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” Le nouveau Habyarimana” : ou ”le Powwer Nedo ko Bandoum” ? Par Ahmadou Diop.

Le laboratoire  du négationnisme, cultive délibérément  la division, décrète le vote d’appartenance ethnique, tout comme il le fait dans ses décrets présidentialistes. Et le diktat du label maléfique n’est tombé pas dans les oreilles des sourds, s’exécutent la tète baissée.

 Et pour cause. Car les concernés bien travaillés, dressésen coupe réglée pour la cause du traitre, s’y complaisent dangereusement, le suivent textuellement, ferment leurs yeux, voteront machinalement et mécaniquement pour  le déshonneur du diviseur ; et peu importe qu’il soit d’orientation ignoble,  c’est la règle édictée Nedo ko Bandoum” ne cherche ni la vérité, ni la droiture, ni le rationnel, mais se mesure par le réflexe identitaire, culturel, se réduit exclusivement en communautarisme repoussant..

L’aventureux-pantin de la déconfiture versus le nouveau  Habyarimana local” « Alpulaarise », « diakhantise» «matamise» tout le Fouta, politise froidement son  appartenance  culturelle, religieuse.

La  praxis du dégingandé agit sans scrupules, ni vergogne,  ni vertu, ni éthique, ni équité, oriente  le vote  « alpulaar »  à Paris –pour sa propre gloire personnelle à  Mantes la jolie- dite la Cité Matam en miniature – privatise, légalise par devers  plus que jamais  son clan  ethnique,  sa préférence  culturelle, qu’il considère comme étant son  talisman, pendant qu’il élague un par un  ses adversaires politiques, tous  sans exception, tombent dans la corde.  Ces pratiques  éculées nous renseignent sur un système mafieux, dangereux, ringard, immoral et rétrograde,  est bien organisé au Sénégal et par  ses folies dépensières à Paris.

 C’est ” le nouveau  Habyarimana” ethnocentrique le « Powwer  Nedo ko Bandoum  à la Matam », installe son  Quartier Général  ethnique  à Mantes-la- jolie.   Pour éradiquer le  triomphalisme  du Mal, nous devons  absolument  y mettre un terme définitif, et  abattre politiquement  par la mécanique tranquille des urnes parlantes,  le maître de l’esbroufe, le symbole de la régression  et la répression au soir du 24 février 2019.

 Le plan  Sénégal  émergent du laquais  en chair et en os rime avec  la dépendance démoniaque, dynamique, coloniale, nous conduit  inexorablement dans une impasse totale, à moins que le jour J en décide autrement par le vacarme  d’un  vote massif  contre l’inimitable chef de bande.  

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