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Les nouvelles stratégies expansionnistes soft en Afrique noire sous tutelle. Par Ahmadou Diop Leader CPC

francois François Hollande et la francafrique
francois François Hollande et la francafrique

francois François Hollande et Macky SallLes nouvelles combines du néocolonialisme ou la politique du serpent qui change sa peau, mais garde sa vraie nature.

Patriotisme et nationalisme, sont source d’éthique, d’équité : une dynamique d’indépendance et d’émergence pour la libération totale du Sénégal et de toute l’Afrique entière.

Pour les impérialistes, le poste de président de la république en Afrique des indigènes nègres vassaux de service, se conçoit dans la cour des oppresseurs et des falsificateurs de tous les temps.

La même logique abracadabrantesque dans le substrat suprémaciste blanc, bon teint, viscéralement raciste, atavique par nature, dénie le statut de héros au nègre résistant.

Etrangement, parler des pays riches, signifie dans l’entendement de l’esprit rationnel que la plupart des nations les plus puissantes ont commis les crimes les plus abominables contre l’humanité, tandis qu’à l’inverse, les pays les plus pauvres possèdent toutes les ressources minières, pétrolières, inestimables. Pour ce faire, il fallut créer habilement nécessairement des outils de dominations et perpétuer, ainsi, l’impérialisme sous d’autres formes.

Par ailleurs, il est de notoriété internationale que les intrusions et collusions impérialistes, indirectes ou directes dans les affaires politico- africaines, témoignent éloquemment le renforcement des entreprises étrangères et leurs instituions bancaires, satellites, en particulier, françaises, monopolisent depuis les indépendances d’apparence, sans partage toutes les économies dévalisées des pays francophones, tenus d’une main de fer par des pions, fascistes, voleurs professionnels, agissant librement en toute impunité; constituent ce qu’il est convenu d’appeler une schizonévrose congénitale séculaire.

En Afrique des nègres de la servitude, nauséabonde, des flétrissures vassalisées jusqu’à la moelle, il est inutile d’ergoter ou de disserter sur les pillages organisées des ressources africaines, tendant à alimenter les industries lourdes extra africaines.

Autrement dit, l’opacité crée nécessairement en tout temps, un consensus à l’échelle supra nationale hexagonale. Un fait parfaitement établi et bien encré dans le substrat politique suprémaciste, qu’on ne peut récuser.

La nouvelle hégémonie «soft » exerce son expansionnisme à travers ses relais nègres de service. On récupère par la main droite ce que l’on a perdu de la main gauche. C’est la règle ou la nouvelle entente tacite et directe pour se partager le monde.

Élire des médiocres à l’envers du décor contre ceux qui devraient l’être à l’endroit et à la place qu’il faut, c’est aussi agir à contresens de l’histoire. C’est aussi pérenniser par ricochet, sans le savoir, perpétuer indirectement la domination de ceux qui nous ont toujours opprimés.

Un peuple qui a plus souffert que toute autre race, a été victime des brimades, les humiliations les plus choquantes de toute l’histoire de l’humanité, doit à un moment, forger sa conscience pour son passé si douloureux et s’unir comme un seul homme, pour aller dans le sens du progrès.

Mais apparemment, et aussi extraordinaire que cela puisse paraître, en Afrique sous tutelle des élites de pacotille versatiles, vassalisées, asservies et bien dociles jusqu’à l’os, tels des moutons tondus, font la pluie et le beau temps.

Dans ces conditions, l’éternel anathème, ira toujours en pis, tant que la sacro-sainte loi du fatalisme ahurissant sévit à l’échelle continentale africaine.

L’Afrique noire au sud du Sahara qui a en commun la langue française est le seul endroit au monde où les cow-boys s’érigent en éternels pompiers et pyromanes. Ailleurs, la résistance en action, consensuelle, triomphe et quelle soit la division des uns et des autres.
Mais ici, la désunion faisant florès, offre le terrain de prédilection à des traitres corporatistes, ethniques, coalisés, tous debout et unis, tel un cordon ombilical, restent les sempiternels vainqueurs contre vents et marées. D’où l’exceptionnel mélodrame africain.

Est-ce donc l’effet de l’aliénation culturelle qui a phagocyté les esprits, tendant à ôter toute capacité de résistance face à des despotes, égoïstes qui ne s’encombrent, outre mesure, d’aucune lueur de moralité probante ?

Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, main basse de toutes les richesses naturelles du Sénégal par des entreprises étrangères colonialistes, capitalistes, françaises, monopolisent, sans coup férir, toute l’économie nationale, pillée, totalement extravertie pour alimenter leurs industries lourdes au grand dam des sentinelles sénégalaises, anesthésiées, minoritaires, qu’on zappe hystériquement dans ce pays étrange et à la renverse, au bénéfice des traitres les plus organisés historiquement et jusqu’à maintenant.

Pour cela, et pour arriver à leurs fins, le gendarme colonial, très habile dans l’art du diviser pour régner, change radicalement son fusil d’épaule, mais garde bien sa peau, prend intelligemment le soin de réhabiliter les médiocres de référence de service, attitrés, qu’il peint faussement sous des oripeaux victimaires, de sorte qu’ils soient blanchis, crédibles au niveau de l’opinion de la communauté internationale suprémaciste communautariste blanche, autoproclamée faiseur d’opinions.

Et la presse locale de servitude, convertie en relais, corrompus, arrimés au régime totalitaire, s’alignent, s’impliquent et s’inclinent machinalement, bassement, telle une toile d’araignée, accordent son violon à celui de la référence médiatique, propagandiste, mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.

Macky Sall, « le gouverneur de la France au Sénégal ou l’affairiste Pétain Noir », le laquais après avoir été élevé au grade de Grand Officier de la légion d’honneur de la France, renvoie l’ascenseur en toute logique à ses maîtres, gère les affaires mal placées du colonialisme édulcoré, joue nécessairement sur le piano américano français.

C’est ça bien la face cachée du nouveau colonialisme « soft », préfère se faire représenter sur le terrain du crime avec des patrons prête-noms, lesquels ne sont que des valets, sous la bienveillance de ce nègre de service, agit naturellement pour le compte de ses propriétaires , domiciliés respectivement du coté de la Sein , outre manche, en particulier, l’hémisphère nord, reste la principale cheville ouvrière de l’exploitation du pétrole de l’état du Sénégal, découvert curieusement aux larges du Sénégal et comme par hasard au moment où le fraudeur, arrive au pouvoir par effraction à cause de l’esclandre de ses milliards, sortis de terre on ne sait où et comment ?

Par Ahmadou Diop CPC

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