Macky Sall- portrait : du Statut d’un Démocrate imaginaire à celui d’un Faussaire, Délinquant. Par Ahmadou Diop.
Comme le dit, le tigre réel de la Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo Contre Alassane Ouattara, qui est arrivé au pouvoir dans les fourgonnettes françaises. On ne peut être pas à la fois un putschiste et un démocrate. Soit, on est démocrate, soit, on ne l’est pas, mais pas les deux à la fois. C’est bien cas du nègre de services encombrant en place, emprunte plus que jamais les mêmes paramètres douteux d’une victoire mensongère.
Macky sall a été élevé au grade de la légion d’honneur dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar par jean Christophe Ruffin, l’ambassadeur de la France. Toute son escarcelle et sa justice ont eu leurs médailles coloniales françaises et à l’américaine.
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Décidément, tout est permis dans le régime présidentiel totalitaire. On nous inocule la résignation pour nous assujettir, nous asservir comme les sujets taillables à la merci du monarque-président et ses auxiliaires de service bien brossés.
La liberté est systématiquement un délit. C’est une incongruité décapante. Outrage au président de la république, mais il y a aussi des délits d’outrage à un magistrat, participation à un rassemblement illicite, diffusion et publication de fausses nouvelles, et menaces de voies de faits. Étrangement , il n’est nullement écrit un outrage au pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.
La justice aux ordres, quant à elle, bénéficie aussi de facto d’une immunité, qui est synonyme d’impunité. Sous le magistère bancal du caniche de l’Occident,, tout devient nécessairement un délit automatiquement soi-disant.
Dans son fondement, le régime présidentiel, tel qu’il est conçu, porte immanquablement un caractère confiscatoire à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience, comme arrière-plan. C’est une réminiscence monarchique, n’est qu’un marqueur de violences et de régressions, par définition, en ce sens que le président de la république concentre à lui seul tous les pouvoirs, jouit d’une immunité, est source d’impunité.
La liberté d’expression est le premier droit inaliénable du peuple de tout peuple. Le son, le verbe et l’image ne peuvent être u des délits. Celui qui l’interdit, commet lui-même un délit par son ignorance sur un état régalien.
Toute opposition réelle compatible à la liberté d’expression inscrite dans la constitution est assimilée à une déstabilisation systématique supposée. pourtant, Macky Sall, qui dénonçait urbi, orbi, en 2011, les entraves à la la justice et à la démocratie et aux manifestations légales, allant jusqu’à menacer même de créer un gouvernement parallèle, en cas de victoire d’Abdoulaye wade, interdit tout par devers et contre nous tous , comme si rien n’était.
L’autoritarisme des méthodes d’Hô-Chi-Minh, fait florès. Sous le faussaire, qui est passé maître dans l’art de l’apologie systématique de la transhumance, la gestion népotique, gabégique, les rapts, les cueillettes à toute heure, de jour comme de nuit, exécutés machinalement par sa police politique, sont dignes des tontons macoutes.
Pour la première fois, jamais dans son histoire, le Sénégal, le pays de la Téranga, ne se reconnaît plus dans ses valeurs propres, guerrières, historiques, n’est jamais tombé aussi bas avec des pantins, faquins en bande organisée, transformée tous en suppôts notoires, nichés au plus haut sommet d’un état, incurieux, ridiculisé et vassalisé jusqu’à la lie.
Les failles du modèle démocratique sénégalais, titre pompeusement le journal le Monde, n’a qu’une grille de lecture alambiquée. Ce n’est pas une faille de la démocratie, mais une confiscation arbitraire du vote sénégalais, des attentats à répétitions dans le ciel ouvert du banditisme de la part d’un véritable malfaiteur endurci. Il n’y a ni plus ni moins.
Tout commence le 19 mars 2000 avec l’arrivée au pouvoir du Pape du Sopi, Abdoulaye wade, après 26 ans de combats acharnés à couteaux tirés avec le pouvoir du PS revigoré, qui régna et gouverna en maître absolu, durant quarante ans sans partage, mais fini par être usé, abîmé et plombé par les plans structurels de la banque mondiale et du Fmi, créèrent les conditions de sa descente aux enfers,
Il est ministre des Mines, de l’Énergie et de l’Hydraulique de 2002 à 2003, ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, gravit étrangement en un quart de tour tous les échelons.
Comme on dit, qui veut aller loin, ménage sa monture. Macky Sall, l’affairiste, pantin, opportuniste en bandoulière, la taupe encagoulée, se fait silencieux dans le secret des dieux, tisse sa toile, cache son véritable visage hideux, mais planifie peu à peu en même temps son plan diabolique, en montrant, ainsi, à son bienfaiteur une fidélité d’apparence, et l’achève à coup de caniche, au fameux regrettable soir du 25 mars 2012, est resté tristement célébrissime dans les annales de l’histoire du Sénégal.
2004 : après seulement 4 ans de nomination, il s’achète d’une baguette magique une villa de luxe à grand standing, sise Houston, au Texas (USA), dont la contre-valeur en francs CFA à la date de ce jour est d’environ de cent neuf millions cinq cent vingt mille trois cent douze (109.520.312) francs CFA. Cela n’est qu’une goutte d’eau.
Une ascension fulgurante, magique d’un faussaire pion joue déjà sous le piano américano français. Le taciturne amasse peu et collectionne un patrimoine immobilier gigantesque, estimé au rabais de 8 mrds dans des postes de nomination Tans sa bula nex.
2007, tout en étant le directeur de la campagne électorale de son mentor du moment, le tonnant annonce la couleur, vote sans daigner montrer sa carte d’électeur, allant jusqu’à menacer même les membres du bureau de vote. Ce qui est déjà un signe prémonitoire d’un dictateur potentiellement dangereux en chair net en os.
C’est donc le portrait d’un dictateur- planificateur qui passe aux actes, gagne à tous les coups.
Mais l’archétype ne s’arrête pas là, quitte le navire pds, crée l’apr, après s’être enrichi gloutonnement, prouve éloquemment ce qu’il est réellement, se peint faussement sous les oripeaux victimaires des leurres avec la complicité de la presse endogène encartée à la machine propagandiste mondialiste.
NB :Macky, l’escroc et l’opposant de circonstance, qui parlait de la séparation des affaires familiales et des affaires de l’Etat et du droit de manifester. Dans cette vidéo, Macky parle de Karim et de son emprise sur l’Etat. Il a demandé aussi le respect du droit à la marche qui est un droit fondamental. À quelques encablures de la présidentielle de 2012, le candidat de la France eut le culot de créer un gouvernement parallèle, toutefois qu’Abdoulaye wade gagnerait les scrutins.
2012, à la place de l’obélisque, le candidat soumis, satellite à la Françafrique, s’autoproclame le parangon de la rupture et le porte- voix du peuple, et s’est engagé à lutter contre la cherté de la vie, le chômage endémique des jeunes et la corruption, qui gangrènent la société sénégalaise. Mais au pouvoir, le changeant, telle une girouette, n’a jamais fait ce pourquoi il a été élu en 2012, s’accommode à des rétropédalages mortifères, s’inscrit lamentablement dans des mystifications hystériques.
2014, le variable ouvre le bal des municipales de pacotille, et placement toute de sa famille, son clan, son tailleur et son griot de la dernière heure.
Le dimanche 30 novembre 2014, « Internationales », l’émission TV5MONDE – RFi – dont les questions étaient dirigés conjointement par la journaliste Sophie Malibeau et son confrère. Le Monde, a reçu Macky Sall, président de la République du Sénégal.
leLe nihilisme est à son comble comme tout despote ignare, indigne de son espèce, ignore Sciemment Abdoulaye Wade, a rendu un hommage vibrant à Abdou Diouf, secrétaire général de la francophonie, ancien président de la république du Sénégal, a été nommé par décret présidentiel, le 1er Janvier 1981, grâce à la volonté de Senghor [a dirigé d’une main de fer pendant 20 ans]. Ce dernier a régné à son tour pendant 19 ans. Alors, le réfractaire à la démocratie, réduit à sa plus simple expression toute son opposition, tue les libertés fondamentales de conscience.
La transhumance, les transvasements, à couper le souffle, le cannibalisme politique, l’achat des consciences abîmées, qui sont source de trahisons et d’anarchie, deviennent le label d’une gouvernance pathologiquement ethnique, familiale des décrets présidentiels.
Pour cela et pour arriver de piètre qualité, le minable met au pas sa justice dévouée pour sa propre cause, réquisitionne sa police politique de la Stasi- la Crei- instrumentalisée, se charge des basses œuvres, trie au volet, sélectionne, charcute, traine dans la boue ceux qui lui font de l’ombre, dont Karim Wade, est gracié et exilé au Qatar, comme si le Sénégal lui appartient comme étant un legs de divin.
Kahalifa Sall, le député maire de Dakar, perd ses deux mandats, croupit dans ses geôles de Rebeuss, mais l’inexpérimenté prend le soin d’épargner tout son camp – Taxrip et au nom de la politique Coumba am ndeye ak Coumba amoul ndeye. Cela nous renseigne sur la tromperie d’une marchandise avariée.
Au lieu de faire des réformes constructives pour consolider la démocratie et la liberté, le forcené, le faussaire né, change son fusil d’épaule, nous fait des faux bonds, garde mordicus son mandat présidentiel, organise son référendum-Deum en mars 2016, rempile lors des législatives cataclysmiques du 30 juillet 2017, se taille lui-même une majorité de parlementaires de 120 dépités. Et l’opposition vaincue par la manière forte, se contente des miettes de 45. Et ce n’est pas tout.
Les lois scélérates des parrainages qui sont votées mécaniquement par son assemblée de sinécures, se confine dans son rôle de caisse de résonnance et d’enregistrement. Le tout avec en prime un double fichier électoral confiscatoire à la démocratie, a conduit aux résultats présidentiels n’ont reflété la réalité des urnes, mais une confiscation du suffrage de universel des sénégalais adukalpé foxarci, passe comme une lettre à la lettre.
Le planificateur avait déjà prédit son score fantasmagorique, digne de lui, comme tout fasciste de son rang. Derrière un menteur professionnel, se cache un voleur incorrigible et son éternel dialogue de piètre qualité.
À quoi bon ? Benno bok yakaar wor sunu rewmi aura son candidat à la présidentielle de 2024. Et la guerre des positions aura lieu. Aujourd’hui, le bal des canailles se transformera en bal des invectives quand demain fera jour. Belle pagaille en perspective ! Le putschiste en place, est-il donc fini ?
À Vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Macky Sall portrait : du Statut d’un Démocrate imaginaire à celui d’un Faussaire, Délinquant. Quoiqu’il en soit, la dynamique du couple idy- Sonko émergera lors des prochaines municipales et des législatives anticipées ou non.