A LA UNEACTUALITÉSLE BLOG D'AHMADOU DIOPPOLITIQUE

Sans séparation des pouvoirs, il n’y a pas d’Etat, ni de justice équitable, ni de démocratie. Ahmadou Diop.

Sans séparation des pouvoirs, il n’y a  pas d’état de droit, mais  la tyrannie et les abus de pouvoirs. C’est la règle normale de tout  état  qui se réclame comme tel.

Tout d’abord,  pour les législatives de 2017 : Apologie d’une Majorité parlementaire  pour le pouvoir du  peuple et  par  le peuple !

Que  faire avec l’éternel climat délétère, surréaliste ? Que faire avec l’ennemi public N°1  avec ses bras armés qui changent ? Nous avions Alioune Ndao et maintenant,  Serigne  Bassirou Guèye, le procureur de Macky Sall   reprend du service,  prend causes et faits pour   l’Envoyé Spécial Colonial  en Afrique, accrédité  à Dakar.

Il convient de changer  maintenant le rapport de force en faveur du pouvoir du peuple  par le peuple et pour le peuple. C’est la seule alternative possible qui vaille, puisque nous ne pouvons plus compter sur les es urnes qui obéissent  toutes aux mêmes résultats que le nègre arrache par la force publique, présumés ses auxiliaires de service.

Pourrions-nous suicider tous ou  abdiquer, sujets crevables, taillables à merci ?  face aux scandales  du nègre de service,  qui  tient coûte que coûte  à imprimer son autoritarisme suffocant  et qui use  quotidiennement et  lâchement les services de l’état, au point que  nous soyons tous ridicules, pour n’être que des asservis et des sujets  crevables à merci ?   Nous sommes tombés des nues, face aux esclandres permanents  cataclysmiques envahissants.  La  question se pose.

 Sommes-nous aujourd’hui  vraiment dans un état de  charognards  dans lequel  le premier d’entre eux , qui s’autoproclame   une exemplarité  piteuse, s’est lui-même bien  engraissé scandaleusement, lâche à la place  publique sa meute de chiens enragés, avec caméras embarquées, contre ses adversaires présumés brebis, et  dont le moins que l’on puisse dire, ne  sont pas moins nourris, comme si  rien n’était ?

C’est cet homme qui proclame à corps et à cris  l’indépendance de la justice ou de sa justice qu’il tient par la corde.

Voilà  l’étrange  microcosme politique  incarné par  le chef de l’exécutif  qui donne ses ordres à  sa justice politique,  laquelle agit  ouvertement  en mercenaire encagoulée,  du haut de son piédestal,  pour un oui ou pour non,  s’accommode quotidiennement à des   points de presse,  pitoyables,  de piètre qualité, dont l’objectif majeur ne vise qu’à  mentir et mentir  et utilise, abuse dangereusement  des  procèdes indignes, lesquels violent et piétinent la démocratie, la liberté d’expression   font vent  debout contre en vers  et contre tous imprime sa marque  totalitaire .

Dans notre étrange et à la renverse,  un procureur déplumé,  qui passe, un autre  reprend du service,   en attendant  que celui-ci sera  naufragé à son tour,  dans ses contradictions,  pour faire beau. Et ça continue. Et jusqu’à quand  donc ?

L’essence des Législatives 2017 n’aura  de sens que  si elle  sera en mesure  de censurer le Régime  politique tortionnaire, fantoche  négationniste,  ethnique, ségrégationniste d’apartheid en place, pour  restaurer l’état de  droit et la démocratie qui sont sciemment   bafoués par le  Tyran le-Valet  nègre de service de l’occident,  représenté en la personne Macky Sall, le Fourbe de la françafrique, ou  l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, accrédité à Dakar ;

Compte tenu de que ce  savons  déjà sur  de ce qu’il est convenu d’appeler un secret de polichinelle,  les législatives  de juillet 2017,  notamment à Podor et Matam, dans tout le pays,  et ailleurs, en Europe, cela n’augure rien de bon, puisque le faussaire tient à  voler  les  scrutins absolument à   prendre les devants  pour légiférer  en lieu et  place des citoyens et  à  judiciariser la politique par sa justice qu’il met   au pas

L’homme qui  se niche aujourd’hui derrière du palais  présidentiel, par accident,   n’est  jamais  digne  d’exercer la qualité d’un président de la république, durant toute sa vie, jusqu’à  maintenant,  n’a jamais eu  , une  approche  sereine sur les fonctions  comme le premier  magistrat de la  république,  ni de près , ni de loin , carrure,  encore moins  la moindre  étoffe  d’un véritable chef.

 Le falsificateur né,  ne peut se dépatouiller  au pédigrée dont  il se nourrit.

Décidément, sous le magistère ignominieux du nullard, mercenaire, on a tout vu dans notre pays, qui est tombé aussi bas, car la sarabande des illuminés serviles  se  est permet tout, depuis, hélas, le regrettable soir du 25 mars 2012,  tout comme dans l’affaire karim wade, qui a été cueilli, manu militari,  alors qu’aucun juge n’avait été désigné

Aujourd’hui,  Serigne Bassirou Guèye, prête allégeance, s’arroge   la cuillère, l’arriviste,  apparemment  inimitable carriériste,  semble  avoir  les pieds et les points liés,  marche au pas  et à la cadence de  l’exécutif totalitaire.

La majorité des sénégalais   naïfs aujourd’hui médusés,  désarçonnés et indignés,  qui avaient cru  dur comme fer à un  changement radical ,  à un  état  de droit, transparent,  efficient,  pour  une  vraie justice régalienne, fière de l’être et affranchie  debout  et impartiale libre,  indépendante par rapport à un exécutif,  ont tous totalement déchanté,  puisque celle –ci  est totalement hérétique,   ségrégationniste, défroquée, dévoyée, manipulée comme des enfants , n’obéit qu’aux pulsions névrotiques d’un médiocre traitre, qui bande ses muscles et qui a sa langue bien pendue,  qu’on le veuille ou non. Que cela plaise ou non. Voilà donc  le spectacle permanent, surréaliste auquel   on assiste  depuis, malheureusement le triste et regrettable soir, historique du 25  mars 2012. Autrement dit, certains magistrats et  juges  corrompus,  qui  se dégonflent au grand jour sont  partie prenante,  se réduisent   en  en acteurs politiques, encapuchonnés,   ont  délibérément choisi leur camp.  Plus personne ne peut l’ignorer.  Ou est donc  la matérialité de la rupture en action sur le terrain ?

En vérité,  le vote  irrationnel  des sénégalais   ne traduisait pas    une adhésion totale, mais un vote contestataire, c’est-à-dire  une    sanction contre Abdoulaye wade, est contre productif bien visible.  Contrairement aux idées reçues, le vote sénégalais est par définition immature politiquement.

C’est un Etat en faillite  et en  totale déliquescence, est atteint de schizophrénie  et de cécité, sur fond  de manquements brille   constamment dans des dysfonctionnements en  continu, dont l’issue nous inquiète, compte tenu de ce que nous voyons actuellement.

Le tout répressif est institutionnalisé comme mode opératoire pour  compenser  son incurie  manifeste  et sévir et museler la démocratie,  la liberté d’expression,  les libertés fondamentales,  sont déjà en  piteux état.   ce que l’on peut dire, c’est que  notre avenir  est plombé  plus que  sombre  Nous interrogeons  sur ce qui passe) chez nous.

 Il n’y a  plus de dialogue social  si ce n’est  les charrettes  de  cueillettes  massives de jour comme  de nuit.   Même les médias publics et privés tous au garde-à-vous sont alignés,  monopolisés, dressés en coupe réglée par   le pouvoir  d’état clanique. Ou  sont donc  les valeurs ajoutées   démocratiques et l’économie émergente, dont  se targue  le pouvoir nébuleux   se targue et nous tympanise les oreilles à longueur de journées ?   Les citoyens sont plus que jamais estomaqués  face au malaise social en pis.

Sur commande du  premier  voleur, qui est pris la main dans le sac,  le procureur  attitré  outrepasse son rôle charge publiquement,  agit  charcute sans discernement, se donne toutes les libertés et viole délibérément  le secret de l’instruction, pour faire plaisir à son envoyeur de la république, qui se donne faussement une respectabilité de pacotille

Le régime  fasciste, actuel du sénégalais, fantoche, présidentiel, personnel, personnalisé automatiquement  autocratique, tel qu’est conçu dans notre pays,  et dans la plupart des        14 autres  tous satellites, larbinisés, sont  tenus et gouvernés par  des  indigènes préfets nègres de service,  n’est qu’un foutoir monarchique négationniste , porte incontestablement  un caractère blasphématoire, auquel il faut mettre absolument un terme ; si nous voulons nous inscrire dans la postérité, à l’instar des autres  nations qui ont une histoire .

 Au Sénégal, notre patrie, le régime en place est terroriste jusqu’à l’abîme, nonobstant son apparence cousue de fil blanc. C’est un état de gangstérisme   parfaitement  organisé,  utilise la terreur légalisée  par des mécanismes répréhensibles, tue toute capacité  de résistance sous le fallacieux prétexte de maintenir l’ordre

Nous n’avons  nullement  un président de la république normal d’un état civilisé, mais un voyou lâche,  qui use de la force publique,  pour   éliminer tout adversaire  politique  ou tout citoyen libre qui s’exprime en toute conviction  sur les affaires de la cité. par le son en vidéo  ou l’écrit magistral pour dénoncer le régime de capharnaüm

 Qu’attend  donc la justice   pour agir sur le rapport  de  l’Ofnac  qui accable et épingle  massivement   et publiquement la délinquance  financière  du directeur du  Coud,   qui a détourné  entre 2014-2015 plus un montant total de quatre cent cinquante millions quatre cent soixante-seize mille quatre vingt  F CFA, d’après certaines sources concordantes,   devraient atterrir à certains bénéficiaires    ?

Ce dossier  sera classé sans suite, comme une lettre à la poste. C’est pareillement valable  pour  tous  les autres  imprescriptibles  à la pelle et  qui mouillent  Macky Sall, l’homme  par qui tous les scandales arrivent.

Et qu’en est-il de la plainte de Serigne Assane  Mbacké contre Marième Faye, qui a payé un lourd tribut ?  Comment donc  la prétendue première dame peut-elle être la propriétaire de la permanente  de l’APR ?  Il s’agit  tout simplement d’un parti familial, pandémique, clanique,  va à l’encontre  des intérêts  du Sénégal  et des sénégalais.

Que  fait la justice sur   les scandales des deux cents  milliards de Francs CFA qui sont  octroyés  à Aliou  Sall  par  la société américaine  Kosmos Energy pour avoir la licence  de l’exploitation du pétrole  de l’état sénégalais ?   Sur base légale  repose  ce virement ?

 Et les 12  milliards de  F  CFA qui ont  atterri  scandaleusement  dans les comptes  de l’Association bidon «  Servir le Sénégal  ou asservir le Sénégal ?

 Ou est le procureur qui s’agite  contre les autres ?  Et l’affaire jakpot SallGate qui éclabousse le tonitruant premier magistrat des faux bonds ?  Comment peut-on expliquer l’inertie   du  procureur de Macky  sall, qui  a du  travail en la manière.   L’homme est- -il  donc  aveugle, sourd et muet  pour ne rien attendre ? Pourquoi n’agit-il pas et s’autosaisir  sur les affaires scabreuses qui se perlent de plus en plus ?

À défaut et  auquel  cas il est suspect et coupable.  Ou qu’il démissionne publiquement  s’il  tient  à défendre son honneur, comme l’avait fait  l’honorable   magistrat Hamidou Ibrahima  dème,  qui restera  dans la postérité. Naturellement l’homme est une bonne graine

Que le procureur Serigne Bassirou Guèye qu’il nous dise, nous éclaire sur le régime pandémique  des fripouilles en bande organisée  s’il a le courage de le faire !

Osera-t-il  fourrer son nez sur les forfaitures de son mentor ? Où sont les  corps de contrôle    institutionnelles  tous amorphes ? De qui  moque-t-on ?

Où est  l’état de droit dont  nous  bassinait ce nullard, capitulard,  catapulté, qui est  au sommet de l’’état,  lequel  était hier en mauvaise posture et nous promettait tout et n’importe quoi ?

 C’est un état injuste juge et partie.  nous  sommes choqués, abasourdis, horripilés et scandalisés par ce régime de capharnaüm, suffisant, atypique,  hautain et effroyablement  arrogant  par sa capacité de nuisance dont il a l’unique  secret  et qui le prouve matériellement  tous les jours.

Jusqu’où ira donc Macky Sall ?  Nous sommes devenus la risée du monde civilisé  et qui nous regarde  avec condescendance.

Tout régime sans contre-pouvoir  ni la séparation  des pouvoirs en action, est par définition cyniquement   totalitaire, fasciste,  concentre et confisque  tous les pouvoirs,  législatifs, exécutifs, judiciaires et médiatiques. un tel régime  calamiteux sous ce nègre de nègre de service   n’en a cure  des libertés de conscience, ni de l’expression du peuple,   ne cherche  que sa  propre  vérité, maquille, dénature tout par ses  médias propagandistes, alignés,  monopolisés,  demeurent des instruments politiques  et non  ceux  établis du peuple.

 Dans tous les pays démocratiques , civilisés, la séparation des pouvoirs législatif, exécutif, judiciaire est un principe fondamental des démocraties représentatives, selon les experts  en la matière.   Evidemment, selon la conception étriquée  des tyrans, traitres,   médiocres, ils concentrent tous les pouvoirs jusqu’à nier même l’existence du peuple maitrisé,  que l’on méprise.  Les opinions publiques ne comptent et sont reléguées au second plan, passent sous silence avec la complicité active des médias  qui  son tous tenus  en laisse.

Senghor était dans cette logique  du plagiat, historique et du larbinisme,  comme ses maîtresses pensées.

Nous devons donc  nous inspirer  des œuvres colossales, immenses de  cette icône magnifique,   qui eut un mental  particulièrement percutant,  écrivit plus d’autres   sur le fonctionnement d’un état démocratique, plutôt de copier servilement tout ce qui  vient de l’extérieur, comme si nous sommes amnésiques. Revisitons ses écrits   époustouflants,   notamment  notre passé glorieux avant la pénétration coloniales, en particulier, l’organisation des sociétés africaines, car le savant  savait de quoi il parlait, durant son existence en toute connaissance.

Nous avons là  incontestablement tous les éléments réunis   pour  élaborer nos propres institutions, au lieu de pomper ailleurs ce qui  ne nous n’appartient guère. Nous copions tout, mais ce que nous copions  ne nous copient guère, mais nous épient

la semaine dernière, dans l’Emission l’info Autrement  de notre Radio Sunuker, la première radio Africaine en Californie à los angles,  comme le  rappelait ndiwar Diop,  pour rafraichir les esprits, car  le principe de séparation des pouvoirs a été énoncé par le philosophe anglais John Locke (1632-1704) dans son « Second traité du Gouvernement Civil »de 1690, dont s’est inspiré plus tard Montesquieu (1689-1755) dans « L’esprit des lois » (1748).

Tout pouvoir politique  exécutif, qui se réclame comme tel, a l’obligation de garantir

le pouvoir judiciaire, législatif, médiatique, sans qu’il  ait besoin d’interférer ni près, ni de loin.

 

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page