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L’état des lieux d’un régime d’apartheid social et ses médias de carpes. Qui oserait parler d’éthique et d’équité ?

macky-dictature-3Entre un état policier des coups de poing et d’apartheid social, point d’éthique, ni d’équité, c’est le moins que l’on puisse dire !

L’exceptionnalité d’un régime d’apartheid social et sa presse de carpe, l’étrange répartiteur des galons entortillés, continue ses orientations obscures.

Décryptage d’un état policier, sous tutelle colonialiste : En vérité, pour les impérialistes, la démocratie et le développement en Afrique sous tutelle, n’ont jamais été des priorités absolues. D’ailleurs, le contraire serait étonnant.

Et pour cause. Les dithyrambes de complaisance, de Christine Lagarde, la directrice générale du FMI magnifiant la démocratie sénégalaise en janvier dernier, déclarait :

« Le Sénégal peut s’enorgueillir de grands succès ». Dans son subconscient elle, n’en pense pas un seul mot de ce qu’elle avance. C’est un exutoire pour se donner bonne conscience.

L’esprit rationnel peut-il accepter que l’on puisse réduire en esclavage quatre siècles durant tout un continent et vouloir l’aider ?

Un non sens. Les pyromanes pillent les ressources, créent des guerres, divisent, mettent les uns contre les autres, pour reconstruire et venir en pompier de service. C’est la règle de l’hypocrisie.

L’apologie de la transhumance sévit Ce régime de pugilat aux velléités démesurément hégémoniques totalitaires, ethniques, brille par sa singularité. Apparemment, les médias et organes de presse, à l’exception de notre radio Sunuker FM – la première radio Africaine en Californie – Sunu Radio bou mag bi, naturellement de renommée internationale – le support médiatique le plus crédible, tous les autres marchent au pas du politiquement incapable, qui ne s’encombre, outre mesure, d’aucune moralité palpable.

Le cas d’espèce au Sénégal agite les consciences fertiles. La dépendance politique et financière de la presse constitue une menace à la démocratie.

Étrangement, le préjugé modèle de la rupture, autoproclamé sorcier, qui a ressuscité la crei, laquelle cour est totalement invisible dans les radars juridiques, existants au Sénégal, mais qu’importe, le même locataire provisoire du palais, rebelle à la démocratie, franchit allégrement le Rubicon, n’y va plus avec le dos de la cuillère, s’en fout de tout, fait automatiquement l’apologie de la transhumance contre l’opposition, un contre-pouvoir indispensable dans un état apparenté de droit, qu’il veut réduire à sa plus simple expression. Autrement dit, toute opposition réelle ou supposée comme telle, est considérée comme l’ennemie publique.

Décidément, non seulement la rhétorique emphatique, médiatico-politique des biens mal acquis ou le rapatriement des biens spoliés placés à l’étranger, perd sa valeur présagée, mais le poursuivant burlesque de tous les temps, pris dans son propre piège, s’humilie lui-même à la face du monde.

C’est ça aussi la face cachée du maquilleur et les dessous de ses sous, comme il en existe partout chez les nègres autocrates de la françafrique !

En lieu et place d’une bonne gouvernance économique saine, politique, efficiente, transparente, la convergence d’une ribambelle de vautours sans éthique, ni équité, tient lieu de rupture.

Qu’on le veuille ou non, de toute l’histoire du Sénégal à nos jours, un tel régime si bas par ses méthodes bassement politiques n’a été décrié jusqu’ici par ses cargaisons époustouflantes d’indécences abusives, exclusivement spectaculaires, lesquelles sont consubstantiellement conformes aux pratiques douteuses des adeptes de l’indignité mystérieuse.

Un peuple déficitaire politiquement, qui passe tout son temps à n’élire que des traitres, ne peut que créer lui-même ses propres déconvenues chroniques, exponentielles, est le seul comptable de son étourderie collective, massivement généralisée. « ndimël da cy fecc loxol borom »- aide-toi, le ciel t’aidera, dit-on !

Une certaine classe politique cartellisée sous la bannière benoo bok yakaar éminemment mafieuse, médiocratique, niéniocratique, coalisée en vulgaires combinards-franc-maçonniques dans l’âme, en totale complicité avec la mafiafrique, plombe la démocratie de 60 à nos jours.

Ce régime se résume par des provocations, dépenses onéreuses, voyages superflus, distributions massives de grades surréalistes à tout vent, campagne électorale permanente d’un régime pandémique, corrompu, budgétivore, clientéliste, incapable, arrogant, suffisant, moribond de brigandage, nous bombarde d’une rupture d’escroquerie, labellisée par une presse corrompue, bien gloutonnée, en lien avec des politiques aux consciences altérées.

Un pays, une famille, des litanies de scandales infinis. Chaque jour que dieu fait, les sénégalais trinquent et trépassent, risquent leurs vies dans les océans, un état partial, cliniquement d’apartheid social, place ouvertement « des Faye-Sall, Gassama , Timbo et Cie » dans des postes de hautes stratégies, comme si les nominations correspondent à l’aune de la république « apérisée ».

En vérité, l’homme des parloes dédites garantit ouvertement la convertibilité de la rupture à l’impunité. Ces faits établis, font l’unanimité à l’échelle nationale. Aucune discussion n’est possible sur cette question, encore moins ou d’ergoter là-dessus, à moins que l’on soit de mauvaise foi.

Sans une presse forte, libre, indépendante du pouvoir exécutif, totalitaire, croire à la moindre lueur d’espoir relève d’une illusion monumentale.

Celui qui a été dans des conditions totalement exceptionnelles, inédites a commis un parjure au su et au vu de tout le monde, se focalise exclusivement sur la traque des biens acquis très ciblés, s’est dédit de ses engagements électoraux comme si le peuple est oublieux.

La rupture devient une imposture de gouvernance népotique, gabégique.

Les emprunts obligataires ne servent qu’à massifier par la ruse un parti politique, cliniquement clanique.
Macky a totalement menti à son peuple pour n’avoir pas honoré à la lettre ses promesses électorales, bien visibles dans les archives des médiatiques, en particulier les Assises Nationales, sciemment laissées aux vestiaires.

Pourquoi, donc le professeur Amadou Moctar Mbow a t-il accepté la CNRI- [commission nationale chargée de la réforme des institutions], coûtant la bagatelle de 700 millions de francs CFA, alors que les fondations nationales, écrites par des experts de haut niveau, sont là pour changer radicalement la constitution moribonde du Sénégal ?

Par Ahmadou Diop PCP

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