A LA UNEACTUALITÉSLE BLOG D'AHMADOU DIOPPOLITIQUE

Macky Sall : l’Avarié et le Fasciste, Référent de la Françafrique. [Par Ahmadou Diop]

Macky Sall : l’Avarié et  le Fasciste, Référent de la Françafrique. [Par  Ahmadou Diop]

Face à un  minable pantin au cœur de l’Etat Sénégalais  et ses Mercenaires : Agir ou se plier à la règle de la tyrannie ?

Combattre ce  régime fasciste,  ethnique, négationniste, ségrégationniste d’apartheid, monstrueux,  qui s’accommode honteusement  dans son rôle de  relais  de  l’impérialisme international,  constitue un  devoir  moral pour tout citoyen et citoyenne. Car ce gouvernement  fantoche  de  l’opprobre, incarné par  le  renégat attitré  et sa bande  d’ouailles,  emmitouflées, deviennent une réelle menace à la démocratie et aux libertés fondamentales.

Nous devons tous en concert  et  agir par la matérialité des faits, de sorte qu’il abdique lui-même, rende le tablier et qu’il soit  jugé par les tribunaux,  pour moult parjures à répétitions. C’est  une preuve de courage, d’abnégation, de patriotisme et de  civisme.  Nous  le répétons  tout haut  sans équivoque  ni ambages.  Que cela plaise ou non.

 Depuis une ligature de racailles  cartellisées  se transforment  servilement   en  cancres – Doungourous – mercenaires, malfaiteurs attardés, alimentaires,  incultes, fidèles captifs, capitulards, pitoyablement indignes, tous  alignés.

Le  caractériel pédigrée- procureur- passé maître  processeur, digne de son  espèce,  se distingue  par sa singularité décapante,  n’a d’existence que d’être la  charpente et  la courroie de  l’immoralité politique, familiale,   dont la trajectoire  n’échappe  plus à personne.

Les  cavalcades des mercenaires   se mesure  à l’aune de  leurs  casseroles exceptionnelles si  massives et si bruyantes,  sont substantiellement conformes  à la tortuosité des coups tordus,  dont ils  sont comptables devant l’histoire, se disputent l’ignominie à la place publique, n’ont rien d’étonnant.

Ce que l’on savait déjà  depuis belle lurette sur l’homme, qui est au cœur de l’état sénégalais, n’est qu’un secret de polichinelle,  se confirme de plus en plus par la presse française.

 La semaine dernière,  on l’oublie, le sulfureux, tonitruant avocat libano- franco-sénégalais, pilier de la françafrique, en l’occurrence,  le très bavard  Robert Bourgi, très proche de Nicolas Sarkozy, ami de jacques Chirac, de Macky  Sall et  du pouvoir de la bande élites africaines francophones de pacotille, confirme avoir offert des costumes  en  février 2017, d’une valeur  de  13000 € à François Fillon, candidat des élections présidentielles françaises, comme cadeau.

celui qui  prétend se donner une virginité politique, une vertu  imaginaire, ou je ne sais quoi encore,  a été nommément  et directement cité dans la typologie des larbins de l’hydre  mafieuse de la  françafrique,  corrobore  parfaitement  la litanie des méthodes fascistes de cet écervelé, affilié à la loge des traitres africains, tous adulés par leur allégeance massive à l’ancien maître colonial, tout-puissant.

 Félix Houphouët-Boigny  et Senghor mirent sur pied en 1955  la France- Afrique,  a été  décryptée admirablement  sous le vocable  Françafrique   par l’économiste français,  François – Xavier Verschave dans son livre, intitulé : «  Noir  Silence ».

 Maintenant, les choses  sont claires nettes, précises  et personne ne peut l’ignorer.

De façon scandaleuse,  incongrue, celui qui organise à tout vent et à  grand tambour battant  les procès  judiciaires portent des soubassements politiques, contre ses adversaires  est pourtant  considéré  comme le plus  coupable de toute l’histoire politico-financière du Sénégal.

 Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es, dit-on. Curieusement, l’avanie, représentée en la personne de Macky Sall,  le brute-culotté, ou le pylône, l’élément clé de la françafrique, le corrupteur, corrompu, tord le bras à sa justice de carpe, qui  s’exécute  bassement et  s’accommode  dans les sales besognes.

Nous n’avons plus d’excuses possibles. Toutes les voix paisibles et les recours qui  n’y feront rien,  sont totalement épuisées, face à une bande de voyous  qui sèment la terreur, imposent sa voie dictatoriale  envers et contre tous.

Il n’y aura  pas d’issue,  ni de lendemain, tant que nous serons dans notre somnolence  qui  semble aller en pis, est source de cohésion  consensuelle, obéit dans les faits,  à une abdication totale.

Où a-t-on vu  la moindre démocratie  et le progrès en Afrique et à l’échelle continentale des élites guignolesques ?

Où a-t-on vu  les urnes parlantes dans notre  continent tenu d’une main  de fer par le syndicat corporatiste ethnique des valets nègres de service ?

 Où a-t-on vu  un seul tyran des 15 pays francophones  quitter librement  le pouvoir par les suffrages universels, à l’exception d‘Abdoulaye wade le démocrate et d’Abdou Diouf. Ce dernier  reste le versatile, plus francophile que sénégalophile ?

L’ex Secrétaire Général de la Francophonie, après de loyaux services à ses maîtres outre atlantique, notamment du côté de la Seine,  reprend du service et demeure la mascotte et  le bras armé, dans le secret des dieux, du  nul, le signataire, révisionniste  des accords  de défense bidon – baptisés  le parabole de l’Assurance personnalisée,  estampillée le symbole  de l’impunité, n’a d’autre fin que de protéger  habilement  à la fois et les intérêts  impérialistes et sauver le soldat  pantin – qui demeure plus que jamais l’inimitable imposteur, déclaré, versus  l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique,  attitré, et  accrédité à Dakar.

Ici chez nous, le successeur du pape  du sopi, malgré toutes ses promesses, a menti sans scrupules sur toute la ligne ; c’est un incapable notoire, bandit   ne s’encombre  outre mesure d’aucune vertu, encore moins de moralité dans son subconscient pathologique ;  Un Say –Say de cette dimension incongrue,  s’en fout de tout et  du passé. Ce qui compte, c’est le présent.

Il ne connaît ni la repentance, ni la Kersa,  ni le jöm, ni l’humilité, ni  la piété. Il ne peut s’en  dépêtrer de la culture  de la trahison  qui est dans son  ADN.  Le suscité s’est bien préparé mentalement, comme tout félon de naissance vindicatif, rancunier et hargneux dans ses gènes.  Qu’on le veuille ou non,  le personnage atypique dans son piédestal  s’arroge l’adjudicataire de tout ce qui est bon pour lui.

 Ne nous trompons  pas  nous mêmes pour nous donner  bonne conscience et pour  faire croire à quelque chose qui n’existe pas.

 Pour ce faire, personnellement,  je  déclare  et  recommande  publiquement et  solennellement à tous les citoyens et citoyennes,  face à notre existence menacée  par ce  voyou,  qui  a bien perdu  notre confiance par ses trahisons massives de fond en comble  et  qui ne recule devant rien, pour arriver à ses fins,  continue ses parades fascistes à travers sa  justice waffen SS, il nous incombe d’être tenaces et plus forts, pour inverser le rapport de force  qui doit changer de camp en faveur du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.

  Alors,  soyons donc tous   solides, solidaires,  déterminés, téméraires,  virulents,  debout et fiers de l’être,  en  déversant  sans répit et en continu  par des tirs groupés,  des  bombes de joutes  cataclysmiques, bien corsées, sans modération, sans langue de bois, ni  retenue,  face   au  renégat renversant,  d’en face, déclaré, devenu l’ennemi public n° 1,  qui se passe tout son temps à se renier, à  mentir quotidiennement sans vergogne, ni retenue d’aucune   et  s’en  s’accommode , comme tout foutoir de son espèce.

Tous les pays triomphalistes du monde qui ont émergé par leur faculté mentale,  le doivent en toute logique  à  leur degré de conscience et  à leurs histoires, ont  eu le dessus sur  leurs  traitres  qu’ils ont, extirpés,  éliminés, neutralisé, un en un pour les  jeter  dans  la pâture  et  les  poubelles de l’oubli,  comme étant naturellement considérés  pires que des graines pourries.

Or,  au Sénégal et en Afrique, qui restent s le grenier des lamentables,  l’inverse se reproduit constamment, puisque  la horde des traitres  coalisés,  fait l’histoire à la place des bons et contre les citoyens tous  accroupis,  méprisés, et méprisés,   impriment vertement  sa marque totalitaire, contre vents et marées à l’encontre des résistants minoritaires.

Tout  peuple amorphe, dressé en coupe réglée,  n’a jamais émergé, ni de près de loin, ne dispose d’un espèce  de pouvoir établi,  ni d’emprise réelle, subit incontestablement  la fatwa, ou la  sacro-sainte loi d’une certaine  bourgeoisie nouvellement  oligarque  de la dernière heure,  aux entournures politico- spirituelles, agit en toute osmose, tel un écheveau,   a l’ascendance sur un corpus de tout un agrégat d’hommes et de femmes.

Blanchiment de capitaux: 16 dossiers sur la table du procureur, le procureur  se travestit   le bras armée de la république tyrannique ou  le processeur  au service du valet  encombrant, fera profil et n’osera point fouiner sur les 16 dont touchés la famille immédiate et son clan seront classés sans suite et sans autre forme de procès

De 63 à nos jours,  au Sénégal, nous assistons  à une galerie de programmes hystériques.

Puisque   Sous le magistère du nul nègre de service, l’envoyé spécial  colonial en Afrique accrédité à Dakar, le plus  vil valet  que nous ayons connu jusqu’ici, signe  les accords de partenariat  économique  le Sénégal,  i ouvre  largement tout azimut ses frontières  à la communauté européenne , qui  y trouve son compte, susceptible  à  corriger ses récessions permanentes  capitalistes, impérialistes. Depuis la parodie de  indépendance factuelle, formelle de pacotille, le vocable usuel  dégradant, politique change  constamment : PVD [pays en voie de développement], [PMA les pays  les moins avancés], [APE  accords de programmes économiques] etc.

Selon les estimations  les  experts  africains économiques, financiers,  les prétendus accords  de programmes  économiques   vont causer des pertes énormes, réelles,  qui  se chiffrent à plus de  240 milliards  de Francs  CFA  pour les 20  ans à venir.

En fait, il n’y a que  de gagnants – perdants – dominateurs et dominés. Le Sénégal  redevient  le matelas sur lequel  se couchent  ceux qui pillent toutes nos ressources  vitales, qui auraient pu assurer notre indépendance politique, économique, monétaire  et financière,  si elles avaient été exploitées judicieusement et de façon équitable.

Les mêmes  qui avaient déporté nos héros et tuer nos résistants vaillants  morts les armes à la main,  se barricadent et ferment leurs frontières, opposent immigration et émigration habilement par  l’entregent  des entreprises étrangères,  colonialistes, en particulier, françaises,  raflent  toutes les parts de marché sans appels d’offres, monopolisent toute l’économie sénégalaise, qui reste  totalement extravertie. Pendant ce temps,  nous  sommes démunis pour être en permanence à terre.

 En France, à chaque élection  présidentielle,   placent  à des débats houleux   sur des sujets variés, très riches sans pitié, ni état d’âme. Le  meilleur d’entre eux l’emporte la mise.

Or,  chez nous,  rien ne se  passe. Car un seul homme, guignol,  rempile,  organise ses cirques électoraux, gagne à tous les coups,  imprime sa fatwa par la mécanique de ses auxiliaires de services, lesquels  se convertissent  en mercenaires déguisés.   Et   le conseil anticonstitutionnel aligné   et la cour suprême, tous des alimentaires légalisent les parodies électorales.

 

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page