Législatives\ cartel des béni-oui-oui BBY : pas de majorité présidentielle ! (Par Ahmadou Diop)
Qu’importe la Gouvernance boiteuse, présumée le socle s’arcboute dans la Désinformation et la Manipulation : ou le label des méthodes fascistes des mensonges grossiers.
Sans répit, elle privatise la démocratie, fixe les règles du jeu, les limite, contrôle et dresse à elle seule les contours de la liberté d’expression. A cet effet, nous disons niet de façon audible.
Qu’il (le président de la république) fasse des pieds et des mains, qu’il se le tienne pour dit !
Tant que l’étrange variable sera au pouvoir, la politique Adu kalpé- Fo xarci –- des biceps continuera de plus belle par les éternels cirques électoralistes.
Belle pagaille en perspective des dérives cataclysmiques rime parfaitement avec les méthodes fascistes !
Pour une mobilisation massive monolithique massive des députés du peuple par le peule et pour le peuple et non à une simple caisse de résonnance et d’enregistrement pour les yeux du monarque encapuchonné.
Désormais, seul compte le rapport de force pour en finir avec le pion- taciturne- qui joue spontanément sous le piano-américano-français, vide les caisses de l’état, corrompt à tout vent, jouit du pouvoir; car le personnage singulier, s’y accroche telle une teigne, n’a jamais respecté ni de près, ni de loin, les engagements pour lesquels il a été élu par dépit et à défaut, dans les conditions exceptionnelles, inédites n’échappent à personne, sauf les sourds et les muets , hypothétiques.
Qui peut donc nier la brutalité absconse de la soldatesque tyrannique ? Laquelle ne vise qu’à organiser un hold-up-électoral, dans lequel l’issue des scrutins de pacotille ne sera qu’une formalité administrative, abusive, arrachera à tous les coups, un score fantasmagorique digne de lui, comme le sont tous les despotes africains de la pire espèce de sa trempe, en tant que nègre de service pègre de naissance, plaide pour la cause de ses maîtres pour lesquels il a prêté une allégeance indéfectible.
Comme on dit, souvent, ceux qui se ressemblent s’assemblent nécessairement. La graine avariée ne peut produire son contraire, n’est-ce-pas ? Que valent donc les cavalcades de ses prétendus conseillers- mercenaires, alimentaires, nommés ministrons de complaisance–Alpulaar- teigneux,
Tous sont travestis en chambellans- déclarés, pour n’être que des abrutis, s’arrogent et s’érigent, immanquablement en professionnels de l‘imposteur.
Décidément, les échappées torrides calamiteuses, cousues de fil blanc, tiennent lieu de contradiction confiscatoire à la démocratie bancale, dans notre pays étrange et à la renverse.
Comme rien ne change, nous avons le devoir moral de mettre fin aux escalades incessantes du pouvoir tortionnaire fasciste jusqu’à la lie. À défaut le mal chronique ira en pis.
Ça suffit. Trop, c’est trop. Halte stop maintenant ! Nous ne sommes ni des veaux, ni des gueux, encore moins des minables, même s’ils nous prennent pour tels.
Nous avons déjà vu et vécu. Les montagnes de mensonges suintants, organisés qui se perlent à l’infini constituent une vocation chez les pègres nègres de service de naissance durant leur existence jusqu’à leur mort. Cela fait partie des méthodes fascistes, mises en avant par Goebbels, qui fut ministre de la propagande du Reich, Hitler.
Plus ils mentent, plus c’est gros, plus ça passe par la presse de carpe, laquelle est triée au volet, corrompue, domptée et dressée en coupe réglée, relaye en boucle les mensonges grotesques sur toute l’échelle planétaire internationale.
Le despote et ses affidés alliés opportunistes tous moulus sous la bannière apocalyptique, versus BBY- Wor sunurewmi, s’érigent en cartel pantouflard, se contentent dans son rôle de supplétifs- doungorous, brillent par des ritournelles, pour demeurer et croire préserver leurs privilèges indus, s’octroient librement tous les postes, qu’ils partagent avec la démocratie ethnocentrique, débridée, s’accommodent; tuent les règles les plus élémentaires des contradictions, ne cherchent qu’à réduire en bande organisée toute l’opposition réunie à sa plus simple expression, sous la bienveillance et le diktat de celui qui n’a jamais la moindre qualité d’un véritable d’état, si ce n’est qu’il est un chef de clan endurci.
De façon constante, le changeant parle plus qu’il ne traduit en action matérielle sur le terrain du crime. Curieusement, le même homme se dégonfle et s’est autoproclamé le maître de la rupture. Mon œil !
Nous ne le disons jamais assez, car la transhumance est non seulement compatible mais reste l’apanage des consciences abîmées, un marqueur indélébile chez les faibles d’esprit.
Comme tout faussaire né, déclaré de naissance de son espèce, le singulier pédigrée taciturne, introverti, viscéralement vindicatif par nature, ne déroge point à la règle édictée, pour parvenir à ses fins, s’est assagi dans une apparence de façade, malgré son venin mortel, a réussi à gagner la confiance de son mentor, lequel se croyait naïvement comme étant l’éternel maître du jeu, s’est lourdement fourvoyé; n’a mordu que la poussière.
Puisque le principal acteur au cœur de l’état, qui est aujourd’hui niché derrière les grilles d’un palais estampillé alpulaar, vit sous les lambris dorés de la république, s’enrichit illicitement plus que d’autres, poursuit du haut de son piédestal, tout citoyen libre et indépendant et tous ses opposants politiques, réels ou supposés, qui lui font de l’ombre.
Selon le socle de la rupture éclopée, pour faire taire donc toute voix dissonante des opinons libres, dans un état de droit, toute capacité de résistance est automatiquement synonyme de trouble à l’ordre public, ou source de déstabilisation de son régime calamiteux, qui est fondamentalement ségrégationniste par définition, si l’on en juge par les mêmes patronymes particuliers, s’accaparant allégrement et exclusivement toutes les hautes structures que compte l’état du Sénégal, comme s’il n’y a qu’eux, s’autoproclament les plus compétents que les autres sénégalais, classés de seconde zone.
Afin de parachever l’autoritarisme et neutraliser de facto et sans état d’âme, tout contre-pouvoir, indispensable dans un état civilisé, l‘incorrigible irascible use et abuse dangereusement de la force publique dans un esprit de revanche mal placé, utilise par devers et contre tous ses auxiliaires de service, brossés, tous dociles, s’exécutent bassement sous l’autel de la rengaine renversante, obéissent au doigt et à l’œil promptement, machinalement et mécaniquement, tels des bruts énergumènes .
Depuis 5 ns, une justice partiale, partielle, parcellaire, coupable, dérape sans répit, se complait, se ridiculise, se met en jointure avec le chef du clan mafieux, prête le flanc, abdique et à la place publique, par consentement réactionnaire, est soumise jusqu’à la lie, au pouvoir autoritaire, tortionnaire, en faillite, agit sur commande du chef de l’exécutif, en échange des galons indus sur des bases purement matérielles ou de prestige de piètre qualité.
Les audits décriés de la discorde et à géométrie variable, se poursuivent en grande pompe, selon les mauvaises postures au mauvais endroit et au mauvais moment. Les récalcitrants, indociles sont traqués, châtiés, livrés à la vindicte par la servilité interposée, vivent dans le purgatoire.
Pendant ce temps, tous les corrompus-doungourous, qui se sont bien enrichis dans le défunt régime, se transvasent, transhument sans vergogne dans la machine toxique, franc-maçonnique, circulent librement, bénéficient mécaniquement de promotion sociale injustifiée. C’est ç a donc le plan Sénégal émergent, selon la vision étriquée du je et partie.
Dire que nous sommes au cœur d’un régime présidentiel, qui tourne en plein régime, relève incontestablement d’un euphémisme déconcertant.
Le président-monarque dispose de tous les leviers du pouvoir par sa posture que lui confère la constitution moribonde : une contradiction, plus qu’une imposture contre les libertés de conscience, voire une offense contre le peuple. Ce n’est plus ni moins qu’un véritable d’Achille contre-productif et à la démocratie.
Le monarque présumé est donc par essence juge et partie. Point de contre-pouvoir, aucune ligne Maginot n’est dressée contre lui. Il décide tout seul in fine et tranche en lieu et place de tout le monde.
Pour cela, si nous voulons mettre la démocratie, aujourd’hui bafouée plus qu’hier, il nous incombe de changer les règles de l’establishment, qui consiste renverser le rapport de force, face à un tyran, qui ne recule devant rien.
En conséquence, lors des élections législatives des éternelles comédies, en attribuant une majorité parlementaire Macky Sall, le symbole maléfique de la régression en continu et à ses alliés BBY, cela constituera une malédiction impardonnable et une faute politique lourde aux conséquences incalculables.
Je l’ai déjà dit, martelé, écrit à maintes reprises, Car si l’on veut l’on veut mettre fin aux prévarications à répétitions des fonctionnaires politicards, soit, il nous faudrait un directoire collégial, composé de magistrats et de juges totalement libres et indépendants du pouvoir politique, soit, les élire directement au suffrage universel, à l’instar des grandes démocraties des pays anglo- saxons.
Par ricochet, il est plus que salutaire de réformer impérativement le statut d’impunité du président de la République.
Mais faut-il que nous tous puisions avoir le réflexe et la présence d’esprit pour restaurer le régime parlementaire tel qu’il en existe dans le monde démocratique. Nous devons nous en inspirer et faire de sorte qu’il soit un déclic national. Alors que, le citoyen lambda est brutalisé, le plus souvent pour des broutilles.
Or, celui qui s’autoproclame piteusement comme le cheval blanc de la démocratie des leurres, s’est engraissé sordidement sur l’épaule de la république, qu’il considère comme son éternelle vache à lait, dans des conditions scandaleuses totalement ostentatoires, attentatoires, au nom et par le miracle des postes de nomination tan sa bula nex, a mis toute sa famille immédiate et son clan, cachait non seulement son jeu, mais tissait insidieusement sa toile d’araignée à l’échelle planétaire internationale dans le silence absolu.
Alors le renard, dans le secret des dieux, affiche admirablement, publiquement, montre un dévouement trompe-l’œil, de façon, vis-à-vis de son chef supérieur.
la vraie rupture constituait sa thématique campagne électorale, mais l’intrépide personnage atypique des méthodes aléatoires, s’est curieusement métamorphosé en rituel professionnel imposteur, profanateur impénitent des reniements change peu à peu son fusil d’épaule, une fois qu’il est sur les manettes, démontre à la place publique sa véritable nature qui lui colle à la peau.
Depuis hélas, le regrettable soir historique du 25 mars 2012 et sans discontinuer, jusqu’ici, l’étrange label des méthodes fascistes des mensonges grossiers continue sa trajectoire totalitaire, imprime sa marque de fabrique envers et contre tous par l’achat des consciences abimées, alors que la majorité des sénégalais désemparés, astiqués, siphonnés, vivent dans l’enfer permanent et dans une misère chronique, intenable, indescriptible et à l’indifférence quasi générale totale des blaireaux, se frottent éperdument les mains.