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Prééminence et Coalitions des institutions impérialistes au Sénégal. Par ahmadou Diop CPC

institutions-imperialistesSuccinctement, institutions signifient organisation sociale et modes d’un pays, selon ses lois et régles, approuvés consensuellement par l’ensemble des citoyens. Dans ces conditions, telles qu’elles fonctionnement dans nos états sallittes par son caractère antidémocratique, blasphématoire contre le peuple- car un seul homme par sa seule volonté – le président de la république, elles sont totalement inadaptées par rapport à nos valeurs historiques, traditionnelles et notre civilisation. Selon cheikh anta diop, l’égyptologue et scientfique, la référence par excellence de l’homme noir, dans nations nègres et c ultures, dans l’afrique précocloniale, les sociétés africaines avaient une organisation sociologiquement et politiquement analogue à celle de l’Europe.
Toutefois le terme est équivoque, selon les états. Ici, la formule est creuse, verbeuse, contraste avec la réalité.
Ce que l’on remarque depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, c’est que le choix des platitudes politiques de nos élites et les coliations des institutions impérialistes constituent nettement un obstacle majeur pour le développement du sénégal Depuis bientôt presque 5 ans, l’homme des reniements éternels sévit son marché de dupes et d’escroquerie, pour tromper durablement les sénégalais.
Le Farba de la françafrique qui reste bien fidèlement aux attaches de ceux nous oppriment, est le représentant par excellence de la pégre violente, attitrée, installe son système coercitif. La mascotte de la trahison sert de laboratoire et de paratonnerre pour protèger les intérêts colonialistes.
Macky sall, est l’éternel câble de la français , le mercenaire encagoulé, n’agit que pour le compte du gendarme colonial, en conséquence des services rendus, réciproques, il bénéficie d’une impunité qui devient une norme, passée sous silence par la servilité de tous les médias publics et privés de référence, encordés à la propagande de référence de la démocratie mondialiste, apparentée à la tyrannnie, qui a l’outrecuidance de distribuer à la face du monde, des bons et mauvais points contre les bons et mauvais dictateurs, par les faits matériellement prouvés sur toute la planète entière .
Malheureusement, sans le savoir, les sénégalais ont élu un escroc satanique, versatile, qui n’a pas d’égal au sénégal par ses rancunes viscéraux, épileptiques.
Selon la vision étriquée de l’envoyé spécial colonial au pays de la téranga, le sénégal passe et le statut d’immunité de macky devient nécessairement une impunité consensuelle ? Sans discontinuer, depuis plus de quatre ans, rien n’y fait, le festival de l’impunité chronique châtie tout progrès.
Le CSM au garde-à-vous ! La nouvelle appellation emphatique et choquante ou l’allégeance au totalitarisme retoqué « Parquet Spécial ». Ce tribunal qui porte la pensée napoléonienne. A l’exception de quelques plumes alertes, acérées, bien tranchantes, ici ou là, malheureusement elles restent peu audibles sur la majorité des médias de servitude.
Au nom de la loi de l’omerta, l’incongruité veuille, il semble qu’aucune voix dissonante « des fonctionnaires de la politique » n’ait été signalée contre le « Parquet Spécial », pour désapprouver les escalades à répétitions et la légerté de telles arguties, soutenues maladroitement par des militants APR , que l’on pourait même qualifier de police politique , nazie, parmi tant d’autres.
Ce qui caractèrise la singularité de la classe politique sénégalaise et l’ensemble des pseudos intellos incultes, mercenaires, alimentaires, c’est qu’ils ne se batttent exclusivement que pour le partage du pouvoir et à dessein d’avoir bien entendu « des sucettes » et des strapontins, à l’horizon 2017, si toutefois le cirque électoral aura lieu à date échue, comme d’habitude.
Peu importe que les populations asservies qui ne connaissent point leurs propres intérêts sur la chose publique, perdurent et vivent éternellement dans la pauvreté ambiante. Ils n’en ont cure. Pour eux, ce qui compté, c’est qu’on leur donne à manger. En fait, ce qui prime, c’est le sauve-qui-peut dans un pays de renonciation généralisée.
Le Sénégal n’attend rien d’un abruti, lequel depuis sa naissance et jusqu’à l’aube de la deuxième de la république de la bamboula, avait jusqu’ici le visage émacié, mais le miracle de l’étourderie généralisée, abusive et massive et à l’échelle nationale des sénégalais, tous roulés dans la farine.
Le même homme magicien- Niengo kat-, trapu et joufflu, s’est fait procurer curieusement un look par un lifting au visage pour rajeunir naturellement de façon durable, au point que l’inimitable personnage de la charge pondérale est méconnaissable, vit sous les lambris dorés, ne pense qu’à lui-même et sa bande immédiate d’engeance familiale, affamée, maléfique ethnique, brille ostensiblement qui étale ses richesses rapides, sidérantes, qu’il met à l’abri de tout besoin , est par définition, diabolique.
La majorité des sénégalais par leur manque permanente de maturité politique, malgré leur apparence peu convaincante, ont assuré la promotion sociale de ceux qui nous gouvernent, vivent éternellement dans la misère absolue, endémique, sont dans les faits, classés comme des citoyens de seconde zone.
Le maître des dénégations et des faux bonds, franchit encore un nouveau palier par ses dérives au nom de l’impunité, retoque à sa propre convenance, le parquet de gogdillot à son effigie.
Tant que la somnolence généralisée continue, macky sall s’autorisera toutes les dérives. Malheureusement, croire naïvement que l’homme changera, relève d’une illusion monumentale. Plus il met des couches supplémentaires par ses coups tordus, plus il se croit immortel, surhumain et invincible.
Aussi longtemps que les sénégalais resteront dans l’expectative, pour demeurer ses sujets malléables, corvéables à merci et au nom « d’un masla» qui n’a pas sa raison d’être, la chape de plomb ira toujours en pis
Selon l’habileté et la volonté du colonialisme triomphaliste, le poulain en chair et en os, infantilise, manipule, et installe sa Cour Royale, travestie, verbeuse, carambouilleuse, charcutée, docile, divisée et corrompue jusqu’à l’abîme, au Sénégal, et dont les éléments les plus serviles par leur bassesse s’accroupissent honteusement devant un chef de clan, qui leur accorde indûment des promotions sociale contre toute morale.
Décidément, en lieu et place d’une justice libre et indépendante du chef de l’exécutif, la parodie de justice devient une vocation, prend cause et fait d’un infidèle irrécupérable.
Macky sall, qui est devenu la taupe encagoulée du côté de la Seine, prend-il donc le contrepied de la France, sa référence par laquelle il jure ?
Un rappel pédagogique nous paraît nécessaire. Pendant l’occupation de la France par l’armée allemande, les résistants civils, en particulier, les fonctionnaires français, y compris les magistrats, les juges, les militaires pour ne citer que ceux là, bravaient les interdits de la tyrannie fasciste au péril de leurs vies, sortaient spontanément de leurs devoirs de réserve, pour se ranger du bon côté des patriotes unifiés par leur courage immuable.
Nous n’inventons rien, puisque les faits historiques parlent d’eux-mêmes, car dans les grandes démocraties parlantes par l’action matérielle, le président de la république n’est pas membre de la haute magistrature, encore moins de les nommer. C’est le cas des Etats-unis. Puisque les juges et les magistrats sont élus au suffrage universel au memê titre que les élections présidentielles. Alors qu’ici, il n’en est rien, car le président de la république est le seigneur qui gratifie tout le monde, punit, dégomme qui il veut, emprisonne à tout vent, qui il veut, grâcie à la pelle, selon sa propre convenance. On ne peut s’autoproclamer démocrate et être à la fois président de la république et chef de parti et juge et partie, ce qui en dit long sur un conflit d’intérêt manifeste.
Macky Sall brûl, viole délibérément toutes les lois et s’accapare de toutes les institutions à sa propre guise- à savoir le non respect de la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans qu’il a systèmatiquement renié par les mécanismes, l’homme passe donc de plus en plus à la vitesse supérieure, sous le pseudo sceau des changements de la décadence- avis du conseil – qui devient force de loi. Maintenant, au Conseil supérieur de la magistrature, Macky crée un nouveau concept à son image, qu’il appelle pompeusement « Parquet spécial ». Or, cette cour qui a été réactivéee par un décret présidentiel est totalement illégale. Au CSM, Macky Sall place ses hommes soumis : Abdoulaye Diagne, respectivement procureur et Aliou Diop, son substitut.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le système mafieux, tel qu’il est créé et introduit dans nos pays conquis, la démocratie se conçoit exclusivement dans la caste unifiée des postes de nominations-Tan Sa boula Nex, comme si tout le reste du pays est inculte.
Contrairement à ce l’on peut penser, en vérité, ce que l’on a dénié à Lat Dior Diop, qui fut pourtant le Grand Résistant , mort les armes à la main, le 27 octobre 1886, , les suprémacistes blancs bon teint, depuis la conférence de Berlin qui a eu lieu à la même date, utilisent depuis et sciemment les mêmes mécanismes savamment élaborés de 60 jusqu’à la parodie d’indépendance, formelle, l’accordent subtilement aux nègres de service , blanchis, larbinisés, sous tutelle coloniale.
Depuis la nuit des temps, le colonialisme met dans les substrats des sénégalaiss qu’ils ne peuvent nullement s’entendre sur le destin du Sénégal. La désunion totale doit être nécessairement un facteur consensuel national. Ça, c’est la condition sine qua non, et à quant à la trahison, elle est source d’harmonie la la mieux partagée par la majorité.
Diversement, ce qui nous désunit, est supérieur à ce qui nous rassemble. On installe et distille dans la tête des sénégalais le doute sempiternel. C’est l’émanation de la conséquence directe de l’aliénation culturelle, colonialiste. Il convient de prendre les mesures idoines et corriger le tir, mais à conditions que nous utilisions d’autres paramètres distincts des cirques électoraux, si nous voulons changer radicalement le banditisme présidentialiste, adulé, ce foutoir qui plombe solidement le dévéloppement du Sénégal et de l’Afrique entière, tenus en laisse par des valets nègres de service.
En vérité, dans les pays africains présumés à la fois si riches et pauvres, les élections présidentielles de cirque ne sont nullement rationnelles, puisqu’elles ne reflètent nullement l’expression des urnes, mais le symbole de l’argent volé dans la poche des citoyens.
Macky Sall, puisqu’il s’agit bien de l’homme, fait partie des pylônes déterminants, terroristes, non repentis, ethnicistes, activistes du dispositif essentiel de la françafrique, a bien été élevé au grade de Grand Officier de la légionneur d’honneur en mars 2008, dans les jardins de la France à Dakar, pour moult services bien rendus au pays de Marianne.
Cependant que l’on me comprenne bien, et qu’on ne déforme point mes propos ! J’ouvre une parenthèse historique dont on ne saurait démentir la moindre vigule. Il ne s’agit pas ici en aucun cas, de vouloir réhabiliter ou de restaurer la monarchie au Sénégal, tant s’en faut, car le rappel des faits véridiques a un caractère fondamentalement pédagogique, dynamique, dont l’objectif ne vise qu’à forger les consciences érodées. Le sénégal et toute l’afrique inféodés s’accomodent à la démocratie mondialiste arbitraire, laquelle est apparentée à l’absolutisme des institutions étrangères, qu’ils importent et copient servilement, à dessein d’y trouver leurs comptes. Et pour cause.
Le comble du comble, c’est qu’on déporte nos modes de pensée traditionnels, et en important des institutions moribondes aux connotations suprémacistes blanches. En fait, on a inventé de toute pièce des constitutions indaptées, taillées sur mesure pour les substituer par la ruse à la féodalité, présumée.
Autrement dit, on charcuté nos ordonnances sociales politiques, en important des institutions étrangères, plus perveres et à caractère monarchique, lesquelles sont plus avilissantes, que l’on considère autmatiquement comme étant les seules valeurs, essentielles, universalistes, qui vaillent, supposées plus progresssistes-mon œil- ce qui est incontestablement une insulte permanente à nos valeurs que l’on piétine, en les foulant du pied.
De 60 à nos jours, la promotion systèmatique des valets et des cancres n’est pas fortuit, elle est destinée pour phagocyter la conscience colllective et la médiocratie, de manière à affaiblir la résistance des esprits.
Alors qu’en Europe, en Chine, les résistants Mao, Lénine, Staline, y compris même les français, ont tous momifiés leurs rois, pour les valoriser.
Lat N’goné Latir Diop, mort les armes à la main, et dont la tombe est en ruine, pour quelqu’un qui a héroïquement combattu 24 ans contre le colonialisme, l’indifférence de tous les politiques qui se sont succédé, constituent une trahison. Cela témoigne qu’ils ont sali la mémoire du dernier Damel du cayor. Depuis la conférence de Berlin en 1886, date à laquelle les colonialistes ont divisé toute l’afrique en zones d’influence. Ddepuis lors, elle est sens dessus dessous.
On ne le dira jamais assez. Le bon sang ne ment jamais, at-on coutume de dire. Cela peut heurter. Tant que le pouvoir politique est entre les mains des descendants des insignifiants, hier, le Sénégal restera plus jamais en arrière de cent ans. Toute capacité de résistance est tuée dans l’œuf. C’est une volonté des impérialistes qui savent tout sur toute l’histoire du Sénégal. Ils ont des archives nationales. Et ils savent dans leur for interieur aussi qui est qui et qui a fait quoi. Lesquels tirent par derrière les ficelles.

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