Sénégal /Code des communications électroniques : bienvenue « les Bonnets Tricolores » ! Par Ahmadou Diop.
Pour commencer, pour nous autres membres actifs de la conscience Patriotique- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW- les dérives liberticides sur internet du fasciste, n’auront aucun impact ; minime, soit-il, sur notre ligne éditoriale.
La politique TAPALÈ ne passera jamais, n’est qu’une obstruction aux libertés d’expression. On ne nous a jamais autant foulés du pied et manqué de respect que sous l’ère du Caniche de l’occident.
Qu’il se le tienne pour dit ! Le casus belli appelle à la réaction ! L’énormité chevaleresque d’un arrogant, dont le mépris correspond à sa nature, fut-il un soi-disant poste de président anormal, voyou, ne peut avoir aucune emprise dans nos consciences fertiles.
La révolution des bonnets tricolores- vert jaune et rouge aura-t-elle lieu pour en finir avec le voyou de la république des traitres ?
Le principe réflexe de l’appel à l’action efficace pour renverser le rapport de force, et en ce moment là, on saura qui aura le dernier mot
Cet appel à l’action est lancé solennellement en réaction pour l’abolition de l’esclavage dans lequel capharnaüm et ses brutes ferrent, nous imposent leurs lois. Arbitraires et au nom de la tyrannie
CPC- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW appelle solennellement à une “réaction” rapide et chaude pour endiguer la mal gouvernance par son arrogance et ainsi répondre proportionnellement au degré d’impunité de l’ivresse du pouvoir euphorique, fasciste et de sa bande d’ouailles de « drogués ».
À quelques encablures de la présidentielle de février 2019, face à la censure et aux restrictions drastiques d’internet, nommant contre les libertés fondamentales de conscience, et dont le but est de voler les scrutins de pacotille, à l’instar du mouvement des Gilets Jaunes, nous devons tous agir ensemble comme un seul homme pour en découdre et mettre fin un terme définitif à la république fantoche, ordurière, capitularde et ses dérives exponentielles et des traitres unifiés sont des hors-la-loi.
De telles méthodes fascistes, constituent immanquablement un casus belli contre le pouvoir du peuple. Ce qui est surréaliste, c’est que tous les jours que dieu fait, le label de la déliquescence, qui est ce foutoir, tente de légitimer vaille que vaille sa lâcheté, qu’il sacralise par sa délinquance. Il faut que nous ayons et les ressources nécessaires de lui opposer une forte et farouche résistance pleine, pour déboulonner l’asservi en chair et en os.
Lequel est en constante jointure avec le cartel de capharnaüm des chiffonniers tous en bande organisée, n’excellent que dans l’art de la bassesse et le banditisme; et tuer dans l’œuf toute capacité de résistance velléitaire.
Le changement ne viendra que du pouvoir et par le peuple, et ce, par notre action matérielle, qui demeure plus que jamais le vainqueur, aura le dernier mot, face à la démesure d’un guignol et sa cohorte de fripouilles pouilleuses, toutes alignées, tels des moutons tondus, dressés en coupe réglée.
L’histoire d’un peuple, déterminé, debout, et fier de l’être, se passe nécessairement au bon moment et à un moment crucial de son histoire.
Le monde appartient à ceux qui ont une histoire. C’est la règle dynamique. Or, ici, en Afrique, en particulier au Sénégal, qui est par définition, le laboratoire des gangsters politicards, les lascars plus sont les plus structurés, apparaissent nettement plus forts que la majorité apparentée somnolente, dans les faits têtus.
Ou alors, sommes-nous des couards par notre consentement réactionnaires, pour nous laisser emberlificoter par un vagabond, un aventurier, introverti, qui est sorti de nulle part, si ce n’est à cause de ses mrds de FCFA , dans les caisses de l’état et dans des postes de nomination TANSABULA NEX ? Comme l’a si dit un adage de chez nous, MBEDIU KANAM BOROM MOKOY FADIAL BOPAM.
Le bon dieu ne donne aux peuples que ce qu’ils lui demandent. Autrement dit, le salut du Sénégal dépend de la volonté des hommes et des femmes. Rien ne change chez un peuple si ce même ne change pas ce qui est en lui-même.
Le traitre, qui est au sommet de l’état personnalisé jusqu’à la lie, nous agresse permanence, joue, et connaît parfaitement et la mentalité et la psychose et la malédiction du fatalisme et de l’obscurantisme en abuse – c’est-à-dire le » masala », est source d’abdication totale.
Koné doomala top fanguène dieum dasoriwut. Nous devons absolument le rencontrer sur son chemin. En ce moment. Nous le vaincrons à tout prix. Il n’y a pas photo, si nous voulons.
Ne jamais reporter ce qui est possible maintenant ! Et battre le fer, tant qu’il est chaud- budaara sed amine, à défaut, et à date échue, en 2019. Nous encourons toujours, tel un tic, des risques inutiles ! Si nous ne faisons rien, les dés seront pipés, quand demain fera jour malheureusement.
Nous voyons le soleil, mais ne l’admettons pas. L’adage algérien le dit autrement : nous regardons le soleil avec un tamis.
Pour rappel, l’image, le son, le verbe ne peuvent être constitué un délit. Le premier droit d’un peuple, c’est la liberté d’expression. En effet, il faut que nous sachions que c’est la force qui arrête la force.
Les ingérences et les esclandres indignes, insoutenables de quatre mercenaires ethniques dans la présidentielle sénégalaise de 2019.
Le conglomérat du bazar se dégonfle à la place publique, reste plus que jamais des pantins et des suppôts de la dernière espèce de l’expansionnisme outrancier.
Il s’agit bien d’Adama Barro de la Gambie, d’Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire, de Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie, Georges Weah du Liberia, le Premier ministre, Aristide Gomez de la Guinée Bissau. Décidément, la solidarité de classe exceptionnelle, Hétéroclite des Despotes et des francs-maçons en bande organisée ne vaut plus qu’eux et pour cause, fait froid au dos.
L’ethniciste déclaré, Alassane Ouattara, le pion- mercenaire, irrécupérable- l’ivoirien de la dernière heure-a eu du culot, plutôt de faire bas, n’a jamais l’étoffe d’un président normal, élu démocratiquement, est arrivé au pouvoir par l’esclandre des fourgonnettes françaises à cause de son dévouement pour les intérêts colonialistes mal placés
Reparlons un peu du temple de l’esclavage des négroïdes et du racisme horripilant. le voisin , ou le préfabriqué contre les libertés de consciences, qu’il bafoue d’un revers de main
Quant au second, Mohamed Ould Abdel Aziz, un patronyme, un bien grand mot creux arrière petit fils des yéménito-berbères-arabes, tous ont été transposés au 14 siècle en Mauritanie, a été créée de toute pièce par les français : OU La REPUBLIQUE DES MAURES BLANCS. C’est le symbole du mépris, de la régression totale, du négationniste de l’arrogance, de l’immoralité abjecte, de la répression contre les Droits de l’Homme que le Mauritanie yéménito arabo-berbère piétine et foule du pied par son caractère divin de pacotille.
Il est l’un des meneurs du coup d’État d’août 2005 qui a déposé le président Maaouiya Ould Sid’Ahmed Taya, puis conduit le coup d’août 2008 qui renverse le président Sidi Ould Cheikh Abdallahi et le Premier ministre Yahya Ould Ahmed El Waghef, à l’issue d’une crise politique.
Il est désigné par la junte président du Haut Conseil d’État, l’organe de la transition, avant d’être élu président de la Mauritanie en 2009, et réélu en 2014.
L’autocrate fourbe, bougre de naissance par sa surcharge pondérale Deumbii-Casseur du siècle au Sénégal, est le maître, pourvoyeur des débauchages tous azimuts et à tout vent et du népotisme irritant et des achats des abîmées. C’est un patacasse ahurissant de la pourriture purulente.
Politique d’indépendance, monétaire et stratégies économiques, financières
L’indépendance économique, politique réelle, monétaire, financière commence par la maîtrise de ses télécommunications, en passant par l’assurance inviolable de son espace aérien, terrestre et l’appropriation de ses ressources naturelles
Sur ce plan, l’armée nationale a un rôle majeur de premier plan à jouer.
La rupture éclopée se transforme en foutoir, prend de plus en plus des pouvoirs exorbitants. Le pouvoir en Afrique des traitres est une faire de familles et de clans à quoi bon de dialoguer et pourquoi ? Il Faudrait absolument inverser le rapport de force en faveur du pouvoir du peuple avec la musique et biceps des bonnets tricolores à la sénégalaise
Quelle stratégie imparable faut-il utiliser pour mettre un terme à au totalitarisme suffocant, puisque Macky Sall n’en démord GAGNE jusqu’ici et continue sa marche irréversible envers et contre tous ?
Comme en France Constitution- conflits d’intérêts Manifestes : des magistrats élus par leurs pairs et de personnalités extérieures nommées-pour ce faire, une loi constitutionnelle est nécessaire pour mettre fin à la présidence de la haute magistrature par le président de la république- ici-le parquet –paquet- dépend de l’exécutif- conflits d’intérêts manifestes confiscatoires à la démocratie
Loi constitution du 23 juillet 2008 met fin à la présidence du Conseil par le président de la République.
Ce que les sénégalais ont refusé à Wade, ils l’accordent mécaniquement à Ouattara et à Macky Sall.
Aussi extraordinaire que cela puisse, le Sénégal malgré son apparence et y compris tous les 14 pays africains francophones tous sont assujettis et aligné par la soldatesque du même gendarme colonial, ubiquitaire, restent incontestablement sous la botte de ce dernier, demeure son terrain de prédilection et la chasse gardée des autres puissances expansionnistes et des lobbies militaro-industriels, capitalistes, dont les pires dictateurs-mercenaires-capitulards, autochtones, battent tous les recours comme étant les plus serviles et les féroces de la planète entière, arrachent à tout prix des scores fantasmagoriques, vaille que vaille, soit, par les coups de canon, soit par la puissance de l’agent facile, volé illico dans les deniers des Etats et ceci au nom du miraculeux suffrage universel, interposé.
Puisque, selon la vision étriquée de l’acrobate pantin, archétypique, tout est prétexte de trouble à l’ordre public pour interdire tout et sous n’importe quelle fable absurde.
Alors que le personnage curieux, qui était hier, un acteur principal du régime d’Abdoulaye Wade auquel il a cheminé pendant 8 ans, s’est bien frauduleusement enrichi, balaie aujourd’hui d’un revers de main, ce qu’il dénonçait.
Reparlons un peu du temple de l’esclavage des négroïdes et du racisme horripilant. le voisin , ou le préfabriqué contre les libertés de consciences, qu’il bafoue d’un revers de main
Il est désigné par la junte président du Haut Conseil d’État, l’organe de la transition, avant d’être élu président de la Mauritanie en 2009, et réélu en 2014.
Les mêmes qui se reconnaissent par leur brigandage avéré, font preuve de solidarité déplacée à l’égard de l’inculte en place, est dénommé, le chef de service des esclaves nègres alignés plaident pour la cause et les faits du fascisme expansionniste [Macky Sall].
Qu’est ce- qui explique la singularité de l’armée sénégalaise de la société civil, citoyens et citoyennes par rapport au pays des hommes intègres, ont fait corps et cause commune et sur la base d’un commun, par un accord, ont rejeté la candidature de Blaise Compaoré ; l’assassin de Thomas SANKARA et Norbert Zongho, le journaliste professionnel ?
Côte d’Ivoire: Le Premier ministre, Kablan Duncan, au poste de vice-président. Les tripatouillages et les incessantes modifications arbitraires de la constitution Ivoirienne, taillée sur mesure par des valets nègres de service.
Tant qu’il y aura l’apparent suffrage universel, qui est par définition, source d’escroquerie politique, tant que la constitution moribonde par son caractère blasphématoire, bancal, pervers, restera telle est qu’elle est, la monarchie présidentielle aura de belles années devant elle, constituera immanquablement un véritable frein au développement, n’autorisera ni la démocratie, ni la liberté d’expression, encore moins le plan Sénégal émergent, dont on nous tambourine mécaniquement les oreilles à longueur de journées, ne sera qu’une chimère ; voire même un tissuthèque de mensonges grotesques, empilés les uns après les autres.
Quoique l’on puisse dire, l’Afrique est le continent des comédies électorales, étranges, renversantes.