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SUNU SENEGALGUII DEÑU KO SENTOO WONE CI GUILEM MU WAC CI MBAM. Par Ahmadou Diop

Les  élites serviles – « Buur »  en Afrique des Seigneurs de guerre,  indigènes,  pesants, sont plus que jamais  sous tutelle coloniale, depuis les parodies d’indépendances, formelles de la décadence, y compris celui qui est en place pathologiquement  par son Adn caractériel.
 Chez nous, « Un « Buur »  – virtuel, pantin  si  plastique, Béni-oui-oui., règne en maître absolu,  fait ses lois arbitraires, tue la démocratie et les libertés fondamentales des consciences, et, ceci, sous le nez  et la barbe  de tout un  pays entier,  amorphe, qui est   ce géant  virtuel aux pieds d’argile, capitulé  jusqu’à la lie.
Les Etats-Unis d’Amérique ont  crée leurs propres institutions, se sont  fièrement affranchis de la tutelle  monarchie britannique, depuis des siècles, sont considérés comme étant la première puissance mondiale.
La France a crée  ses propres institutions, même si elles sont d’inspiration monarchique, dispose elle aussi d’une puissance de frappe.
La Russie, quant à  elle, a crée elle aussi  ses propres institutions libres, n’a  de compte à rendre à personne, dispose de matériels  militaires avec des logistiques imparables  de haute technologie,  ne  se laisse pas marcher sur les pieds, prouve remarquablement  son indépendance totalement, agit librement, selon ses propres intérêts, qu’elle défend  becs et ongles
Le Royaume –Uni reste fidèle à elle-même, tient mordicus à ses institutions intouchables, comme la prunelle de ses yeux,  depuis des millénaires.
La Chine  de Mao, qui a vaincu Chiang Kaï-Shek, l’homme des occidentaux,  n’avait d’autres choix que de se  réfugier à l’île de Formose,  si bien  que le Géant de l’Asie,  joue nécessairement  dans la cour des Grands, a  arraché son  droit de véto au même pied d’égalité que les trois autres puissances
Quant à nous autres africains, nous abdiquons  en continu, pour subir  les lois des autres comme si nous sommes des montons tondus.   En vérité, nous  nous plions, en nous accommodons dogmatiquement  aux règles tyranniques, érigées par des impérialistes, et par des larbins traitres [Dak diamu Tubabi] interposés locaux, farandoles, se chargent lamentablement d’exécuter  des basses œuvres auxquelles ils sont confinés.
 On ne change pas pour aller dans le sens du recul en pis.  Sommes-nous obligés de copier servilement  des institutions  qui nous ramènent à la pierre taillée, alors sommes-nous des incapables maudits Golo Dibay « Bamboune Di Doundé « ?
Pour nous libérer de  l’esclavage, humiliant,  qui est  ce  guêpier infernal  auquel nous sommes confrontés, nous devons nous sortir des institutions étrangères, qui sont  arrimées au droit international.
Si nous voulons, nous pouvons.  Nous devons distinguer le droit international, qui est en définition, une mascarade et le droit de notre souveraineté, d’indépendance. Ce n’est pas la même chose.   Comme le pensent certains esprits libres, Laurent Gbagbo et  son lieutenant Blé Goudé   sont-ils  les jouets de  La CPI suprémaciste blanche, fait polémique plus que jamais ?
Les  mêmes  qui la financent  à coup de mrds  de dollars,  ne l’ont jamais ratifiée, jusqu’ici,  n’ont accepté   jamais  ni de près,  ni de loin que  l’on   puisse  leurs propres  citoyens et  leurs citoyennes.
Lorsque l’ethnocentrique, guignol, le chantre et le pourvoyeur du népotisme, de la transhumance, du cannibalisme politique, des transvasements des marchés de gré à gré, sans égal,  s’adjuge  l’indélicatesse de nègre de service de piètre qualité,  nomme Sidiki Kaba, son ministron  des Affaires étrangères auprès  de cette soi-disant  institution, neutre, – mon œil-  cela revient à un appel du pied,  qui ne souffre d’aucune ambigüité, peu ou prou.  À qui profitent donc les crimes ?
Le droit international apparaît nettement comme étant une stratégie exclusivement conçue par  une cour  royale monocolore (de 5 puissances)  où chacune d’entre elle, selon sa loi,  pour assurer sa survie menacée par la faim, défend ses propres intérêts mercantilistes, politiques, économiques et financiers, passent avant sur le droit humain, et  ceci  sur fond  de la  géopolitique, et de domination, comme si le monde leur appartient, comme un  legs de  droit divin.  Tout comme le réalisateur cinématographe, qui écrit d’abord  le scenario, et les pays du sud, peu considérés,  sont tout simplement  ravalés  comme des moins que rien,  ne jouent  que leur rôle dévolu de  figurants, pour embellir le décor et amuser la galerie.
Le 5 juin 1947, en dehors  de  L’URRS  pour des raisons de souveraineté, qui a rejeté l’aide américaine   et a demandé  la même  à ses  pays sous satellites, les  états européens, qui étaient  détruits par la seconde guerre mondiale, ont  tous  eux-mêmes bénéficié du plan George C. Marshall, Secrétaire d’État du président Harry Truman. Le plan Marshall des américains s’inscrivit donc en droite ligne  dans une politique d’endiguement  contre le bloc soviétique.
Ce fameux  plan a vu le jour dans un contexte particulier, pour éviter le spectre de l’expansion communiste en Europe occidentale  et dans une période Guerre froide.
Alors que l’Europe était  totalement en désastre à cause de la deuxième guerre meurtrière, pendant que les  Etats-Unis qui pratiquaient l’isolationnisme, et dont l’économie américaine était en plein essor,  débarquaient pour soutenir les alliés.
 En toute logique,  le  plan Marshall  leur  a assuré  leur essor  tant  sur le plan économique,  financier,  que    leur puissance de feu à travers la planète entière.  Pourquoi rechignent-ils  à appliquer la même  règle  pour  les pays du sud,  dont  beaucoup  de Tirailleurs  sénégalais, ont aussi laissé  leurs vies  dans  les champs de batailles en Europe ?
 Au lieu  de nous servir la sauce de  l ’Aide au développement,  qui a simplement changé  de sémantique, prend l’appellation d’investissements solidaires, n’est  que  de la poudre aux yeux, est source  des leurres, il feraient mieux  de nous  appliquer les mêmes ressorts  du même plan Marshall, dont  ils ont joui.
 Incontestablement, si le plan Marshall était  en Afrique,  cela signifierait sa puissance, puisqu’elle disposerait aujourd’hui  d’armes égales par rapport à l’Europe.  Autant donc rapiécer le continent africain en mille morceaux pour le dominer et faire d’elle son pré-carré, pour qu’il  demeure l’éternelle  vache à lait, de sorte  que des  suppôts, corrompus et inféodés à la démocratie mondialiste y trouvent  naturellement  leurs comptes. Et tant pis !
 L’Europe  vend des armes à ses partenaires,  multiplie ses relations tout azimut, selon ses intérêts. Et  nos élites  corvéables se laissent dominer   pour être ferrées dans le pré-carré colonial. Alors que rien ne nous empêche de traiter librement avec les Brics  qui ont  un gigantesque  marché de 700 MRDS de DOLLARS,  ont   reproduit à  l’identique  le FMI et la banque mondiale.
 Si la banque mondiale et le FMI  étaient efficaces, cela se saurait depuis fort longtemps.  Et pour cause.  Partout où les deux officines  financières internationales interviennent, dans le monde  et sévissent et le marasme social, la corruption, la  désolation, le chômage, la misère pandémique et les guerres incessantes,
Puisque les jeunes  les plus valides, bravent les terres et les mers au péril de leurs vies, sont livrés à la merci des passeurs véreux et des requins.
 Le monde est  donc  un  et indivisible,  tel  un collier qui se tient. Tout déséquilibre, peu ou prou,  se fait sentir, et  entraîne de facto,  des conséquences directes, quand bien  ceux même, qui s’auto- glorifient  d’une mission divine, sous le socle du fardeau de la mission  de l’homme blanc,  soutiennent  des autocrates, africains—les bourreaux de leurs peuples— se barricadent eux-mêmes,  en fermant ses frontières, qu’ils appellent «  la crise migratoire »,  ou la crise politique,
«  La politique commerciale, coloniale », telle qu’elle  est menée  savamment par la banque mondiale et le FMI [fonds monétaire International]  prouve éloquemment : deux instruments  politiques de domination  en attente cordiale, ont tendance à étayer entre les lignes, sans le dire ouvertement,  la charte de l’impérialisme ?  Qui peut donc le nier ?
 Car selon certains experts   bien renseignés, la charte de l’impérialisme comporte plusieurs articles, dont le plus important se définit, ainsi : Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
C’est le  même principe  du prolongement  qui sévit  dans  les  hypothétiques  Accords APE, que l’on appelle emphatiquement les Accords de Programmes Économiques.
Or, les prétendues bonnes causes, cachent en bandoulière les mauvaises raisons, entre autres, les incessants Emprunts Obligatoires se perlent de plus en plus dans un rythme effréné, cerise sur le gâteau, s’enchevêtrent  massivement  et  à la pelle, et sans répit, les charrettes permanentes des plans structurels de la Banque Mondiale et de sa Sœur  jumelle, le Fmi- deux institutions financières internationales, impérialistes, capitalistes et de pillage systématique,  ont vu le jour  aux accords de Bretton Woods  en   juillet 1944, sont  nées au lendemain n’ont que des effets multiples dévastateurs, incommensurables, que sont les, à savoir  la Banque Mondiale et  de sa Sœur Jumelle, le Fmi- les deux institutions financières internationales   entrainant de facto  des Dégâts collatéraux, auxquels s’ajoutent les taux d’intérêts  massifs, comme prime, pour pimenter la sauce, afin de plomber durablement l’avenir  et  créer  ainsi, les conditions de la dépendance, tant qu’il sera nécessaire.
Contrairement aux idées reçues, ceux qui dominent le monde, cautionnent la politique du pire,  protègent malgré  tout, harnachent par des mécanismes douteux  leurs laquais,  qui foulent du pied les violations du droit humain. Ces derniers en échange des services rendus,  réciproques, leur donnent des parts de marché, et au nom de l’impunité, et,  leurs  souteneurs, revigorés, à  leur tour, assurent le service après-vente, même s’ils  n’ignorent  point  leurs forfaitures. « Les esclaves « bénéficieront  immanquablement  d’un parapluie militaire imparable, tant qu’ils leur seront fidèles. Le maître et son esclave, sont inséparables.  Autrement dit,  dans  le monde moderne,  entre «   les esclaves  et  leurs  maîtres du monde «  lesquels  des  deux  dominent ?
Ce que l’on sait, c’est  que  les premiers ne peuvent vivre sans  les seconds  et vice versa.  En vérité, il y a une interaction dynamique, réciproque, d’autant plus que ce qui les unit est supérieur à ce qui  les désunit.   Mais les  populations  orphelines, lassées et lassés pour comptes, sont les principales victimes,  en payent le prix fort.
 Pour couper le cordon ombilical qui n’a que trop duré,  c’est-à-dire  les liaisons dangereuses, autant  que nous soyons capables  de mettre sur pied des institutions fortes et inviolables, solides et nécessairement  des garde-fous, des patriotes  respectés, respectables à l’endroit, si nous voulons  un véritable état régalien avec à la clé  la séparation des pouvoirs et un contre-pouvoir ? À défaut, le mal ira en pis, puisque le président- monarque en place et ses successeurs et ses souteneurs  auront encore de belles années devant eux.
SUNU SENEGALGUII  DEÑU KO SENTOO  WONE CI GUILEM MU WAC CI  MBAM.
  On l’oublie souvent. Senghor,-paix à son âme,  qui fut le chantre de l’aliénation culturelle,  le porte-drapeau  l’homme des français, est à la base de nos éternels déboires  de nos déconvenues en  pis : «  la colonisation est un mal nécessaire », cautionnait et faisait  donc l’apologie des crimes sans équivoque,  car le  colonialisme,  est synonyme  crimes pluriels.   Son disciple en place au palais- Macky Sall- lui emboite machinalement  le pas  plus d’une fois en 2012,  lors de la révision des  accords de défense bidon,  signés entre les deux tours des élections présidentielles, déclare, je le cite textuellement à la lettre : « le retrait des troupes et bases  militaires  françaises relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé ».
Le récidiviste,  dénommé l’envoyé spécial colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar, y ajouta des couches supplémentaires épaisses dans une hystérie décapante à propos de  la monnaie coloniale, baptisée le nazisme monétaire, ou l’ingérence monétaire du  FCFA : « la déclare  bonne monnaie à garder »
À l’instar  de la constitution de la Vème République, par mimétisme et par servilité  et pour faire plaisir  à l’ancienne puissance coloniale, qui est toujours plus que présente sur le terrain du crime,  Senghor, qui fut à la fois et  le codificateur du fascisme et  le meilleur élève  de la francophonie par sa négritude politique interposée, l’admirateur de Gaulle, déclara avoir une faiblesse pour la France, s’autoproclama  le président de la république du Sénégal— en lieu et place de la République Sénégalaise(RS) à la suite du coup d’état contre Mamadou Dia [Le président du Conseil ], ouvrit donc la boîte de pandore, instaura le régime présidentiel fort, et  totalement illégal, concentrait à lui seul tous les pouvoirs sans qu’il y eût une quelconque approbation généralisée des sénégalais par voie référendaire.
Les PMA —la unième appellation mordante, peu glorieuse à l’égard des pays du sud — pour les qualifier de façon rétrograde, importent plus qu’ils n’exportent.  D’où le déséquilibre entre gagnants et perdants.  Car les  pays  développés qui  s’auto-déclarent les plus-  inversent  drôlement les rôles contre  les pays du sud,  dits pauvres, sont en réalité  plus riches en ressources naturelles de toutes : pétrole, diamant, zircon, or, ce don de dieu. Pour ne citer que celles –ci.  Je me passerai du renforcement des troupes et les basses  militaires d’occupation et ses clauses secrètes.
Lorsque le parquet —obéit implicitement  sans brocher, n’a aucune indépendance — un bien  grand mot—  qui  devient  lui-même non seulement le  paquet, le jouet et l’instrument  politique, le bras armé du chef de l’exécutif, lequel à ses yeux, entre l’état et sa personne, ne font qu’un, puisqu’il  est à la fois et le chef de bande  de  son propre parti politique, cliniquement clanique ;  oriente  dangereusement  sa justice dans le sens voulu,  concentre tous les leviers du pouvoir,  diligente tout par dernière,  sans qu’aucune  ligne Maginot n’ait dressée contre lui. Dire le contraire relève d’une hypocrisie totale, voire  d’un gros mensonge.
 Or, dans une démocratie réelle et tangible dans un état régalien,  l’on ne saurait accepter l’idée incongrue qu’un seul homme, fût-il  un président de la République,  puisse t-il être au dessus  des lois étrangères, monarchiques et scélérates, taillées sur mesure, pendant  que de l’autre côté, sous n’importe quel prétexte bidon,  farfelu, on s’acharne  honteusement  et brutalement  sur  tout citoyen, député,  quelque soit son  rang, on leur applique  sans discernement la fatwa d’un mandat de dépôt. Ce n’est juste. Soyons sérieux ! On a voulu détruire la féodalité,  en mettant place à une autre plus cynique.
 Par conséquent,  nous ne sommes  jam pas dans une démocratie, mais dans une  monarchie qui tourne à plein régime, car il y a une collusion flagrante et manifestement un conflit d’intérêt, pour dire la vérité des faits têtus.  Malgré leur apparence, tous les corps de contrôle prétendument  intentionnels,  sont  tous  des lèches- bottes et des  bouquets de fleurs du  président- monarque.
La police, l’armée, la gendarme,  l’assemblée nationale, l’administration sénégalaise,  les Consuls généraux, et les ambassadeurs n’échappent à la règle, restent tous soumis pour n’être que des instruments politiques au service d’un seul homme, paresseux, détient tout  par devers tous les leviers  du pouvoir :   confisque  le pouvoir de l’exécutif, législatif, judiciaire, politique, financier, économique et maintenant médiatique.  Tout passe au peigne fin, puisque rien ne lui résiste, punit,  qui  il veut, quand il veut, comme il veut et à sa propre convenance, quand il le  désire,  contrôle qui il veut, n’a de compte à rendre personne, quand même bien même, par sa posture supposée,  la constitution  l’autorise,  irresponsable des actes qu’il pose,  fussent ils abjects.
Sénégal/le Scandale  du Régime Présidentiel-Monarchique, un Coup d’état  Permanent !
 Sommes-nous  des incapables pour  mettre fin au Scandale du  Président-monarchique le planificateur  des  éternels coups d’état permanent ?
Le Sénégal a préféré s’incliner bassement  sous l’autel de la soumission totale face à l’hégémonie suprémaciste blanche, triomphaliste, s’accorde, en s’encordant aux institutions étrangères, impérialistes, marche irréversiblement  aux pas  de  ceux qui  dominent par des marionnettes interposées, font réellement office de présidents- monarques, serviles.
Le Sénégal, reste plus que jamais   le ciel ouvert  de l’expansionnisme, redevient incontestablement  donc dans les faits,  un protectorat, une province de Marianne, ayant à sa tète des serviteurs-gouverneurs  dociles,  malléables et  marqués au fer rouge.  Qui peut parler  donc de Progrès, de liberté d’indépendance ou de démocratie  visible ? «  Lan mofi yoku wala délu guinaw  » ?
Le régime présidentiel, tel qu’il est conçu en Afrique  des nègres de service, est un kyste confiscatoire  à démocratie  et aux libertés fondamentales  des  Consciences.
Le président-Roi : un hors-la loi, un Scandale permanent D’inspiration Monarchique ; un Kyste confiscatoire aux libertés fondamentales  des  Consciences ?
 Pour  nous dominer éternellement et nous emberlificoter davantage  nous a asservis  et assujettis  pour nous tenir en laisse en laisse,  On a démantelé nos monarchies féodales,  et  tué nos modes de pensée,  culturels,  civilisationnels et  traditionnels,  qui firent, jadis,  le ciment  fédérateur, unificateur  de la cohésion sociale et de  l’unité nationale.  Nos rois furent vulgairement  catalogués comme des symboles sanguinaires, maléfiques, rétrogrades et des autocratiques, sont remplacés par des marionnettes,  qui  sont encartées à la démocratie impériale, supposée universaliste.
  Certes, quand même bien, on nous tambourine à longueur de journées, l’idée, selon laquelle le député  bénéficie d’une soi-disant immunité parlementaire, n’est  que virtuelle au regard des faits contradictoires,  n’est à l’abri de rien, par rapport  au roi- président de la république.
Lequel reste  plus jamais que   » intouchable « par son caractère d’impunité,  quoiqu’il puisse faire, par ses  dérives,  n’est jamais responsable de ses actes, même s’ils sont délictueux, durant son mandat, en tant que monarque, ubiquitaire, détient  automatiquement la majorité parlementaire à l’assemblée nationale, sa cour royale, par définition, dévouée  pour sa cause et à ses gémonies  : un déséquilibre net patent, indigne des pouvoirs, d’où deux poids et deux mesures.  C’est  pire que le système féodal, et, ce, sous le fallacieux  prétexte de créer l’instabilité politique, doit nécessairement garder son immunité, tant qu’il sera aux commandes.  Ce qui est surréaliste et fort de café. Nous avons rétabli, dans les faits, un roi  divin, qui dit bien son nom,  qui a droit de vie et de mort sur ses sujets.
 Entre le statut du président- monarque et  les  monarchies constitutionnelles actuelles  dans le monde,  il n’y a nullement l’ombre d’une séparation.  Comme on dit, c’est blanc bonnet et bonnet blanc, nous renseigne sur une hypocrisie consensuelle  et  d’un tabou.

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