Le Bon Choix : Nanu Fipu Nun Niep DOLELE SUNU REWMI. [Par Ahmadou Diop]
Le Bon Choix : Nanu Fipu Nun Niep DOLELE SUNU REWMI. [Par Ahmadou Diop]
Nanu Fipu Nun Niep Dolele Sunu Rewmi–Sunu SénéGalgu-Mo Eup NJARIÑ di Sargal di dolele BADOLABII -BËK NEGU BITIM REW.
Quoiqu’il en soit, le camérier exceptionnel des leuco dermiques, qui s’est lamentablement auto proclamé le chef des esclaves, nous a non seulement tous tourné le dos, mais prend le contre pied de nos éternels soufis, tient à réduire les arrières-petits de ces derniers à plus simple expression, comme il continue de le faire pour ses opposants, dont il n’hésite pas à utiliser les services de l’état par sa lâcheté, pour les forcer à se renier et au moyen décrié de sa justice soumise, comme de chantage ou de trophées de guerre.
Voilà à quoi donc excelle exclusivement le Caniche-Pitbull de l’Occident, qui se complait affreusement et bassement dans son rôle de nègre de service, ne risque pas de se repentir, ne se repentira jamais, tant son taux d’ADN particulier du pédigrée est irréversiblement avarié !
Donc face à l’engeance maléfique et au péril APR de la pieuvre et de son diable, nul n’a le droit de se taire, pour se compromettre et par consentement réactionnaire.
Face l’arrogance du faussaire, qui distribue largement de l’argent abondant à travers ses escadrons – boucaniers, tous se dressent en chiffonniers-thuriféraires, combinards de la basse classe, à quoi s’ajoutent la platitude de benno bo yakaar- des corrompus en osmose-ou l’hystérie bok wor sunurewmi, mais sur la musique de la même machine toxique à corruptions massive haut débit, s’affole continue son sillage, tend sa perche empoisonnée à une certaine caste politico- religieuse, clientéliste, masquée, en bandoulière, dont l’un d’entre eux, d’ailleurs, roule aujourd’hui pour Macky Sall, bénéficie d’une liberté provisoire, pour avoir commandité un crime contre deux de ses talibés.
Tous ces faits réunis, épouvantables, suscités, enchevêtrés les uns après les autres, constituent immanquablement aux yeux du cynique marchand d’illusions, un effet d’entraînement pour lui donner une majorité présidentielle, dangereusement totalitaire, est contre-productif.
Nous devons faire et sévir en vent debout et corps âme contre la république ethnique ségrégationniste, négationniste, intégriste d’apartheid tyrannie offensante
La parodie référendaire de mars 2016 se prolongera sur les cirques législatifs de 2017 : l’anachronisme du pouvoir temporel est en accointance et en harmonie avec la marque de fabrique des faussaires religieux, familial moribond de la sarabande familiale, versus parlementaire, ethnique négationniste vaincra.
Pour une abolition de la Monarchie présidentielle et ses gardes-chiourmes, tous presque sont arrimés en vulgaires potentats, parlementaristes de service et des sinécures, agissent conformément par leurs pantalonnades.
Pour une abolition de la Monarchie présidentielle et ses gardes-chiourmes, tous presque sont arrimés en vulgaires potentats, parlementaristes de service et des sinécures, agissent conformément à leurs pantalonnades.
De 63 à nos jours, jusqu’au magistère biscornu du tonitruant flibustier, nous avons plus de mercenaires- politicards-alimentaires- convertis en sarabande cireurs de bottes, que de représentants réels du peuple par le peuple pour le peuple, dont la plupart d’entre eux ne travaillent que pour l’émergence du tyran, qui s’est lui-même bien transformé en faussaire né, s’adjuge piteusement l’homme des mystifications surannées apocalyptiques.
Tant qu’il y aura l’apparent suffrage universel, qui est par définition, source d’escroquerie politique, tant que la constitution moribonde par son caractère blasphématoire, bancal, pervers, restera telle est qu’elle est; la monarchie présidentielle constituera immanquablement un véritable frein au développement, n’autorisera ni la démocratie, ni la liberté d’expression, encore moins le plan Sénégal émergent, dont on nous tambourine mécaniquement les oreilles à longueur de journées, ne sera qu’une chimère ; voire même un tissuthèque de mensonges grotesques, empilés les uns après les autres.
Quoique l’on puisse dire, l’Afrique est le continent des comédies électorales, étranges, renversantes.
Autrement dit, pis encore, les africains qui élisent mécaniquement leurs bourreaux, n’ont aucun droit légitime de manifester leurs mécontentement, alors que le premier droit de tout peuple ne peut être, en aucun cas, un délit. Macky Sall, l’abruti, médiocre, reste plus que jamais le référent nègre de service de la françafrique.
Puisque, selon la vision étriquée de l’acrobate pantin, archétypique, tout est prétexte de trouble à l’ordre public pour interdire tout et sous n’importe quelle fable absurde.
Alors que le personnage curieux, qui était hier, un acteur principal du régime d’Abdoulaye Wade auquel il a cheminé pendant 8 ans, s’est bien frauduleusement enrichi, balaie aujourd’hui d’un revers de main, ce qu’il dénonçait.
C’est ça la spécificité abracadabrantesque de tout pays soumis, figé, attardé, fataliste par définition, dans lequel le pouvoir totalitaire, familial, corrompu , impudique, pour arriver à ses fins de bas étage, par devers et contre tous, passe par les médias qui se travestissent en instruments de propagande, pour dominer aussi longtemps que possible la majorité des populations largement suivistes, accroupies, se complaisent ridiculement par son consentement réactionnaire, atavique, abdique totalement, face à la brutalité absconse d’un nègre de service, digne de son rang, qui s’accommode piteusement et lâchement de la force publique, toute capacité de résistance.
Un tel médiocre pourri, complote en permanence avec une certaine ribambelle autoproclamée le socle de la nomenklatura politico- religieuse, s’acclimate dans cette géographie politique, nage dans les mêmes eaux troubles, vit éternellement aux dépens des deniers publics, considère l’ensemble des citoyens qu’elle relègue comme leurs esclaves de droit.
En vérité, notre pays est pris constamment en otage par le pouvoir temporel, qui aligne pour sa propre cause, un groupuscule religieux, paresseux. Autrement, deux forces réactionnaires, combinardes, s’accordent ; se tiennent mordicus, mutualisent leur synergie, se convertissent allégrement en solidarité de classe.
Pendant que tout le reste s’appauvrit, croupit inexorablement dans l’enfer et dans la misère sociale chronique, et à l’indifférence quasi générale, tant que le climat délétère perdure et demeure plus que jamais, dans notre société à deux vitesses, dans laquelle s’opposent deux types de citoyens ; car les uns , selon leur grade supposé , s’enrichissent s’approprient tout et ouvertement, tandis que de l’autre côté, des citoyens qui sont criblés d’impôts et de taxes de sortes, sont lassés et laissés pour compte sur le quai, n’ont absolument aucun droit, mais rien que des devoirs.
Tout come la parodie référendaire de piètre qualité, les scrutins de pacotille ne seront que de simples formalités administrâmes, en définitive, passeront comme une lettre la poste. Mais l’ensemble des sénégalais tous soumis, seront enfarinés comme d’habitude et au nom d’un Masla, se plieront mécaniquement à la règle de la tyrannie, malgré l’abondance des incantations stériles, dans lesquelles les gueules de bois feront jour.
Nous méritons bien ce minable qui nous dirige lâchement d’une main de fer, car tous les pays qui ont une mémoire et un passé glorieux, jettent en pâture et sans autre forme de procès dans les poubelles de l’histoire ceux qui les dirigent et leur ont ment. Étrangement au Sénégal et en Afrique, les traitres qui apparaissent tous plus forts, prennent constamment le dessus sur l’ensemble des populations toutes réduites au silence.
Ceux qui tiennent le monde ne sont point ceux que l’on croit. QU’on le veuille ou non, dans le monde , les gens ne votent pas librement pour des idées et sur la base d’une conviction politique totale en toute indépendance et en toute conscience, ne reflètent nullement les libertés de conscience , mais votent machinalement , sans réfléchir , privilégient, en réalité, les oligarques financiers , à travers des banques éminemment esclavagistes historiquement, bien conçues, puis privées et nébuleuses, et dont la plupart d’entre elles, sont installées dans des paradis fiscaux et sous la complicité des gouvernements . ces dernières les dividendes capitalistes, particuliers d’un système mafieux, corporatiste, hautement élaboré , qui prétend défendre sauver les revenus communautaires des pays membres , n’est en définitive qu’une habileté savamment orchestrée et une vaste escroquerie gigantesque cosmétique.
L’Afrique sous tutelle est résignée, se contente de son sort, par opposition aux autres pays qui sont tous debout et déterminés, dans lesquels de nouvelles têtes émergent. Dans ces conditions, il est impératif, urgent que nous soyons capables de changer d’équipes ; d’autant plus que l’actuel pouvoir guignol, intimide par la répression tout azimut ave des charrettes d’arrestations massives, à tout prix , à tout vent, de jour comme de nuit, nous promet encore de la sueur, du sang et des rivières de larmes, s’entête à vouloir confisquer durablement la démocratie aussi longtemps que cela s’avérera nécessaire pour lui.
Un pouvoir ethnique, antipatriotique, capitulard, condescendant, incantatoire, euphorique, revanchard, moribond, calamiteux, suffisant, hautain, arrogant en lambeaux, des folies dépensières, dilapide tout, qui tire à vue sur tous ceux qui bougent ; livre, brade toutes nos ressources vitales à l’extérieur colonial.
Alors, le suffrage universel est utilisé avec respect, scrupuleusement dans les pays hautement civilisés, mais ici, chez nous, c’est la porte ouverte à tout vent de toutes les dérives, car les despotes font du réchauffé, confisquent les scrutins par des mécanismes répréhensibles, connus.
Chez nous, le scénario des scrutins de pacotille est déjà écrit d’avant par le seul metteur en scène puis que les citoyens ne sont que de simples figurants de pagaille, que l’on transforme allégrement en instruments indigènes, au nom de la politique Adoukalpé-FOXarci- Diay Doley.
En effet, il faut que nous nous sortions des armes conventionnelles pacifiques, populaires, représentées par les urnes, puis qu’elles ne sont pas de nature à opérer la rupture, ni la transparence et la démocratie.
Il faut absolument que nous ayons le courage de renverser immédiatement, et dés maintenant, la situation et le climat délétère par le rapport de force, si nous voulons rendre matériellement le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, pour rétablir la démocratie, la justice et instaurer l’état de droit , de manière que nous puissions changer notre pays dans le sens des progrès, à l’instar des grands pays indépendants, souverains et libres.
Ce n’est qu’à ce prisme là, que nous aurons notre place dans le concert des nations qui ont une histoire.
Qu’on le veuille ou non, on a l’impression qu’il n’y ait pas de biceps forts avec des hommes et de femmes tous apparaissent dépourvus d’intelligents, en dehors de la démocratie ethnique, familiale intégralement intégriste d’apartheid. Toute cette caste de feignants des mêmes patronymes particuliers est casée dans toutes les structures de haut niveau que compte l’état sénégalais.
il est primordial que nous soyons tous capables et debout de pourvoir inverser les rôles , pour contenir, et en finir à tout prix pour de dégager à tout prix avec la cavalcades décousue, représentée par cette cohorte mortifère gérontocratie pandémique, politique , qui continue de prendre en otage tout notre pays.
IL est urgent que nous soyons tous capables et debout d’ inverser maintenant les rôles , pour contenir, dégager, et en finir à tout prix avec la chevauchée démesurée , décousue, représentée par cette cohorte plastique , antipatriotique, surnommée la gérontocratie pandémique, politique , représentée par la personne de Moustapha Niasse, qui est l’inimitable forcené, gloutonné, fidèle à lui-même, se complait dangereusement en permanence dans un verbiage creux , verbeux, scandaleux, passe tout son temps à se servir de lui-même , sur les deniers l’état , se transvase , habituellement sa trajectoire d’un camp à l’autre, s’engraisse lamentablement , librement sur des postes de nomination tan sa bula nex.
L’archétypique, qui n’en est pas un, cumule à la fois des postes infinis , bien connus, et dispose de plusieurs entreprises travaillent sur le pétrole, et dont la plus connue est la société oryx- qui lui permet d’engranger plusieurs milliards de f CFA,.
Un tel parvenu vendu distille à longueur de journées des invectives à l’emporte pièce, a l’outrecuidance de mettre au pinacle tous ceux qui se dressent contre lui.
Bizarrement, malgré son apparence, le mercenaire a brouté constamment dans tous les râteliers, change hystériquement sa monture, selon la météo du météo; prend en otage tout son parti politique, qu’il privatise comme s’il s’agit une entreprise unipersonnelle familiale.
Ce n’est pas un cas isolé. C’est la règle généralisée de toute la classe politique sénégalaise toute attardée, désertique.
Pour ne rien arranger, le nébuleux Richissime personnage étrange, fait une concurrence déloyale, brille dans le népotisme, a placé toute sa famille au cœur de l’état sénégalais vassalisé jusqu’à la lie, tourbillonne, tel un haricot dans une marmite bouillonnante, complote avec son mentor du moment, pour lequel il a des affinités décriées, a aussi bien emprunté les mêmes chemins douteux, pour s’enrichir grossièrement dans les mêmes conditions totalement nébuleusement scandaleuses que son chef.
Comme on dit, ceux qui se ressemblent, s’assemblent. Car apparemment, le patriarche de la sarabande politique , n’a aucune crédibilité avérée, ne peut démontrer sa valeur ajoutée, affiche une proximité de façade avec le promoteur du népotisme, baptisé à juste titre , comme étant le plus sûr traitre négationniste –pion-mercenaire – vacataire se tient mordicus , se plie vertement à la françafrique, joue nécessairement sur le piano-américano-français.
Le supplétif président de l’assemblée nationale se déclare le chef de service, s’est converti en cireur des bottes du tyran nègre de service encombrant, prétend tenir lieu de pilier à l’apr, reste incontestable le parti politique cliniquement clanique des abrutis, teigneux, coalisés.
Pour dire la vérité, rien que la vérité, pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, le capharnaüm apocalyptique au pouvoir, est minoritaire, médiocre, en terme d’adhésion spontanée et de programmes cohérents ; si ce n’est l’achat des consciences abîmées par la puissance satanique de l’argent facile, que le braqueur pompe constamment dans les caisses de l’état.
Si Moustapha niasse, qui fait systématiquement l’apologie du fasciste, pour lequel il ne tarit pas d’éloges, est nommé président de l’assemblée nationale, qu’est cette caisse de résonance et d’enregistrement au service du palais alpulaar; ce n’est pas tant pour sa fidélité, matériellement altruiste, à l’égard du pouvoir tortionnaire. C’est un soutien de façade forcé. Allez savoir pourquoi ! Le président de l’assemblée nationale choisit le mauvais choix pour sauver sa peau.
La bête reprend du poil, rempile plus que jamais, signe et persiste : « je soutiendrais Macky sall tant que je vivrais », fulmine-t-il. « Aucun imbécile ne pourra le séparer avec Macky Sall », martelait l’aventurier endurci, il y’ a deux ou trois ans de cela.