  autoproclamé du changement social, de la justice, de l’éthique et de l’équité, s’est  lamentablement métamorphose en changeant méconnaissable, aveugle, sourd et muet, se défausse sur tout, défraie hystériquement la chronique, fait feu de tout bois, nourrit, galonne et  engraisse  et  sa cour et son mongolien à qui il accorde des largesses plus que tout autre, par ses  pulsions névrotiques, comme si le  Sénégal est une monarchie taillée sur mesure pour une seule famille.

 Plus personne ne peut ignorer que cet homme, qui nous avait promis la rupture à grand renfort de publicité et de tapage médiatico-politique inflationniste, exceptionnel, la séquence pérenne de la  transparence efficiente, sobre, l’état de droit, a nette*ment dévié de sa trajectoire, alors que sa thématique électorale était son ADN. Bizarrement, le prétendu cheval de Troie de la démocratie change son fusil d’épaule  tient mordicus  à  plaire on ne sait pour qui et à  quelle fin,  nous a  trahis,  trompés,  déçus, qu’on le veuille ou nom.

C’est ce qui se passe aujourd’hui au climat délétère au  Sénégal, puisque l’actuel chef de clan, déraille,  outrepasse ses prérogatives, crée l’inquisition, la  peur et la zizanie  par ses dérives  totalitaires, à dessein de croire se maintenir au pouvoir sur la base de ses propres intérêts crypto personnels mesquins.

Dans ces conditions, nous ne pouvons pas être fiers de lui, car il n’a jamais répondu  ni de près, ni loin, aux critères et aux attentes légitimes de tout un peuple qui l’a élu, debout comme un seul homme.

Sur ce plan, personnellement, je me mets  en porte à faux avec  les arguties  légères de  ceux qui n’ont pas  le courage, mais utilisent  des bras  raccourcis, l’analysent sous  l’angle  d’offenses supposées au chef d’état

Je me mets  donc  en porte à faux avec ceux qui s’auto déclarent  l’intelligentsia  et le centre du  savoir imaginaire, usent à longueur de journées des charrettes d’inepties par presse interposée de la référence propagandiste, confiscatoire, mettent au pinacle les discours de haute facture  contre des  résistants sénégalais, qui s’expriment librement  à travers les réseaux sociaux, demeurent la tribune des contradictions.

 Les mercenaires alimentaires, insulteurs  de la république ethnique,  agissent en tirs groupés,  tentent  vaille que vaille  à désorienter, semer la zizanie  pour  croire  pouvoir  nous aliéner.  Et pourtant,  les profusions  et les réflexions  spontanément intellectuelles,  prodigieuses de  qualité des sentinelles, se mesurent  à l’aune  de  leurs matière grises, ne se discutent plus,  mais servent  de contre-pouvoir par rapport à l’exécutif,  qui  apparaît  n’avoir disposer  d’ aucune vision visible.

 L’homme agit par l’entregent de sa soldatesque clientéliste, laquelle se charge des basses œuvres pour phagocyter les libertés de conscience.

Quant au nazisme du Franc CFA — les  colonies françaises d’Afrique — versus le franc de la Communauté financière en Afrique- Même si  pour faire beau,  on a changé  l’acronyme qui  ne vaut pas son pesant, ne change rien à l’esquille coloniale, car la réalité reste la même, qui constitue un scandale permanent  et une violation  flagrante contre des droits  élémentaires inaliénables des pays africains, dont on nie  sciemment son existence  totale  et sa  souveraineté  en toute impunité.

Pour l’ancienne puissance coloniale,  qui  est plus que jamais  présente  en Afrique francophone  conquise, les 14 pays tenus en laisse,  doivent  être nécessairement  dans son appendice,  et qu’elle considère comme  un et indivisible, pour en faire  sa propriété exclusive, acquise.

 Ce qui est plus  grave encore et cocasse en plein unième siècle,  surtout  plus de 57 ans  soi-disant de pacotille d’indépendance factuelle,  c’est que d’une part, elle considère systématiquement l’Afrique francophone  comme son domaine réservé, son éternelle vache à lait,  son pré-carré normal, son terrain de prédilection, que  rien ni personne ne pourra ne l’en empêcher de la conquérir, quoiqu’il advienne dans le temps et dans l’espace.

 C’est  bien cela la conception  étrange colonialiste, ou le caractère  inacceptable  incongru, qui  veuille que les dirigeants africains ne soient  que de simples  indigènes et qu’il  faille les  prendre comme tels, n’ont d’autres choix que de s’exécuter, quitte même à créer des prétendus accords de défense fondamentalement bidons, dont la finalité est de nature à freiner durablement les mécanismes fonctionnels régaliens de nos états vassalisés jusqu’à la moelle,  d’autre part, l’intrusion forcée de la monnaie coloniale du Franc  CFA par le gouvernement provisoire de Charles De  Gaulle en 1945, ne visait en réalité qu’à consolider, maintenir davantage  son hégémonie  en Afrique des courbettes, son esclave de droit divin, présumé, et sa propriété, lesquels  ne sont à ses yeux qu’un prolongement du territoire français,  aussi longtemps   que cela  est nécessaire

 Voila  donc le Sénégal qui tombe des nues et fait le lit et la dynamique tyrannique de la sarabande pandémique, ethnique jusqu’à  l’os !

  Le Sénégal apparaît  comme la  sacro sainte  terre des asservis, convertis  en pantins, des suppôts,  dévergondés, font l’histoire à la place  des bons  que l’on déteste !

Les insolites fourbes restent plus que jamais  les plus structurés, les  plus unifiés,  les plus admirés,  du haut de leur ignorance, apparaissent tous  plus tenaces et plus coriaces  que la majorité des citoyens qui   passent comme des  sujets alignés,  modulables et classés  de seconde zone.

 Voila le véritable visage hideux du Sénégal qui reste plus que jamais sous l’anathème satanique familial  ethnique !

 Le Sénégal  est-il  donc ce géant  virtuel aux pieds d’argile, qui  s’arcboute  plus que jamais  dans la désunion la plus totale, honore, idolâtre, bénit, son pire dictateur-traitre et ses thuriféraires, endogènes, coalisés, tous sont en entente et en intelligence constante avec nos oppresseurs exogènes, mais déshonorent, enterrent, injurient et  la mémoire  collective de nos  braves guerriers  authentiques et la faculté  mentale  remarquable, prodigieuse  de nos  immortels penseurs ?

 

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