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Macky Sall, le Symbole des Pires Dictateurs Nègres de service les plus Archaïques À L’Échelle Continentale ? (par Ahmadou Diop).

Quoiqu’il puisse faire, le nègre de service, qui en sait un peu plus que les autres  sur les ressources pétrolières et gazières du Sénégal, n’a jamais pipé publiquement un seul mot par télévisions  interposées  au Sénégal.

Parmi les dix huit ans et plus, quels  sont  ceux  d’entre eux qui  n’ont  jamais entendu dans leur existence, les discours va-t-en guerre, singuliers, sans tomber des nues, les séquences et les salves insultantes, suintantes, mortifères, aussi massives, tous  empilés sur les autres, hystériques, tenus  par Moustapha Niasse,  président de l’auguste  Assemblée Nationale, ou l’inimitable chérif de l’Afp dans son piédestal, je les cite  textuellement: «Aucun imbécile, aucun salopard ne peut rompre ce qui nous lie à Macky Sall » ?

Qui n’a pas entendu les propos irrévérencieux, déplacés de Moustapha Cissé Lo, l’actuel Vice-président de l’hémicycle, l’Éternel Transhumant, infatigable, insulter publiquement le curieux personnage,  qui se niche  aujourd’hui  au plus haut sommet de l’état sénégalais.

Qui n’a pas entendu le mépris affiché de Oumou Sy, l’ethnocentriste déclarer ouvertement  les propos,  haineux,  sans  qu’elle eût besoin d’y  enlever une virgule : « Quand on me disait que Wade est mon chef d’État, j’avais envie d’arracher mon cœur… »,  Pour ne citer que ceux là,  qui ne serait  pas scandalisé, en entendant de telles insanités exceptionnelles, sans se boucher les oreilles, au risque d’être cardiaque, malheureusement ?

Y a-t-il donc de la fumée sans feu ?

Macky Sall,  est-il donc par la force des choses,  le  premier  Caudillo,  terroriste   Sénégalais, Commandeur des Armes,  le  Symbole  des  Pires  Dictateurs Nègres de service Archaïques À l’Échelle Continentale ? J’en suis totalement convaincu par la matérialité des faits têtus et pour cause.

Le  premier  Caudillo,  terroriste, archaïque, populiste, activiste  Sénégalais,  s’incline sur les morts lors  de la tragédie en Catalogne et en Europe,  dénonce,  condamne jusqu’à la dernière  énergie  les  actes lâches et inhumains.

 Mais lorsqu’il s’agit d’africains morts sur terre et mers, l’homme reste plus jamais aphone, se tut par son silence coupable.

Comme par magie, lorsqu’il s’agit de jouer piteusement les pompiers de service, ailleurs, nos plastiques élites affairistes, ethniques,  dont le moins que l’on puisse dire, manquent de panafricanisme,  se convertissent toutes  à la fois en  lamentables courbettes et en farandoles pantins, font éloquemment preuve  d’excès de zèle, qui frise la démence. Alors que chez elles, aussi étrange  que cela puisse paraître,  les  mêmes marionnettes  n’hésiteront  pas  une seule seconde à marcher sur  leurs propres concitoyens, pour les réduire en charpie, ou en  cadavres, tout simplement.

Qui  peut donc compter le nombres  de victimes  des intempéries,  les morts suspectes  par  accidents, qui continuent de marquer les esprits,  mais n’ont guère suscité  outre mesure, aucune  émotion de la part de nos autorités politiques,  si ce n’est leur désinvolture totale, ou leur passivité  déconcertante ?

J’ai le sentiment que les africains  n’ont pas les mêmes droits que les  européens.  Et pourquoi  le citoyen américain ou européen est-il mieux protégé ?

C’est baroque et surréaliste, mais j’ai l’impression que la respectabilité dépend de la nationalité et de la race, quand bien  la notion de race n’existe  pas en biologie.

Les   migrants  africains, qui bravent les terres et les mers au péril de leurs vies,  sont morts par noyade – qui  se chiffrent par milliers dans les océans- dont des sénégalaises et sénégalais, que l’on  assassine, dans l’indifférence quasi générale de la part de nos élites-terroristes.

On l’oublie souvent.

Qu’en est-il donc de Macky Sall, le terroriste à la renverse, qui interdit tout, légitime sa violence, la labellise,  qu’il sacralise, de sorte qu’elle soit une pédagogie,  est bien l’auteur de  l’éternel Casse du siècle, dont la preuve est plus que  fournie  par son braquage électoral, matériel, permanent sur le terrain du crime, parraine de façon souterraine par devers et contre tous et par  le label abreuvoir-laboratoire des baveux doungourous, taillables, alliés, se complaisent  en fidèles captifs, ou les spécialistes dégonflés, dévergondés  de la démesure, en la matière des coups bas, détiennent  absolument le triste record, indécrottable, le plus funeste jamais égalé à haut débit illimité des insultes exceptionnelles, permanentes par saccades  à couper le souffle ?

Plus professionnels qu’eux, excellant en la matière, tu ne naîtras jamais ! Est-ce donc l’auspice  qui se moque de l’hôpital ? La réponse se passe de tous commentaires. Je le crois à mon intime conviction.

 Le terroriste non repenti, lâche né, fourbe, plus franc-maçon que croyant musulman, dans les actes répréhensibles, qu’il pose tous les jours que  le bon dieu fait, ne lâche pas prise, inverse les rôles et   s’accroche  dans sa rhétorique démentielle, habituelle de piètre qualité,  tendant à faire plaisir par la ruse  et  sur la commande du colonialisme omnipotent, qui  imprime sa marque de fabrique.

Le lâche, traitre, terroriste,  est  celui  qui use et abuse de la force publique, régule, régente  à sa propre  guise la démocratie, limite la liberté d’expression,  kidnappe  sans répit  tous ses adversaires politiques immédiats,  qui lui font de l’ombre,  et  qui prétend incarner  l’institution  au sommet de l’état,  ne fait  jamais ce qu’il dit tout, passe la plupart de  son temps à  se dédire du soir au matin.

Le vrai lâche, fasciste, le forcené faussaire né, profanateur menteur professionnel jusqu’à l’abysse taciturne, c’est le suppôt encombrant, l’intrépide impétrant – pantin, cambrioleur, multimilliardaire étrange  des ténèbres de son rang, l’incorrigible, l’abruti-usurpateur, pâteux par nature, s’arroge piteusement  à longueur de journées par  des invectives  cataclysmiques contre ses semblables qui l’ont élu à défaut et par dépit, dans les conditions exceptionnelles, inédites, lorsqu’il  se trouve toujours  à l’extérieur.

Le défroqué, le monstre satanique, égoïste larbinisé, le moelleux, timbré caniche, lâche en chair et en os, flegmatique, l’impitoyable écervelé, s’est bien métamorphosé peu à peu, quoique l’on puisse dire,   en  lamentable changeant, passe à la vitesse supérieur, a déjà  bien franchi le rubicond depuis belle lurette, s’adjuge en mécréant-mercenaire  profanateur menteur professionnel versatile ennuyeux.

 Le vrai traitre, autoproclamé, c’est lui, l’homme de la démesure, grisé par l’euphorie du pouvoir, y jouit; n’a que la conscience totalement  abîmée, s’est  fait faussement  peindre  sous les défroques victimaires,  se transforme à la face du mondes en profanateur menteur professionnel  jusqu’à l’abysse.

Le lâche, nihiliste, négationniste, ségrégationniste  antikamitiste- capitulard, catapulté au plus haut sommet  de l’état sénégalais, égrène  ridiculement ses  compilations de fadaises rituelles  en cascades, n’a jamais répondu  d’un iota, ni de près, ni de loin, à ses promesses électorales, et pourtant s’est focalisé sur la thématique  de la rupture  sobre,  vertueuse,  transparente et efficiente.

Le faussaire-pigeon  voyageur dans les airs, s’accommode dans des folies dépensières, atterrit sur les  terres  étrangères qu’il bénit, passe  tout son temps par  sa  presse interposée  préférée, propagandiste de référence, plastique, jusqu’à la lie,  nous insulte, nous rabaisse.

C’est ce paresseux plus que gloutonné, l’étrange personnage qui  a  surcharge pondérale  vit de péchés sous les lambris dorés du palais et les deniers  publics qu’il détourne, qu’il légalise au su et au vu de tout le monde.

Le lâche, usurpateur- pillard, voleur de toutes les ressources de son pays qu’il brade pour un sou à ceux qui le tiennent par la corde,  laisse mourir son propre peuple  mourir de faim, dont une bonne partie  prend le large à la recherche  d’un eldorado  incertain, se barricadent, ferment leurs frontières

Décidément, c’est incroyable et surréaliste, car la république ségrégationniste, ethnique, négationniste d’apartheid  des  scandales imprescriptibles des mercenaires  insulteurs, alignés  s’érige  en  victimaire des Leurres- mon œil !

Depuis 2012, le pouvoir en place, qui  parle de terrorisme imaginaire.  Macky Sall n’est-il pas entrain  de faire un appel du pied à la Communauté  dite Internationale, présumée faiseur de rois et d’opinions,  que le Sénégal est  bien menacé par le terrorisme, ne réunit pas les conditions optimales pour  organiser des élections présidentielles  en 2019 ?

Dans la république des stupidités, la graine de la haine viscérale est nécessairement source de promotion sociale et de gagne-pain. En lieu et place d’un état de droit et à l’épreuve des faits, sévit la rupture estropiée qui devient, ipso facto un puits d’imposture au nom d’une gouvernance consensuellement népotique et gabegique, s’est transmuée en stratégie de l’aventure rocambolesque, prime sur tout.

 Le terroriste  passe commande  pour 48 millions d’euros d’armements achetés : Dakar, le meilleur client de Paris

À qui profitent les crimes ? A quelle fin et pour qui ?

Macky Sall: « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un attentat ».

À la question de Vincent Hugeux, qui est  publiée le 26/01/2016 : «  Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole ? « 

Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017.

Décidément, voilà donc  un menteur, qui est  pris  plus d’une fois la main dans le sac, ment plus qu’il ne respire, organise sa parodie référendaire,  rempile une fois de plus avec le braquage permanent en continu,  qu’il  renouvelle constamment. Un président qui ment tout le tout  temps, et qui en fait quotidiennement, il  faut le lui dire.

L’abruti  parraine, bénit, compile  son terrorisme  suffocant par  ses actes lâches à l’intérieur de notre pays, ce qui   constitue le   socle  fondamental   des  pires  dictateurs valets nègres  de service des 14 pays  assujettis, tous sont sous tutelle coloniale,  ne  travaillent que  sur commande et sévissent  par la terreur.

La lutte contre le terrorisme fait vendre à tout vent  diverses armes  à  coup de milliards de F CFA sur le dos  des sénégalais et des africains, auxquelles  s’ajoutent les installations les bases et les troupes étrangères sur le sol africain et à l’échelle des pays  dits francophones tous tenus en laisse.

Tout cela commence à compter pour des nations formellement  souveraines, s’inscrivent  parfaitement  en toute logique  dans la dynamique  de la dépendance en continu.

Et notre armée nationale est reléguée au second plan, se réduit dans son rôle de supplétif, alors que les officiers supérieurs sont formés dans les mêmes conditions matérielles que leurs collègues outre atlantique.  C’est un manque de confiance et de patriotisme de la part de nos élites qui sont fondamentalement des terroristes et des égoïstes par nature. Point barre.

Où  est la souveraineté nationale, monétaire, économique, financière, politique dans tout cela ? Un comble du comble. !

Et les mercenaires, acquéreurs-dictateurs, signataires des prétendus accords de défense bidon,  travaillent de mèche  à huis clos  et dans le secret des  dieux avec les décideurs de la démocratie mondialiste.

 Qui donc  paye toutes ces armes  de destruction massives,  si ce n’est les citoyens  criblés d’impôts et de taxes de sorte, passent à la caisse, que l’on puni, et on ne leur demande même pas leur avis  sur l’acquisition «  des marchandises empoisonnées » ?

 D’où la dangerosité  autocratique des pouvoirs exorbitants des présidents- monarques africains. Aucune ligne Maginot n’est dressée contre eux, puisqu’ils  décident de tout et prescrivent la tyrannie à l’échelle continentale. Ce sont des bruts  qui agissent sans  foi, ni loi.  Tant qu’ils  servent  ceux qui nous oppriment, en se servant eux -mêmes, ils ne s’inquiètent nullement outre mesure.

 Alors,  de tels outils de domination obtenus au nom  d’un chantage masqué aux nègres de service,  ne sont rien  d’autre que le prolongement du colonialisme habile, cachent  en réalité deux objectifs majeurs pour faire une pierre deux coups :

protéger  avant tout  et d’abord les intérêts capitalisés, vitaux  impérialistes  des  entreprises  étrangères et sauver par ricochet  les  vils despotes avec leurs familles .

Au lieu de défendre les  populations désarmées, livrées à elles-mêmes, ces dernières restent plus que  jamais  les  victimes principales et  les  cibles  désignées, des suites  des bombardements  aveugles et  par guidage laser,  subissent la loi  arbitraire des coups de canon, que l’on désigne souvent comme  des bavures, communément appelées les dégâts collatéraux, passent sous silence.

L’ennemi public n°1, désigné, de notre pays, le Sénégal, n’est rien d’autre que le terroriste, intégralement ethnique d’apartheid, représenté en la personne de celui qui se niche au plus haut sommet de l’état sénégalais, qui prétend se donner une respectabilité d’apparence, tue par devers  toutes les  libertés  de conscience, organise ses crimes économiques, financiers, en s’y cramponnant par le braquage électoral permanent, dont  il abuse par le  truchement  de la force publique.   

On l’oublie.  Car tout dictateur coupable  jusqu’au cou,  commence par la réduction  drastique de la liberté de l‘expression contre son peuple.

Tant qu’il [Macky Sall] ne changera pas, tant qu’il  ne  déviera jamais de sa trajectoire totalitaire, ne se repentira pas, n’arrêtera pas ses incursions permanentes contre les citoyens, désarmés, innocents, pacifiques, qui se dressent contre la soldatesque de  tyrannie, chevaleresque.  –mu wañi Galadiam – ñu Diamko-

 Tant  qu’il ne versera  pas de l’eau dans son Bissap-  à  c’est  se demander s’il en boit ?

  À défaut, nous aurons toujours donc toute la synergie, l’énergie, la rigueur et la vigueur, nécessaires puisque  nous serons toujours de service.

Pour ce faire, nous camperons dans nos positions, pour le  dénoncer, le conjurer et pour le pousser par la petite porte, afin qu’il  rende lui-même le tablier.

Un président de la république doit être sous pression de façon constante. C’est un  serviteur de la république, qui  doit obéir au doigt et à l’œil  du peuple sénégalais, n’est ni un dieu, ni un prophète, ni un monarque de  droit divin,  n’a droit de vie  et de mort sur ses concitoyens, encore moins d’être au dessus des lois.

 En Europe et partout dans le monde civilisé, tous les peuples libres s’activent, n’hésitent point à traiter de menteurs ceux qui les gouvernent, si ces derniers  n’ont respecté les promesses électorales pour lesquelles ils ont élus.

Or chez nous, rappeler au président de la république ces mensonges  reste un sujet tabou.

En effet,  l’article 80 bidon, ou l’épée de Damoclès, sert de  paratonnerre  contre la démocratie.

L’homme qui est au pouvoir au Sénégal, n’utilise pas pour l’instant les armes  pour tuer les citoyens.

Mais il tue à petit feu les citoyens libres  à qu’il prive de tout, leur dénie tout de droit de vote par des moyens compatibles aux  méthodes fascistes, de manière que ces derniers ne s’intéressent plus sur les affaires de la cité, s’y habituent. Car le but recherché consiste à verrouiller, cadenasser toute velléité contradictoire politique, est bannie par le tout répressif, institutionnalisé de la  tyrannie.

Toute enquête  légitime, régalienne pour la bonne gouvernance, concernant le monarque-président est interdit, en vaudra  une descente aux enfers  pour son auteur un emprisonnement presto illico, sauf  si celui-ci  se complait à lui tresser des éloges de piètre qualité.

Ahmadou Diop Leader CPC Conscience Patriotique Pour Le Changement Au Senegal

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