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Macky Sall, le Mal du Sénégal : la Sale Guerre Des Procès Politiques d’un Bandit notoire ? Par Ahmadou Diop.

Macky Sall,  l’imposteur Voleur-Casseur\ le Mal du Siècle au Sénégal \la  Sale  Guerre  Des  Procès Politiques d’un Bandit notoire, qui s’érige honteusement l’organisateur du Label totalitaire,  se déshonore  publiquement et  s’accommode  par sa  stratégie  aléatoire,  tendant à  croire éliminer par la ruse  des adversaires, qui  l’empêchent d’être au premier tour de 2019.

Sénégal \ procès toxiques  hautement  politiques khalifa Sall\ karim wade : prélude à une  véritable débâcle contre la tyrannie de la  république familiale   des brigands   en 2019,  toutefois les élections présidentielles  se dérouleront  dans des conditions optimales, démocratiques et  transparentes ?  Quelque soi le vainqueur, rien ne changera, ce sera un coup d’épée dans l’eau,  tant qu’on   n’amendera pas la constitution  moribonde, qui donne la primauté  au président- monarque.

Macky Sall, le Corrompu-HIMSELF- le corrupteur, le Mal  absolu  du Sénégal : la  Sale  Guerre  Des  Procès Politiques d’un Bandit notoire ? Décidément, la Rupture totalitaire d’un brigand, qui le prouve matériellement sur le terrain du Crime ne veut pas d’adversaires politiques.

D’abord,  il faudrait que nous mettions  les pendules à l’heure pour faire  taire définitivement,  l’autocrate -fourbe,  troubadour, Caniche de  l’occident – en chair et en os  de son rang –  et sa bande fripouilles   coalisées, n’ont jamais   ni de près, ni de loin  le sens de la mesure et de l’honneur, depuis le regrettable soir historique  du 25 mars 2012 car  l’euphorie du pouvoir grise des amateurs  dévergondés , ne sont point aptes  pour occuper  à ces postes, qui exigent l’empathie et les  compétences et des expériences avérées.  Que voulez-vous ?  Lorsque  le casseur du siècle du Sénégal arrive  au  pouvoir   avec fracas  à   cause  de ses MRDS FCFA, et ses zones d’ombre, qu’il a subtilisés dans  les deniers de l’état  sénégalais.  Il n’est  donc  pas  étonnant   qu’il  nous gouverne  avec cynisme. Et pour cause. Les mêmes causes reproduisent nécessairement les mêmes effets  nocifs, n’est-ce pas ?

Quant à l L’affaire Karim Wade, ancien super ministre d’état du ciel et de la terre,  et celle de  Khalifa Sall,  le député-maire de Dakar,  résultent  tout simplement, témoignent absolument,  d’un banditisme d’état,  absolutiste, totalitaire, négationniste,  ségrégationniste d’apartheid.  Et compte tenu des éléments tangibles, matérielles de la Cédéao, dont  nous disposons, et vous disposez-  qui  épinglent et  désavouent publiquement  la racaille  du pouvoir  familial, autoritaire,  cliniquement clanique « Nédo ko Bandoum » de la tète  aux pieds, n’augure rien de bon.

  Reparlons donc Procès politiques \ karim Wade- Khalifa Sall : ou le paradoxe  d’un duel  surréaliste.  Certains acteurs politiques tentent de dissocier ces affaires politiques,  se tiennent entre elles,  car  c’est du pareil au même, pour les  diviser. Et à quelle fin ?

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître,  ce que l’on refusait au régime Des Wade,  la majorité des sénégalais,  l’accordent, semble-t-il,  à son successeur, le  pantouflard,  le virtuose de classe exceptionnelle,  l’homme des galéjades et   des manières aléatoires.

Voilà qui dit en long sur une exception sénégalaise. Et c’est curieux !  Dans ces conditions,  croire qu’il organisera des présidentielles, libres, démocratiques et transparentes, relavent d’une chimère.

  Malgré les arrêts  de la Cédéao  à répétitions   en bonne et due forme,  tranchent   en dernier ressort et en faveur de karim wade et Khalifa Sall,  le tyran  ennuyeux, le désertique,  le traitre, teigneux,   machiavélique,  persiste, signe,  sachant d’avance  dans son for intérieur,  qu’il  sera recalé dés le  soir du  premier tour en février 2019,   ne veut rien entendre, ne veut rien voir, tient mordicus à les éliminer de la course présidentielle par sa cour de justice interposée, instrumentalisée.  L’état, qui a signé  tous azimuts des traités  internationaux, les piétine, tant que cela  ne l’arrange pas. Moi, personnellement, solennellement, sans prendre parti pour les deux candidats aux présidentielles  à date échue,  je déclare nulles  et non avenues et dénonce les incursions  de la justice de carpe et   à la place publique  à  haute  intelligible voix.

Les procès politiques hystériques, cataclysmiques  aux allures  hitlériennes en continu,  ne  sauraient  empêcher la  Présence de Karim Wade et Khalifa Sall aux présidentielles de 2019.

 Les simagrées et les échappées torrides  du mercenaire, Seydou Guèye, le doungourou-  le mythomane, l’attaché,  alimentaire n’engagent que lui,   ne valent rien, puisque les arguties de piètre qualité ne sont  point source de vérité, partagée, mais de mensonges.  Pour passer la pilule  amère comme une lettre à la poste, le label  du  cartel  de la mal gouvernance,  utilise et répète mécaniquement  les  mêmes éléments de langage décousus.

Quoiqu’il puisse faire [ Macky Sall], n’est  qu’un voyou ;  qu’il nous faut extirper absolument ,du haut sommet de l’état, si nous voulons rétablir, demain, un régime parlementaire,  et un  état régalien,   libre, souverain et indépendant avec des institutions  fortes à l’appui.

Il ne suffit pas  de parler par  le média RFI, interposé, pour être crédible.  Sous l’ère du référent de la françafrique, n’importe quel  farfelu de la ribambelle apocalyptique,  s’autorise tout. La parole du comédien,  l’irréfléchi,  n’est pas de l’argent comptant.

Pour qui  se prend-il pour déclarer  que Karim Wade n’est pas électeur, ni éligible ?

Autrement dit, la loi de la tyrannie, n’est pas  présumée  faiseur de roi et d’opinion.   Certains   médias,   qui sont  autoproclamés  porte-paroles, de la référence propagandiste, ne sont qu’une simple vue de l’esprit. Tout n’est pas permis !

 Comme par télépathie  et entente directe dans le secret des dieux,  Aliou Sall,  l’indigne  plastique,   délinquant, l’infatigable pâteux, le pickpocket  opportuniste,  de son rang,  l’escroc,  qui est bizarrement catapulté  à la direction de la caisse et des consignations,  devient de plus en plus très prolixe,  à qui l’affluence de  la sarabande  nauséabonde, alignée, tend le micros,  prédit la victoire de  son frangin, voleur himself-  dans les faits qui parlent d’eux-mêmes, et dés le premier tour : Lolu moy sacalaat bu bax. En vérité, il s’agit d’un prolongement des municipales de pacotille  de 2014, suivi du   Référend’Deum –foutoir de 2016 et des législatives du 30 juillet 2017.

 Etant donné que le Sénégal, est  géré comme une entreprise familiale par le pouvoir tortionnaire,    l’homme de la surcharge pondérale,  qui n’est que le prête-nom de son frère,   adoube l’autre  nullard,  qui  s’est autoproclamé à la fois  et  maire  de St Louis, ministron de l’hydraulique et de l’assainissement,  se solidarise  avec son beau-frère, nie  sciemment  l’arrêt de la Cédéao.

Karim Wade, depuis le Qatar,  s’est pourtant inscrit sur les listes électorales le  16 avril  2018.  Le Ali ngouille Ndiaye, l’homme ténébreux et  des compilations massives par des   fadaises, ne vaut pas son pesant d’or, pour avoir   rejeté sa candidature.

L’étrange personnage,  juge et parie,  n’est pas habileté pour qualifier ou disqualifier les candidatures des uns et des autres.  Un tel  minable,  qui a eu le culot,  déclare, antérieurement et   indignement travailler pour que Macky sall gagne dés le premier tour.  Manifestement, il s’agit tout d’un surréalisme insolite, suffocant, dont la magistrature ordurière, qui  détient le record absolu  de la bassesse de toute l’histoire du Sénégal.

 Rappel : au  lendemain de la condamnation de l’ex-super ministre d’état du Ciel et de la Terre par la CREI, alors ministre de la Justice et garde des sceaux, Me Sidiki Kaba, avait expliqué que l’intéressé n’avait pas perdu ses droits civiques, civils et familiaux en vertu de l’article 34 du code pénal.

« En vertu de l’article L.32 du code électoral, sa peine l’empêche de s’inscrire sur les listes électorales pendant une durée de cinq ans. Mais, paradoxalement, elle n’interdit en rien à Karim Wade de concourir à l’élection présidentielle »

 Nous n’inventons rien, car le funeste  projet de modification de l’article L.57 de ce code vise à écarter de la course le candidat désigné du Pds, dès lors que pour faire acte de candidature,  il faudra préalablement être électeur. Jusqu’ici : « Tout Sénégalais peut faire acte de candidature et être élu sous réserve des conditions d’âge et des cas d’incapacité ou d’inéligibilité prévus par la loi ».

 Selon, la plupart  des  pantins,  qui sont  nommés  conseillers  au près du chef de l’exécutif, tout citoyen, qui n’a pas  de mandat,  n’a pas  le droit à la parole.   Ku wax ku dieuf feñ.

 La bande de conseillers  malfaiteurs mercenaires,  alimentaires  bidon désertiques  ou  le capharnaüm affiliés à la référence  médiocre de l’apr- ou   le  symbole de  la pieuvre empestée,   en mal d’arguments plausibles, met   au pinacle les patriotes  qui   font  vent debout et face à eux.

Ce qui est cocasse, est  que  les soi-disant  conseillers utilisent des  raccourcis  simplistes et des  argumentaires fascistes, frisant   les légèretés   cousues de fil blanc. Oui,  vous n’êtes rien et  car vous n’êtes  pas des représentants du peuple. Qui   vous  a  élus ?    On se demande même  si on n’est pas dans un tribunal militaire.  C’est comme  si  les citoyens  ne font partie intégrante du  Sénégal.

Bizarrement ces prétendus conseillers   de pacotille, qui  ont  apparemment une curieuse  approche  sur la chose publique, sont vides,  tels des tonneaux libres,  s’érigent  en mascottes   lamentables  donneurs de leçons, se substituent  allégrement en lieu et place du peuple.

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