Thématique Terroriste Mensongère au Sénégal, [Par Ahmadou DIop]
Thématique Terroriste Mensongère au Sénégal, [Par Ahmadou DIop]
Nous n’y allons pas sur le dos de la cuillère. Quoiqu’il en soit, Macky Sall reste le pyromane et le symbole activiste terroriste, pantin, prêcheur du syndrome terroriste.
Il n’y a jamais de terrorisme au Sénégal.
le plan diabolique ndiguël du nègre valet de service en place, en symbiose et en collusion avec ses maîtres tapis dans l’ombre, la presse de servitude nous tambourine à longueur de journées que le Sénégal est menacé par le terrorisme.
L’état totalitaire fantoche prépare intelligemment les esprits et pour cause. La sarabande qui est aux attaches du régime moribond, distille dans les consciences que des réseaux islamistes prétendument dormants existent dans notre pays.
Autrement dit, le pouvoir politique calamiteux prêche le faux pour avoir le vrai. Donc, si toutefois et si par malheur, nous ne le souhaitons pas, s’il y aurait, demain, du terrorisme, Macky Sall serait le premier suspect numéro Un, désigné qu’il se le tienne pour dit !
Pour des raisons pragmatiques, que je qualifie de pédagogiques, même si je ne suis pas un juge, je dis haro et publiquement sur le même faussaire, qui nous promettait le changement radical, ferait mieux que son devancier, Abdoulaye wade.
Le prédateur des casseroles infinies si bruyantes, l’inimitable maître des reniements et des renoncements habiles, extensibles, qui devrait avoir nécessairement des déboires judiciaires, si nous avions une justice coriace, insoumise et debout, s’est totalement dégonflé, se décharge , se défausse peu à peu , ment de plus en plus nous a tous tournés le dos, nous a trompés, fait preuve de parjures multiples, manifestement, piétine allégrement les libertés de conscience, indispensables, surtout dans un état supposé de droit, en particulier, la liberté d’expression.
Les législatives de juillet 2017 devront être spécialement, obligatoirement un gouffre, une véritable descente aux enfers et un purgatoire pour le pédigrée atypique, qui se complaît de la tyrannie.
Pour toutes ces raisons, les sanctions politiques par le verdict des urnes populaires devront tomber comme un couperet, à défaut, il conviendrait absolument le déraciner par tous les moyens légitimes du palais, de façon qu’il abdique lui-même bon gré, mal gré. Car en ce moment là, le Sénégal indépendant, libre et souverain, n’aura aucun compte à ne rendre à personne.
On ne discute pas avec un despote irrécupérable, dont la lâcheté et l’arrogance constituent immanquablement une litote, ne comprend que le rapport de force. C’est une constante chez les nègres de service de sa trempe. Point barre !
Il n’y a pas de grands pays sans grande histoire. Rien, absolument, n’est un hasard, même cela peut heurter. C’est la règle en toute logique.
Quoiqu’il en soit, qu’on le veuille ou non, il est établi que le développement de tout pays passe par la volonté de ses dirigeants altruistes et de son armée nationale, lesquels sont en totale symbiose , créent systématiquement une synergie dynamique et à l’échelle nationale des citoyens , qui ont bien compris le sens de leurs propres intrinsèques, sont tous ligués , les uns après les autres, tels des écheveaux, font corps et âme, pour sortir la tête de l’eau, et à dessein d’ émerger de façon immuable, à l’instar des grandes nations.
Sur ce plan- là, l’Afrique noire qui a plus le plus souffert au monde, devrait s’éveiller de sa torpeur, pour avoir subi plus que d’autres races humaines, des tragédies et des atrocités inhumaines , à savoir la traite nègrière européenne, le travail forcé et le colonialisme, mais nos élites politiques peu vertueuses, couardes, n’ont la moindre vision visible, pour opérer une nette rupture et en reforgeant les mémoires.
Curieusement, voici bientôt plus de 60 ans des indépendances de pacotille, chassez le naturel, il revient au galop; le colonialisme change son fusil d’épaule est plus beaucoup présent sur l’ensemble de l’Afrique francophone des 15 pays des élites toutes assujetties.
Croire que ceux qui nous ont toujours réduits en esclaves et qui nous ont exportés et continuent dans ce sens, vont nous aider, relève d’une naïveté inouïe. En termes clairs, l’indépendance ne se donne jamais sur un plateau d’argent, mais elle s’obtient dignement au prix de luttes âpres intenses.
Récemment, l’histoire a démontré que « certains petits pays » indépendants, qui sont devenus forts par leur puissance feu, que grâce à la logistique indiscutable et à la caution des puissances agencées.
A contrario, un certain nombre d’entre eux, se sont repliés sur eux-mêmes, pendant des années, ont travaillé d’arrache pied pour se faire respecter par leur bravoure et à leur puissance politique, militaire économique financière à l’échelle internationale.
En définitive, toutes ces grandes nations qui émergent de plus en matière d’industries lourdes, le doivent à leur patriotisme productif.
Pis encore, ce renégat par sa nature, monopolise hystériquement le service public, notamment, la rts, la maison de la presse, le soleil, qui restent incontestablement des instruments de propagande. Quoique l’on puisse dire, les organes de presse sont entre les mains des mêmes patronymes particuliers, comme si le pouvoir est une affaire de famille, de clans et d’ethnie.
Jamais dans notre histoire, nous n’avons connu une telle girouette, qui est aussi tombée si bas par sa singularité et ses turpitudes exceptionnelles dans tout l’échiquier politique sénégalais, par ses simagrées, dont il a l’unique secret.
Face à la terreur de l’état intégralement négationniste, intégriste d’apartheid, place à la Plaidoirie pour une véritable Politique d’indépendance, monétaire et stratégies économiques, financières !
Nous sommes à la fois riches et pauvres. C’est un contre sens inacceptable. Le bon dieu nous aime et nous a donné tout, mais nous ne nous aimons pas. Le facteur ne passe deux fois chez les habitants pour mettre les courriers dans les boîtes aux lettres.
Aujourd’hui, plus qu’hier, les médias publics et privés sont monopolisés, privatisés par le pouvoir d’état totalitaire. Ce n’est pas notre vision de la démocratie. Au lieu d’avoir des patrons de presse corrompus, matelassés piteusement alignés en mercenaires moribonds, opportunistes, ne roulent que pour leur propre existence, se nourrissent exclusivement de la pitance du pouvoir politique, pour survivre, la morale aurait voulu que nous ayons des médias professionnels véritablement, neutres, équidistants, impartiaux, loyaux, libres, indépendants, animés de la fibre déontologique, pour jouer pleinement son rôle dévolu , d’avant-garde et sans entraves, en vue d’éclairer objectivement l’opinion publique.
A cet égard, le traitement objectif des informations et la confrontation des idées permettraient à l’ensemble des citoyens d’être largement édifiés et sans parti pris.
Bref, il nous faudra absolument des spécialistes de l’information à l’endroit qui seront au service du peuple par le peuple et pour le peuple, et non certainement pas à des abrutis tondus, serviles plastiques, qui marchent au pas du politique.
Celui qui est au sommet de l’état sénégalais détourne sciemment à sa propre guise les deniers de l’état pour les acheter pour sa propre gloire. Comme le dit l’adage, la dépendance politique et financière est une menace pour la démocratie.
A ce prisme là, comme tout pays et libre, souverain, indépendant, qui se réclame tel, il nous importe donc de traquer les traitres comploteurs, qui sont en intelligences avec ceux qui nous oppriment ;
Si nous voulons avoir notre propre destin sur des bases voulues, avant tout, il conviendrait de nationaliser immédiatement toutes nos ressources naturelles et les entreprises opérant dans notre chez nous, sans que nous ayons de besoin de demander l’avis de qui ce soi ; c’est une question de légitimité et de droit.
Le pétrole et gaz découverts aux larges du Sénégal qui couleront à flot en abondance pourraient créer absolument les conditions optimales de notre souveraineté monétaire, économique, financière et notre défense nationale.
Depuis des années, on nous présente dans les manuels scolaires Charles De Gaulle comme « le libérateur », l’homme providentiel des indépendances africaines. Mais la réalité est tout autre. On les octroie formellement, mais on passe par derrière pour les bâillonner par des mécanismes impérialistes soft.
Il nous incombe de pouvoir maîtriser les technologies de pointe pour construire des industries lourdes en place, si nous voulons nous-mêmes exploiter nos immenses naturelles et établir des relations multilatérales sur le plan international avec des partenaires que nous aurons choisis librement, en tenant comptes de nos propres intérêts légitimes, au lieu d’être les vaches à lait de ceux qui continuent de nous rançonner et nous oppriment.
A cet effet, nous devons nous inspirer de l’expertise avérée scientifique du savant, égyptologue, scientifique, Cheikh Anta Diop, kémit, le l’icône emblématique, hors-pair, la référence par excellence de la sagesse scientifique.
Pour cela, nous interpellons directement nos experts économiques financiers qui ont un rôle de premier plan sur la question vitale.
Mais aussi extraordinaire que la puisse paraître, à l’exception des économistes financiers panafricains, en particulier, les ivoiriens et les camerounais, qui tiennent mordicus debout par leurs facultés mentales, toute l’opposition sénégalaise réunie, abdique, esquive le nazisme monétaire du CFA. Or, ceux qui s’arrogent des donneurs de leçons à travers l’échelle planétaire internationale dressent en coupe réglée les élites africaines, larbinisées des 15 états dits francophones qui sont sous tutelle coloniale. Car les mêmes qui pillent, siphonnent sans répit, depuis la nui des temps, balayent d’un revers de main les crimes économiques, dont ils sont comptables devant l’histoire.
L’avenir du Sénégal et de toute l’Afrique dépendent d’eux-mêmes. Quand nous voulons, nous pouvons changer radicalement notre continent. Nous sommes aussi que les autres. Trop de compromissions nous égarent retardent notre décollage économique.
En effet, l’indépendance économique, politique réelle, monétaire, financière commence par la maîtrise de ses télécommunications, en passant par l’assurance inviolable de son espace aérien, terrestre et la nationalisation systématique des entreprises pétrolière et gazières opérant au Sénégal, à l’instar des grands pays émergents.
le socle singulier cataclysmique ubuesque de la profusion communicative attentatoire matraquage grotesque lamentable de boulets cousus de fil blanc accouchent quotidiennement des charrettes mensongères à travers sa soldatesque médiatique tambourine à longueur de journées des âneries de caniveau : « Le franc CFA présente plus d’avantages que d’inconvénients », admet hystériquement le ministron, nullard, larbin- en chair et en os, symbolisé par le Doungourou de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, Alpulaar, par mimétisme, s’est lui aussi métamorphosé déloyalement en menteur professionnel profanateur dans l’âme, se dispute les déshonorables ignominies purulentes torrentielles avec Macky Sall, le traitre guignol, qui s’est transmué en chef des esclaves ,dont le but majeur ne vise qu’à défendre les intérêts, colonialistes de la puanteur.
A chaque période, correspond le vocabulaire qui mute pour défendre les intérêts colonialistes mercantilistes, non avoués.
Pour rappel, après l’esclavage, au nom de la plastique mission civilisatrice, salvatrice, humanitariste, pour justifier en grande pompe, les mêmes falsificateurs historiques développent savamment vaille que vaille le colonialisme tempéré, qui s’installe plus que jamais dans nos pays vassalisés.
Pour arriver à leurs fins, il convient donc de mettre dans le cambouis des dictateurs pitres, leurs propres valets immédiats, qui agissent tous en pantins, comme ils surent le faire jadis, en déstabilisant l’organisation sociale africaine.
Les armes nocives qui circulent dangereusement à travers sont aussi redoutables que la drogue. et les autres produits toxiques, mortels, n’ont pas apparemment la même tonalité.
A qui profite donc la vente des armes, tendant à corriger les récessions incessantes, permanentes impérialistes ? Si le poisson se vend comme du pain béni, c’est qu’il trouve absolument des acquéreurs et à quelle fin ? La question se pose en toute logique.
Cet autre crime masqué contre l’humanité. aujourd’hui, comme rien n’était, car les appétits démentiels plus connus sous la sacro-sainte loi les lobbies industriels impérialistes , capitalistes, qui dirigent en réalité, le monde, se travestissent tous en marchands de canon, au nom de la ruse, font bloc et cause commune avec les politicards usuels en connivence, mettent en avant la thématique terroriste mondialiste.
C’est la politique d’une pierre deux coups : s’il n’y a pas de guerres dans les pays du sud, qui recèlent des richesses immenses, il faut les inventer à tout prix, diviser absolument les populations, car celles-ci ne doivent nullement s’entendre, entre elles, de sorte qu’elles se détestent et se regardent en chiens de faïence, pour détruire le tissu social, et créer par l’habileté des conflits partout, pour vendre leurs armes, en même temps qu’ils s’érigent en pyromanes et pompiers de service, bénis . Sey tané waxu deug wayé yaxna xelyi- Autrement dit, les prétendues bonnes causes se cachent les véritables mauvaises raisons en bandoulière.
Le douloureux passé de certains pays qui sont dominés par le colonialisme a forgé leurs conscience plus que solides, vont de l’avant. Mais l’Afrique des élites traitresses larbinisés, y compris le Sénégal, sont totalement exclus de l’hagiographie ?
En particulier, la chine, a livré une guerre de cent ans. Elle la superpuissance incontournable qui joue aujourd’hui, un rôle prépondérant dans la cou dans des grands tant sur les échanges internationaux par sa mondiale économique, politico- financière , tant sur le plan du développement des industries lourdes, que la maîtrise s des télécommunications et les nouvelles technologies de pointe.
En conséquence, la chine aguerrie, rivalise d’ingéniosité avec ses concurrents européens et américains, est plus que présente en Afrique , où elle détient, entre autres, des parts de marchés, spécialement sur la construction des autoroutes ; alors que l’Afrique des 15 pays assujetties des élites de pacotille et des mercenaires qui en recèle plus que d’autres par devers, toutes les richesses immenses, mondiales les plus convoitées à l’échelle planétaire internationale, traîne non seulement, mais préfère, hélas, s’arrimer , face au diktat des pays impérialistes, capitalistes, qui occupent le bonnet d’âne, depuis les indépendances, bâillonnées formelles, malgré ses richesses naturelles, exceptionnelles, selon la volonté triomphaliste du maître colonial et sous la complicité directe des dictateurs, asservis, tous se tiennent mordicus en seigneurs de guerres, se transmettent hystériquement et indignement le pouvoir de pères en fils, commandent des armes, à la seule fin de croire garder indéfiniment le pouvoir. .
Rien que le pétrole et gaz qui couleront flot, demain, si ce n’est le cas actuellement, constituent une puissance économique, primordiale de grande importance, pourraient assurer notre souveraineté monétaire, financière, économique et notre défense nationale, s’ils sont exploités judicieusement de façon équitable.
Sur ce plan, l’armée nationale a un rôle majeur, principal à jouer.
Décidément, le renégat qui a été élu par la liberté dans des conditions totalement exceptionnelles, refuse d’appliquer la règle à ceux l’ont placé à l’endroit, ce décor à l’envers.
Le pouvoir n’est pas source de jouissance, mais un devoir civique patriotique. En vérité, le tyran au Sénégal semble l’ignorer