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L’IGE soumise, est-elle devenue aussi un Instrument Politique comme tout le reste ? (Par Ahmadou Diop).

Tout d’abord, la qualité de l’IGE  est  bien un  Grand  Mot,  emphatique, Creux comme tous les organes tous  soumis ne  marchent  qu’aux pas du dictateur  encombrant, pour dire la vérité, rien que la vérité.

L’IGE : ou l’Instrument Politique, soumis  au service du pouvoir Despotique  Ethnique ?

L’IGE et les autres  institutions apparaissent toutes sans exception  sous contrôle  du chef  de l’exécutif.

koulay Abal Ay BËT Molay WAX FI Ngay Xol – tous  ces  organes supposés de contrôle institutionnels   ne  sont que que  des structures factices  dans lesquelles Macky sall, le changeant  place ses hommes s’érigent  « en Sourgas »   dociles et bien dévoués n’est-ce ?

D’où la nécessité absolue de changer les règles du jeu, à l’instar des grandes démocraties. Les mêmes  causes reproduisant  nécessairement les mêmes effets  qui n’ont que trop duré.

Avant de continuer  notre analyse  sur la gestion chaotique, nébuleuse, du régime néocolonial en place, selon la servilité plumitive  d’une certaine   presse,  le  candidat du PDS aux législatives : « Boubacar THIAM arrêté en Mauritanie pour fétichisme ».

Décidément, à quelques encablures des  législatives électoralistes en juillet 2017, le mois béni des submersions  cataclysmiques tous  les  coups sont  désormais permis.

C’est  l’hôpital qui se moque de l’auspice. La servitude a-t-elle donc oublié la cassure du tuyau  d’eau , suite  de la magie  noire de Keur Momar   Sarr  a privé d’eau  tout toute la Capitale  sénégalaise  pendant  un  long mois. Le maitre colonial  qui a été appelé à la rescousse  n’avait d’autre choix que de le  réparer  d’urgence pour limiter les dégâts collatéraux et colmater es brèches.

Malgré sa tonalité à tambour battant, l’institution suscitée, déclarée, n’est qu’un  Géant  virtuel  aux pieds d’argile, reste aux attaches de la soldatesque  tyrannique waffen SS.

Que l’on ne s’y trompe guère, elle  n’est qu’un maillon de la chaîne  sous contrôle  du procureur réel  de la république des caïds et des fripouilles, s’adjuge  en outre le  promoteur du népotisme et de la mal gouvernance, le symbole manifeste du misérabilisme étouffant.

Le  taciturne Macky Sall- Mikar, qui est à la fois  le président de la république et  le secrétaire  général de son propre parti politique cliniquement clanique, passe par derrière  et  s’implique  davantage  et déloyalement dans la campagne électorale,  arrose  massivement Benno bokk yakaar, ou   l’escarcelle  du   cartel bok  wor Sunu Rewmi, dont Ousmane Tanor Dieng,  l’irréfléchi,  inimitable arriviste opportuniste,  l’autre pedigree,  catapulté au  sommet  de  la prétendue sommité HCCT-  changée  en Sénat Bis :  le recyclage  des déchets toxiques avec les deniers de l’état du contribuable sénégalais méprisé.

En vérité,  la démocratie biaisée, amputée. et cela crée  un déséquilibre effarant  entre les forces  en présence  entraîne de facto la  fausseté des  règles de la transparence  régalienne  dans état qui s’enorgueillit de  droit. Dans ces conditions, parler  de suffrage universel,  transparent  est synonyme d’hypocrisie. Au sein de  benno bok yakaar, la  tanière , ou l’assemblage des mercenaires, ou   l’éternel  duel à mort, ou les deux chiens  faïence pour sauver leurs, peaux,   se retrouvent tous les deux  dans le club  représenté par  la machine  toxique franc-maçonnique, en l’occurrence,   Ousmane Tanor dieng- Moustapha Niasse s’acclimatent  adjectivement  dans des marchandises  époustouflantes, nous  donnent  la mesure que  ces gens-là, qui aucune  parcelle de vertu,  ne sont  motivés que par la part du gain,  n’ont jamais la moindre fibre  d’honorabilité,  mais des carences  mortifères, contre-productives, des ambitions personnelles  et des privilèges, ni de conviction  politique, ni  de moralité,  peu ou prou. C’est le moins que l’on puisse dire.

À quoi  joue donc  l’IGE, le bras armé, apparenté  au régime  fasciste  des rapines politiques ?   Les postes familiaux se mesurent, se multiplient à l’aune  de  la  démocratie  familiale  des fils  de notables prétendus.

De 63 à nos jours,  la monarchie présidentielle qui est totalement illégale  sévit de plus belle.  Tout change par a bande des combinards  pour que tout continue et rien  ne change en vérité.   Alors, ceux qui se ressemblent  s’assemblent, n’est-ce pas ?

 Tantôt,  elle   fait  preuve  d’ambigüité, tantôt  elle insinue des propos  obscurs-clairs , aigre –doux,  alambiqués,  ou des  conjectures ;  à  la  seule fin de brouiller les pistes, pour   paraître  équidistante, afin de  montrer une neutralité  confuse,  entre  les turpitudes  du juge et partie,  et  Karim wade, ancien super ministre d’état du Ciel  et de la Terre sur sa collusion supposée  sur la signature du contrat  du pétrole.

 L’objectif majeur n’est-il pas  de nature à  accorder des circonstances atténuantes à  Macky Sall et pour plaire  au despote incorrigible, de sorte que personne n’y   comprenne plus  rien sur l’octroi  de la licence.

 En politique, tout se tient.  Car  on aura beau  vouloir  des institutions fortes,  si  Macky Sall y appose sympathiquement  son empreinte digitale,  passe au crible, verrouille sciemment   les informations et la communication,    trie au volet   pour   sa propre convenance ceux qui doivent  passer «  à la potence   politique », oui ou  non,   travestit allégrement  les faits accablants, manipule par l’intox ses ustensiles de cuisines,   les maquille , comme  l’indique son nom, ou foule du  pied les faits  troublants , bénit ses  affidés, ferrés, transmués en   captifs,  qui  lui obéissent  machinalement, promptement,  et  qu’il blanchit  par ses dérives exponentielles,  du haut de son piédestal  et à travers sa justice  hérétique, docile  prête à exécuter les basses œuvres, en échange sûrement  de galons indus, à  caractère la fois  ethnique et politique,  et  pour des  raisons  bassement  matérielles,  de notoriété ou de prestige ?

Il  faut que  nous ayons  la présence d’esprit à  élire   convenablement  des patriotes altruistes et   de conviction  à la place  qu’il faut et  à  l’endroit, au   lieu  de désigner  mécaniquement  par le suffrage universel  à défaut et à par dépit,  des imposteurs nés,  changeants,  qui  agissent sans éthique, ni équité, ni scrupules, se convertissent  en  chapardeurs, déclarés,  sortis de nulle part on ne sait où et comment, gouvernent  sans discernement , sans foi, ni  loi par leur  brutalité absconse,  qui est  inscrite de marbre et  de façon irréversible   dans leur ADN, exceptionnel  et sur fond  de discrimination notoire au su et au vu de tout le monde.

Mais faut-il  que  nous ayons la capacité politique de choisir souverainement, librement  en toute conscience et en toute indépendance    ceux qui   ne défendent  que   les intérêts supérieurs de la nation.

Rappel : 89 millions  de FCFA COUD ont  attribués  à l’occasion de la visite du Président de la République  à l’Université Cheikh Anta Diop.

Ces subventions ont été accordées le 13 août 2015.  Pire, l’enquête révèle  qu’aucune trace de l’effectivité des dépenses annoncées et que ces montants ont été accordés et décaissés sans suivre la procédure réglementaire qui prescrit que toute subvention doit être autorisée par le Conseil d’Administration. Le directeur  qui  n’a aucune décence,  ne  s’inquiète outre mesure, a donc agi en toute impunité.

 Est –ce donc  la raison  pour laquelle Nafi Ngom Keita a été défenestrée et remplacée  par  un retraité, fidèle au tyran  de Macky Sall,  qui reprend du service ? Nous le croyons en toute conviction.  C’est le mode opératoire de l’absolutisme.

Cela nous renseigne éloquemment que toutes ces prétendues institutions, telles  les structures  symbolisées par  l’IGE,  la CREI, la Cour des Comptes, la Cour suprême, etc.,  sont  plus que jamais  vassalisées,   et  demeurent  des  factices,  n’ont d’existence réelle  que dans l’apparence,   n’obéissent qu’au président de la république.

Où est donc la cour des Comptes,  ou  la  cohorte  des auxiliaires de service  se  travestissent  en béni oui-oui et  en guignols BËK, groupés,  ne voient rien,  n’entendent rien,  apparaissent  sourds;  mais  s’agitent  ouvertement à la place publique, restent visibles, lorsqu’il  s’agit des citoyens  libres  que l’on embastille, brutalise  pour des broutilles, , pour les humilier ?

Cette cour des Comptes n’en est  pas une, ni  un  cas isolé, tant s’en  faut. Il y en a beaucoup  plus  à  la pelle au contraire.

C’est bien la fâchée de l’iceberg,  versus  la république parentale, ou la   rupture éclopée, selon le modèle  de  l’autocrate.

 Citons-en  quelques  représentants hypothétiques,  annexés, tels   L’IGE et la panoplie  des autres  Organes d’Etats   comme  l’ Inspection Générale des Finances emphatiques :  ou les instruments politiques, de propagandistes, clientélistes, encapuchonnés,  tous  soumis  au service du pouvoir  apocalyptique, usurière et  totalitaire.

Un bien grand mot  trompe-œil, insignifiant, au regard de la délinquance financière nationale et internationale,   incarnée   par celui qui s’est bel et bien  enrichi plus que d’autres par les raccourcis politiques.

 Peut-on donc  alors parler de bonne gouvernance et de transparence visible à l’action sur le terrain. ?

L’IGE est-elle un instrument de propagande délictueux au service  du pouvoir négationniste, ethnique d’apartheid ?

 Les rapports entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif, judiciaire et médiatique qui  sont ténus,  restent plus que jamais  incestueux plus hier. Leur respectabilité d’apparence  dépend de leur servitude vis-à-vis du chef de l’exécutif, qui est totalement corrompu.

Comment accepter   l’idée que l’on puisse  respecter un voleur, pris la main dans le sac,  plastronnait à travers les médias de la planète entière,  promettait vaille que vaille  la bonne gouvernance , transparente, saine, que sais-je encore,   qui fut très prolixe sur la scène politique,  pauvre, très  pauvre,    avec un visage émacié, en 2000,  hier, tirait le diable par la queue et vivait avec sa femme dans les quartiers populaire de la Capitale sénégalaise,  s’est subitement engraissé miraculeusement,    quatre ans après ses nombreuses nominations Tan Sa Bula Nex, au point qu’il est  devenu méconnaissable,  joufflu,  trapu par sa surcharge pondérale.

Même sa femme au foyer, s’est elle-même enrichie, reste  la propriétaire  non seulement  de la permanence  de son mari,  mais elle  possède un patrimoine immobilier  estimé à plusieurs milliards de  F CFA.

Mais le comble du comble, c’est que  toute sa famille  immédiate,  les frères,  tantes, cousins, cousines,  les oncles, les amis,  les parents d’alliance sont aujourd’hui de tout besoin, ouvrent des comptes bancaires bien fournis  à tout vent et à travers la planète entière.  Le beau-père, s’est  propulse  à la tête de Pétrosen, une entreprise de droit sénégalais.

C’est la règle des réciprocités dans les démocraties familiales en Afrique des nègres de service.

Dans un état de droit  civilisé, transparent, Macky Sall,  l’homme des scandales  et des pantalonnades ubuesques,  devrait  bénéficier d’une enquête   parlementaire, rigoureuse en toute indépendance, en toute logique, le conduirait devant les tribunaux libres, pour qu’il soit jugé pour haute trahison aux effets multiplicatifs.

En effet, au terme de cette enquête, le renégat  n’aurait plus sa place au palais, mais à Rebeuss, son nouveau Guantanamo.

Car la moralisation de la vie politique  doit s’appliquer automatiquement à lui et sans conditions.

À  partir du moment qu’il a trahi, il ne peut plus se prévaloir d’une quelconque impunité, selon la constitution.  Mais faut-il  que les députés  le veuillent et aient le courage de le faire en bonne et due forme.

Où  est  donc  loi de la moralisation de la vie publique au Sénégal, pour interdire  et les emplois familiaux et le cumul des mandats ?

Qu’ils s’agissent de l’iGE, ou d’autres  de contrôle institutionnels,  supposés,  tous restent  sous  contrôle du chef de l’exécutif, est réfractaire à la  contradiction politique et aux libertés fondamentales  de conscience.

Le  pouvoir judiciaire  qui est  lui-même  aligné- n’agit enfin de compte qu’au doigt et à l’œil du pouvoir tortionnaire,  ethnique.

On ne peut  pas  et à la fois lutter contre la délinquance financière et renforcer les pouvoirs déjà exorbitants  illégitimes du  président  monarque de  la république, relève indubitablement d’un contre sens et une contradiction abjecte-  Et cela n’est  pas  l’idée  que nous nous faisons de la démocratie.

Amadou Bâ, le logiciel  programmé, s’accommode dans une frénésie  décapante, schizophrénique,  aligne des chiffres bidouillés  ment  mécaniquement servilement, passe décidément  la vitesse supérieure   «table sur 6,8% de croissance en 2017», alors que depuis 2012 à nos jours, les puits de dettes  qui s’amoncellent, s’accumulent, retardent et plombent l’avenir de  notre Sénégal émergent.  Mais lorsque les sentinelles patriotes  seront  demain sur les manettes,  notre pays  sortira la tête de l’eau, émergera  immanquablement.

Quand le pouvoir politique brille constamment  dans un amateurisme surréaliste   et qui agit   sur fond de litanies mensongères, n’est  jamais  capable d’honorer  sa parole donnée, promet plus vit vite  que la vitesse du son  et  de la lumière réunie,  qui nous avait promis une radiothérapie  indispensable dans un délai d’un mois,  nous sommes  bien obligés  de prendre  sa parole avec des pincettes, car  ceux qui nous dirigent d’une main  de fer, ne sont  que des  menteurs professionnels –profanateurs dans l’âme jusqu’à l’abysse,  nous ont  constamment  habitués sans répit  à des fadaises  épileptiques.

En  Octobre 2016, Amadou Bâ, ministre de l’Economie : «Le Sénégal est bien engagé sur la trajectoire de l’émergence économique»,  sans oublier que le déficit budgétaire est dans une dynamique baissière. On se  demande pourquoi  l’état continue d’emprunter plusieurs milliards d’euros à l’extérieur.

En Toute Objectivité avec Baba Aidara Journaliste d’Investigation Eclairage sur Petrotim Timis Corpo ou le plus Grand scandale Grotesque du  Siècle de toute  l’histoire politico-financière  du Sénégal.

Le décret en question vient d’être publié par le journaliste d’investigation Baba Aïdara. Daté du 5 juin 2012,

Rappel : Ovidiu Tender, l’homme d’Affaires auquel le Sénégal a cédé les deux puits de pétrole Saloum Onshore et Sud Sénégal Offshore, condamné à 12 ans et 7 mois de prison en Roumanie pour fraude, corruption et blanchiment d’argent.

 

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