CORONAVIRUS : RESILIENCE ANACHRONIQUE MENSONGERE D’UN ETAT MAFIEUX, FAMILIAL. PAR AHMADOU DIOP CPC.
N’en déplaise à la cohorte de canailles, la résilience anachronique d’un État mafieux, familial, n’aura aucune emprise sur nous autres qui sommes libres d’esprit ! Nous sommes bien habitués, blindés et immunisés contre la contagion mensongère, apérisée en bande organisée du label tribaliste des ignares acariâtres, agissent comme une toile d’araignée. La plupart d’entre eux ont une faiblesse aux grandes bouteilles euphoriques. Tant sa rhétorique démentiellement chronique est si grossière depuis la nuit des nuits. Leurs incessantes élucubrations massivement tendancieuses, fumantes et emphatiques, ne nous engagent nullement. Qu’elle se le tienne pour dit !
Le parrain des interdictions burlesques et des procès politiques à sens unique, et qui passe tout son temps à mentir sur toute la ligne, nous vend des plans sur la comète, en dégonflant, comme si rien n’était, est-il vraiment crédible ? Il n’y a que les hypocrites et les naïfs, y compris les faibles d’esprit, qui croient dur comme fer. Tant la rhétorique chronique, est si grossière, chaque jour que dieu fait, qu’elle est devenue récurrente, depuis la nuit des temps. À la suite du plan contre le coronavirus de la chancelière Angela Meckel et Emmanuel Macron, le tourniquet, fidèle à lui-même, y ajoute une surenchère décapante, s’engouffre dans cette brèche, aligne le chiffre fictif astronomique, surdimensionné à 1000 MRDS FCFA, tendant à croquer l’empathie des sénégalais, présumés candides. Certes, sortir un tel chiffre farfelu, est une chose, mais quand il s’agit de le prouver matériellement comme un trophée de guerre politique- ou l’effet d’optique, c’en est une autre. Dans ces conditions, point n’est besoin de distribuer des bons alimentaires à caractère politique ethnique et sur fond de propagande indigne. 1000 MRDS FCFA pour 14 millions d’âmes. Faisons un petit calcul pour faire sauter les verrous, et vous verrez que nous serons tombés des nues, compte tenu des mensonges cataclysmiques, empilés les uns et autres, s’effilocheront d’eux-mêmes à la place publique ! 1 MRD FCFA= 1000 0000 000 MILLIONS FCFA. Et 10000 MRDS FCFA X par 1000 0000 000 MILLIONS ?
Chaque sénégalais et sénégalaise, adulte et mineur auront chacun au minimum plus 72 millions FCFA. Le comble du comble, est que le ministron présagé du budget « nédo ko bandoum », envoyé aux charbons, fait preuve d’amateurisme et d’incompétence avérée, tente vainement une explication de texte, égrène sans vergogne, par-ci et par là des chiffres faramineux, ridicules, frisant la démence, sans qu’il nous dise comment il compte procéder, en donnant des preuves matérielles à l’appui ? Les promesses n’engagent que ceux qui y adhèrent. C’est un écran de fumée pour le label vassal de l’occident. Ses montagnes mensongères, pimentées démontrent sa carence abyssale, qu’il tente de compenser par une entourloupe. Ou alors Sommes- nous oublieux ? ku muss ren demb dannu la naxoo- nous avons vu et vécu. Après le confinement, il y aura nécessairement, un autre chaos social, endémique. A chaque chose, correspond son corollaire.
En vérité, les campagnes rurales et les pauvres croupissent dans une misère sociale, endémique, malgré la rhétorique de caniveau du kleptocrate et ses « doungourou » – captifs, sont transmués en lamentables gardes-chiourmes passent tout leur temps à mentir sur toute la ligne jusqu’à la lie. C’est leur seule vocation pour exister.
La plupart des états fascistes s’affichent, monopolisent la presse, s’apparentent, et s’auto déclarent exemplaires des leurres, confisquent la démocratie et les libertés fondamentales de conscience. Alors, face au surréalisme événementiel en cette période particulière, cruciale, le maître de l’esbroufe, met en filigrane, entre les lignes, son propre calendrier électoraliste à l’horizon 2024, est totalement, illégal juridiquement, oralement, politiquement et cliniquement, veut à tout prix , gérer l’usufruit, et y tirer les dividendes politiques de bas étage, à dessein de pérenniser à bras raccourci, son impunité qui n’a que trop duré. Sachant que les acteurs politiques, y compris les citoyens sont inaudibles, parce que confinés chez eux par l’état d’urgence, le mythomane, qui s’offre en spectacle et à huis clos, met au pas ses bouffons, répètent mécaniquement et promptement les mêmes éléments de langage, et ce par la mécanique médiatico-politique, relais de la république des défroqués et des prédateurs soumis.
Par ailleurs dans le monde, .peut-on parler de nouvel ordre mondial sous le sceau de la charte impérialiste, ou de guerre commerciale et politique, comme soubassement à demi-mot ? Donald Trump « fustige le racisme chinois envers les africains ».
Le racisme chinois n’est pas du racisme, mais plutôt de la nègrophobie, sur fond d’antikamitisme outrancier bien visible.
Le 12 janvier 2018, pourtant, le même « traitait Haïti et des nations de pays de merde ». C’est l’hôpital qui se moque de l’auspice. C’est blanc bonnet et bonnet blanc. C’est du pareil au même. Pour rappel, dans son propre pays, il mettait au même pied d’égalité le ku klux klan et l’organisation antiraciste. Dans l’entendement du Trumpisme survoltant, le coronavirus est-il devenu un marqueur politique, additif, ou plus exactement une tribune politique non assumée ?
Est-ce donc un clin d’œil pour la communauté afro-américaine, en raison de la présidentielle de novembre prochain. Les africains qui bravaient les intempéries, les terres et les mers, qui passaient en Libye, étaient réduits en esclaves, mouraient par milliers et par noyades et par balles réelles dans les côtes libyennes, et ce à l’indifférence quasi générale, n’ont jamais suscité aucune émotion dans le monde politique. Au contraire, certains pays finançaient des bateaux, si bien qu’ils se trouvaient entre le fer et l’enclume, et les génocides contre les Rohingyas en Birmanie, et leurs bourreaux se promènent librement et sans crainte.
Car justement, le géant chinois, qui joue dans la cour des grands avec « un G en MAJUSCULE », défend bec et ongles ses propres intérêts à l’ouest du pays. Et dieu sait qu’il n’est le seul. Elle demeure aujourd’hui, comme jamais le laboratoire médical et l’atelier et le principal fournisseur matériel de la planète entière, où tous les chemins mènent nécessairement, y compris toutes commandes arrivent.. Le droit financier et économique prime sur le droit humain. Et je me passerai de la guerre au Yémen, où les populations sont exterminées comme une des mouches, face à la coalition
des Emirats arabes, dirigée par le wahhabisme des pétrodollars INFINIS.
Et même si le coronavirus existe réellement, tue sans compter, et qui continue de défrayer la chronique dans les médias, met en haleine, en faisant trembler le monde entier, sans répit, les avis des professionnels de santé sont divergents, et ne sont point unanimes sur l’origine réelle de la pandémie mortelle. Selon la revue NATURE du 26 mars dernier, les chauve-souris porteuses du virus, par réflexe, urinent sur le fruit, attirent les fourmis, dont raffolent les pangolins. Si l’animal a joué un facteur, on ignore s’il l’a transmis à l’homme, poursuit le journal.
Chauve-souris-pangolin : jean françois Guégan : « est-ce que l’un et l’autre ont été des réservoirs et l’ont transmis à d’autres animaux. Il est trop tôt pour le dire un peu vite ».