L’Etat –Macky Sall, pollueur victimaire des leurres ? Par Ahmadou Diop
Que cache le prétendu code de la presse ? Une certaine presse elle-même corrompue et bien aux attaches de la démocratie familiale, titre pompeusement Code de la presse : les acteurs votent l’adoption- ou les acteurs politicards cartellisés et alignés s’exécuteront bassement, en votant une loi scélérate et immorale.
Le Gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple : un tissuthèque de mensonges grotesques.
Et pourquoi ne parle-t-on pas du code de l’intégrité des politiques ? Evidemment ceux qui nous gouvernent d’une main de fer, ne vont jamais confectionner des lois, allant à l’encontre de leurs propres intérêts mesquins. Le tout répressif ne doit concerner que les citoyens soumis, classés de seconde zone.
A propos de la presse, le regretté, célébrissime, visionnaire noir américain, Malcolm X, disait ceci : « Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. »
Le prétendu code de la presse n’est qu’une habileté choquante pour canaliser les journalistes récalcitrants dans la trajectoire du régime fasciste. Il ne s’agit que d’une rétention despotique de l’information, de manière que les citoyens n’aient pas accès à la vérité.
Est-ce donc un hasard au moment où le débat sur le pétrole et gaz du fait rage dans le tout pays, que l’état d’apartheid veuille faire voter telle une loi décousue de fond en comble ?
Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle et contrôle la presse, est totalitaire par définition. La liberté de presse ne peut être un délit. Pour le faussaire, velléitaire hégémonique, ou le virtuose de classe exceptionnelle, tout traitement objectif de l’information et la confrontation des idées par presse, sont automatiquement bannies.
Celui qui contrôle la presse la presse, contrôle tout le pays. Tout régime fasciste contrôle la presse.
Le parlementarisme au Sénégal n’a plus de sens, ni un sacerdoce, perd sa raison d’être. L’Assemblée Nationale godillot est réduite dans sa plus simple expression pour n’être que caisse de résonnance et d’enregistrement au service du régime totalitaire.
Le code de la presse est liberticide, vise à restreindre d’opinion et la liberté d’expression. Dans ces conditions, le journaliste professionnel ne peut plus rapporter la parole des citoyens libres et éclairer l’opinion publique, en particulier sur les affaires de la cité. C’est une violation flagrante contre le droit de tout peuple et une confiscation de la démocratie, fondée sur l’arbitraire : une dictature et une ignominie abominable.
Avec Macky Sall, on a tout vu. Plus c’est gros, plus ça passe. Voilà les méthodes hitlériennes !
Autrement dit, le journaliste qui sait, doit se taire, car les interdits injustifiés pèsent sur sa tête comme l’épée de Damoclès. Un net recul des progrès.
Élections présidentielles ou familiales A quoi servent les cirques électoraux, face à un voyou et ses souteneurs larbins travestis en vacataires indécrottables ?
La ligne droite est la plus courte. Ne jamais reporter ce qui est bien possible maintenant.
L’opposition a-t-elle vraiment écrit à manuels pour protester contre les parades totalitaires du fasciste ethniciste, ségrégationniste, dont le délinquant en la personne de Macky Sall, s’érige le maître des céans, se dénomme le Mussolini local tire par derrière toutes les ficelles ? S’agit-il d’une commande du chef de l’exécutif, qui diligente pour jouer les trouble- fête ?
Vérité, intox, désinformation manipulation ? Tout y est possible. Mais Malick Gakou dément formellement la conjecturée correspondance. Qui croire ? Ce qui compte, c’est l’action matérielle sur le terrain du crime et non des incantations vaines.
Le propre frère du président, Aliou Sall, journaliste de formation, un inconnu, d’hier, réussit spectaculairement une prouesse et crée en un quart de tour la société Petro-Tim Sénégal S.A, quelques mois après l’accession de son frère, élu président de la république du Sénégal.
Il n y a qu’une seule alternative : virer le voyou- caïd, notoire, et le mettre hors d’état de nuire. À défaut, le mal ira en pis, car le réveil sera brutal et il y aura des gueules de bois quand ce sera trop tard pour croire pouvoir corriger le tir.
Macky Sall, un Président partisan, élu par défaut et à dépit, instaure la démocratie clanique : Invisibilité du décret présidentiel pour l’organisation des parodies législatives, ou la face cachée des élections présidentielles parentales en perspective ?
Alors entre Abdou Latif Coulibaly, qui se dressait en estocade contre la tyrannie présumée de la dynastie des wade et Adou Latif Coulibaly sermonne à voix audible –Takh Rip. « Le protégé » a-t-il donc bu par inadvertance le calice magique les eaux polluantes de l’Envoyé Spécial colonial, accrédité à Dakar ?.
Abdou Latif Coulibaly, l’éternel pollueur, brosse son inspirateur sous des oripeaux victimaires.
Cela nous paraît surprenant et incongru de la part de quelqu’un qui voit le soleil et ne l’admet pas.
Abdou Latif Coulibaly sur la polémique sur les contrats pétroliers : «Un débat volontairement pollué»
Abdou Latif Coubaly, l’éternel pollueur des charivaris torrentiels à la pelle contre Abdoulaye Wade , défend-il vraiment des valeurs ou ses propres intérêts crypto personnels, non avoués ? L’homme s’est –il donc transmué en mercenaire machiavel de la propagande tyrannique auprès de l’archétypique singulier, qu’il adule et qui est étrangement devenu le promoteur dans l’art de l’ethnocentrisme débridé , du népotisme , de la gabegie outrancière et des marchés de gré à gré, comme système de mal gouvernance ?
Le journaliste change radicalement et curieusement sa monture et son fusil d’épaule, fait vent debout contre tous et acte par son inattention, prend le contre pied de ce qu’il dénonçait orbi et urbi hier : le personnage extravagant labellise, acte ipso facto le Népotisme, le favoritisme, la Gabegie, les Corruptions massives à tout vent, fait abstraction totale de l’ anarchie des postes de nominations qui obéit aux orientations ethniques et par des décrets présidentiels arbitraires à n’en plus finir, à l’encontre de fonctionnaires, indociles : manipulations, mensonges grotesques, haine viscérale, ethnique inouïe, discriminations, trahisons plurielles, coups bas, notamment la confiscation totale sur le pétrole et gaz du Sénégal par Macky sall himself, dénommé à juste titre l’affairiste Pétain Noir en chair et en os, l’anathème faussement présumé le parangon de la rupture, cumule de façon indécente le poste de président de la république et le Secrétaire Général de l’APR.
La puissance de l’argent facile en abondance est-elle donc la seule raison de son revirement spectaculaire à couper le souffle ? Nous le croyons dans notre intime conviction.
En vérité, l’actuel président de la république, estampillé chef de clan, est pire que son devancier, pour avoir menti de fond en comble et sans vergogne et sur toute la ligne, en particulier sur la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, à laquelle il s’est déchargé publiquement par ses rapines politiques, qu’il prouvées par la parodie référendaire, dont il a l’unique secret.