À QUOI JOUE DONC LE KLEPTOCRATE DES HORLOGES ET ADEPTE DE LA SECTE MAÇONNIQUE ? PAR AHMADOU DIOP.
L’appartenance à la loge franc-maçonnique est par définition antinomique à la religion, d’autant plus qu’elle autorise mordicus les mensonges cataclysmiques, qu’ils soient politiques ou non. À dessein de confisquer le pouvoir, la plupart des dictateurs africains sont tous devenus des francs-maçons dans l’abime, et se travestissent allégrement en corrupteurs et en corrompus, ont la culture mensongère dans leur ADN. Les dénégations infinies, incongrues, à la pelle constituent immanquablement une religion d’état. Ce sont des manipulateurs, des abrutis, des névrosés professionnels en la matière. Plus ils mentent, plus ils se portent bien.
L’éthique en maçonnerie se réduit en contrevérités absolues, abyssales tout azimut et ce sur n’importe quoi.
Se renier, se dédire à tout vent du matin au soir et sans vergogne, mentir et mentir, est une vocation, une norme établie, comme système d’appartenance et de solidarité. C’est une addiction, un tic chez eux. Il n’y en a pas un seul qui échappe à la règle. La fin justifie les moyens, fussent-ils abjects. Un contrat d’allégeange, moral écrit, consigné dans le secret les lie à ladite secte.
On se souvient de la sortie décapante d’Ibrahima Sène : »Macky Sall est parrainé par une loge maçonnique».
Alors, le kleptocrate des horloges en chair et en os a toutes les tares d’un franc-maçon . La démocratie des francs-maçons veut les uns affichent leur fidélité à la chapelle, tandis que les autres par leur hypocrisie, se cachent. Est-ce donc le cas du nègre de service ? À mon intime conviction, la réponse ne souffre d’aucune discussion possible. Qui ne dit rien, consent.
Le porte-parole, Abou Abel Thiam, s’exprimait dans les colonnes du Journal Jeune : « je précise que le président Macky Sall n’a jamais été franc-maçon, ne l’est pas, et n’envisage pas de le devenir « .
Les propos du plumitif au service du pedigree, désigné franc-maçon, ne valent rien ; car le concerné lui-même ne sait jamais exprimer clairement et publiquement, n’a jamais démenti son appartenance à la secte. Et il ne risque jamais de le faire t. Et pour cause. Tous ceux qui l’ont été dans le passé, et en sont sortis, payent un lourd tribut. Et Abdoulaye Wade, le Pape du Sopi, ne me mentira pas.
Quoique l’on puisse dire, le clown- marionnette, digne de son rang, qui fut faussement peint sous les oripeaux victimaires des leurres, malgré son apparence de respectabilité et l’abondance de ses nombreux postes cousus de fil blanc, n’a jamais eu la moindre étoffe d’un président de la république normale, ni aucune moralité palpable , visible, a été installé au plus haut sommet de l’état sénégalais, le soir du 25 mars 2012, grâce au verbatim de la mécanique ordonnée des lobbies militaro industriels –financiers, internationaux, impérialistes, capitalistes, et sur commande recommandée des médias propagandistes de référence mondialiste.
Il n’y a pas d’articles, qui régentent les fonds politiques, ni les coffres noirs, ou blancs au Sénégal. En revanche, il y’a le budget de la présidence de la république et celui de l’assemblée nationale. Dans les régimes présidentiels, le budget de l’hémicycle est de loin supérieur à celui de la présidence de la république, dont le but est d’éviter à tout prix des conflits d’intérêts manifestes entre le chef d’exécutif et les autres acteurs chefs de partis politiques.
Il faut rappeler que le budget de la présidence de la république et celui de l’assemblée nationale est rigoureusement encadrée par des textes. Car ces derniers sont exclusivement gérés par la cour des comptes.
Il faut le préciser. Il y a là, manifestement une impunité du monarque-président, qui outrepasse par devers ses prérogatives supposées, s’autoproclame ouvertement le principal guichet automatique, en s’accordant toutes les dérives exponentielles et des largesses financières, indues, consistant à corrompre à tout vent et librement sa clientèle politique, et ce avec l’argent des deniers de l’état, alors que les textes le lui interdisent, mais la réalité est toute autre dans les faits établis.
En vérité, tous les corps de contrôle présumés institutionnels ne sont que les jouets d’un tyran, n’ont qu’une existence virtuelle.
Le président de la république, qui est en même temps chef de parti politique, apparaît n’avoir aucune ligne Maginot, sème la terreur, la pagaille et la zizanie, légalise ses mécanismes confiscatoires à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience, punit quand qui il veut comme il veut, et au nom d’un article 80 bidon qui n’existe qu’en Afrique des fascistes pantins-satellites. On est bien dans l’absolution des esprits. !
SÉNÉGAL : MACKY SALLL ENVISAGERAIT DE DONNER UN BUDGET DE 2 MILLIARDS DE FCFA AU CHEF DE L’OPPOSITION.
Depuis 2012 à nos jours, l’autocrate, fidèle à lui-même, réécrit nécessairement le scénario du film, et gagne à tous les coups, planifie ses scores fantasmagoriques. Que voulez-vous ? L’achat des consciences devient sa marque de fabrique.
À quoi joue le kleptocrate des horloges et adepte de la secte maçonnique ? Qui voudrait-il tromper de nouveau ?
Autopsie de la mal gouvernance Familiale ethnique et ses plans structurels du FMI et de la banque mondiale.
Le fantoche, qui a emprunté plus de 6 fois que Wade et Abdou Diouf réunis, nous promet des larmes et du sang, coupe les subventions, laisse libre son frangin, le plastique, Aliou Sall, a eu des parts de marché indues sur l’octroi de la licence du pétrole et gaz au Sénégal.
Les fameux plans structurels du FMI et de la banque mondiale sont passés par là, et tournent plus que jamais à plein régime.
Pendant ce temps, il a bien planqué son magot dans les paradis fiscaux à l’abri des regards indiscrets, et continue de s’engraisser comme une bourrique, et voyage tout azimut, dépense sans compter à la planète entière.
Le comble, est qu’il épargne, protège toute sa famille immédiate et son clan de toute poursuite judiciaire. Pour être en 2012, le changeant disait à qui voulait l’entendre, ne mêlera jamais sa famille dans la gestion de l’état. Voilà la face cachée d’un malfrat menteur- franc-maçon qui le prouve.
En Europe, les présidents de la république n’ont aucun moyen d’accorder des finances à leurs opposants. Ici, chez nous le label de la tyrannie devient une norme établie partagée. Quelle leçon de déontologie donne-t-il au monde civilisé ? Un comble du vandalisme ubuesque doublé d’un cynisme profanateur nous donne la mesure d’un indigne personnage atypique, sidérant.
C’est renversant, et on décidément marche décidément sur la tète. La machine toxique ne vise qu’à acheter, cliver une certaine opposition moribonde tondue de la tète aux pieds pour des raisons politiques bassement matérielles.
Ce que l’on reprochait à Wade et son clan, le traitre par nature l’incarne mille fois. Car tout journaliste, ou citoyen, qui dénonce ces dérives exponentielles, sera placé manu militari en mandat de dépôt par ses justiciers tribalistes, sous le faux postulat d’offenses au chef d’état ou d’atteintes à la sécurité publique.MACKY SALL: « le troisième mandat s’est fini pour moi… », « Que les cadres qui ont des ambitions attendent la fin de mon mandat ».
Décryptage- Une entourloupe qui n’en est pas une.De telles menteries inflationnistes si épaisses et en cascades, qui disent en long sur ses intentions malveillantes, correspondent à la nature du désarticulé de fond en comble.
Qui parle, agit, s’expose, et se découvre encore pitoyablement en flagrant délit à la place publique et au grand jour « – FEN FENATI – DEUK CI WONE KO BUMAX CI SUNU REWMI DIG PENCI MI ». Nous ne sommes pas ni des dupes, ni oublieux, tant s’en faut. Comme le dit un adage de chez nous : « Ku muss ren dêmb deñu la naxon ». autrement dit, le mauvais souvenir doit nous servir d’expérience, pour ouvrir nos yeux sur un fraudeur négationniste, intégralement intégriste ethnique, menteur professionnel, profanateur, mécréant dans l’âme jusqu’à l’abime, digne de son rang.
Alors, comme à l’accoutumée, telle une huître sur son rocher, petit à petit, on voit le monstre atypique venir encore avec ses sabots et ses longues dents, ne compte jamais changer d’un iota sa monture, pour occuper le terrain du crime, pour sévir et cristalliser les esprits, à dessein de dicter son propre calendrier électoral, est identique à une teigne dans les cheveux.
Hier, cerné de toutes parts, qui fut pris en étau et ce, sous pression de l’opinion de la rue, concernant la réduction de son mandat présidentiel, le changeant, ou l’éternelle girouette, égale à elle-même, prit les devants, fulminait ceci : « personne ne peut me tordre les bras ». Hier comme aujourd’hui, c’est du pareil au même. Rien n’a absolument changé, et tout continue comme rien n’était.
En vérité, l’inimitable escroc tient coûte que coûte à garder son secret de polichinelle, veut à tout prix contrôler, et museler sa bande de thuriféraires prédateurs, dont en première loge, Aminata Touré, incisive, l’opportuniste de premier rang, très requinquée, se croit déjà présidentialiste- le miracle de la médiation SACC-diubadi- est passé par là. À qui s’adresse le chef de clan ? Il s’agit bien de Mimi Touré.
Le planificateur électoral tient mordicus à créer la surprise générale au niveau de la pègre apocalyptique, alignée. Plusieurs hypothèses s’imposent dans le secret des dieux.
Soit, il mentira comme d’habitude, soit le moment venu, à l’instar de la démocratie à la Kabila, le maître de la RDC, ex Congo, le machiste bien connu, en place , l’envers du décor, pour croire garantir son impunité abrasive, sera sans doute parachuté dans l’une des instances internationales de la Suprémacie leuco dermes, tout en ayant la haute main sur l’état sénégalais, qu’il vassalisera, désignera en même temps, son poulain de ramassis, en l’occurrence, Amadou Bâ, l’obéissant, le fidèle captif –« Doungourou »de son espèce.
Malgré l’omniprésence d’Aminata Touré, le symbole du misérabilisme, ou la présumée féministe, déclarée et très chevronnée, qui s’est abonnée dans les médias de la sarabande, cousue de fil blanc, risque fort de déchanter, quand demain fera jour.
Cette dernière, fût-elle successivement, ex ministronnne de la justice et garde des sceaux, dite première marionnette, et lèche-botte du tyran gênant, quoiqu’elle fasse des mains et des mains, ne sera jamais la candidate du foutoir, et en aura pour son grade. Je vous le promets.