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/CPC/״XAM SA REW-BËG SA REW-JARIÑ SA REW״ : NOUS DÉCLARONS NUL ET NON AVENU LE DIALOGUE SATANIQUE D’UN 3 ÈME MANDAT? PAR AHMADOU DIOP CPC.

  DE L’OUA [ORGANISATION DE L’UNITÉ AFRICAINE] À  L’UA [UNION AFRICAINE] : « OU LE TROUPEAU TONDU, QUI  S’EFFILOCHE  PEU  À  PEU  COMME UNE PEAU DE CHAGRIN  RESTE FIDELE  AU PRÉ-CARRÉ COLONIAL ».

Commençons d’abord par le Décryptage avec un Grand   «D »   en  MASJUSCULE représentée  par cette  prétendue structure  bidon  à l’échelle supra nationale africaine,  ou la face cachée d’un symbole du mimétisme à la renverse, n’a qu’une existence virtuelle et  n’a jamais valu son pesant d’or.  Bizarrement, le tire-l’œil   se met en scène, et devient étrangement très bavard, par son vacarme surréaliste, fait  son  show  et son spectacle, au lendemain de la capture «  d’IBK », « une des fétiches » de l’entité franc-maçonnique en bande organisée, est sous bonne garde et en résidence surveillée par la  junte militaire.

Qu’importent la pression, le chantage et les dérives incessante de la Cédéao, qui s’abattent sans trêve  sur elle. Cette dernière reste  plus que jamais  impassible, tenace, coriace,  et  ce malgré  la  campagne  de diabolisation et  les tempêtes de  dénigrements systémiques  et  la  solidarité  de classe  d’un  Éco système en vase clos et les incantations stériles des tirs groupés des  guignols pantins satellites, tous  marqués au fer rouge, réquisitionnés,  bridés,  pour les besoins du sale boulot et sur commande recommandée  et la survie  de  qui  ?   

Addis-Abeba : le 25 mai 1963, sous la houlette de kwame NKumah Haïlé Sélassié Ier, 30 pays africains  réunis en conférence  dans la capitale éthiopienne, créèrent   l’OUA-  organisation de l’Unité Africaine- chargée de promouvoir  le panafricanisme à l’échelle continentale. Le 24  févier 1966,  en visite officielle en Chine, le leader panafricain est renversé par un coup d’état militaire, selon les informations bien  établies, pourrait être cautionné  par les ordres  de la première puissance mondiale de l’époque.

De la CÉDEAO- OUA –UA, la  même  marionnette fidèle à elle-même,  incarnant le MAL ABSOLU, depuis les parodies des indépendances formelles de la décadence dynamique,  aura beau changé sa nature, mais gardera toujours et nécessairement sa peau,  s’évertue machinalement et mécaniquement à compromettre davantage les africains  intérêts vitaux et légitimes, et ce  au profit de nos oppresseurs. Dans son rôle de supplétif passif,  de garde chiourme et  de coquille vide, ne peut se soustraire de sa trajectoire contradictoire,  par sa platitude manifeste, agit  à contresens de l’histoire et à l’encontre du panafricanisme.

De L’ OUA à l’UA en passant  par la CÉDEAO, la même servilité- C’est du  pareil au même TALI ÑAREET en bande organisée-  est tenue en laisse, s’accommode à la plate bande impérialiste, s’y complaît dangereusement,  s’encorde, en accordant son violon à la tenue du maître des cérémonies,  s’érige  non seulement  le chef  d’orchestre chorégraphique, mais le  maître des lieux.  Pis, quand l’Europe crée l’Union européenne [UE], le novembre 1993, Maastricht, Pays-Bas , la référence farandole endogène, par mimétisme,  suit textuellement  le pas,  et  copie servilement  la structure européenne, et sans vergogne. Il en est de même pour la majorité des pays tous soumis, sous tutelle, en tête desquels des putschistes corrompus ne s’encombrant d’aucune moralité peu ou prou,  agissent sans foi, ni loi,  ni scrupules, s’accrochent mordicus par devers  au pouvoir héréditaire, comme un legs divin, où la démocratie se conçoit exclusivement  de pères en fils, et ce sous la bénédiction  du gendarme colonial, omnipotent, apparaît expressément  sourd, aveugle et muet, les protège à coups de logistiques pour ses propres intérêts, en échange de leur docilité renversante.   Je cite Ludo De Witte : «  ce dix-sept janvier 1961, au Katanga. Un peloton d’exécution, fort de quatre hommes armés de Stengus-Vigneron et de fusils-FAL, se tient en attente, alors qu’une vingtaine de soldats, de policiers, d’officiers belges et de ministres katangais regardent en silence. Un capitaine belge donne l’ordre de tirer et une salve énorme fauche Patrice Lumumba, l’ex premier ministre congolais, qui a  été déjà maltraité ».

Deux ans plus tard, le président SylvanusOlympio, qui a élu démocratiquement par les togolais, assassiné le janvier 1963.   Et les coups d’état, qui  s’amoncellent jusqu’à l’arrivée d’Alassane au pouvoir par les fourgonnettes étrangères, dixit l’avocat Jacques Vergès, n’ont jamais suscité aucune émotion, ni condamnation  peu ou prou de la part de la Cédéao, qui est très bavarde et très impliquée directement sur les affaires du Mali, un pays libre, souverain et indépendant.  La soi-disant solennité se garde bien de se rendre en Cote D’ivoire pour sermonner l’aventurier, qui a eu du culot par ses dérives en exponentielles.  Pendant ce temps, qui viole la constitution ivoirienne, se présente à l’élection du 31 octobre 2020, radie impunément  Laurent Gbagbo et Guillaume Soro de la liste des candidats.

/CPC/״XAM SA REW-BËG SA REW-JARIÑ SA REW״ : NOUS  DÉCLARONS  NUL ET NON AVENU LE DIALOGUE SATANIQUE D’UN 3 ÈME MANDAT ?

Alors,  ne nous laissons pas divertir par   la Com` des charniers de mensonges cataclysmiques  et sur fond de trahisons, comme soubassement  de bas étage !À ce prisme là,  nous avons été jusqu’ici  patients, charitables et au point d’être ridicules  par notre torpeur généralisée à l’échelle nationale.  Soyons donc  unis et  debout et fiers de nous-mêmes à l’endroit et la place qu’il faut !  Car  nous n’avons pas  d’autre choix que  de changer le rapport de force  et d’en découdre face à ce nègre de service et sa bande torchon de canailles, tortionnaires,  nous enquiquinent, nous narguent, menacent notre survie et notre existence, nous  gouvernent contre notre volonté, et agissent en toute circonstance et en toute impunité, depuis, hélas  le triste regrettable soir, historique du 25 mars 2012 à nos jours.  Pour ce faire, appliquons l’action dialectique patriotique interactive,  si nous voulons mettre un  terme à ce régime  de capharnaüm- fantoche, qui n’a que trop duré !

Le dialogue du  politiquement satanique, incompétent, est absurde, ne vaut rien, n’a aucun sens, n’est pas productif,  si ce n’est l’esclandre d’un  aventurier ordurier insolent, qui n’en démord jamais. On marche sur  la tète. On est bien  dans l’absolution permanente des consciences et dans une fuite en avant, avec un déni de justice, tendant à donner un caractère légal à un voyou, qui ramène tout à lui, est digne de son espèce , pour  se donner une posture de caniveau.

Cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti : Premier désaccord au sein de la Commission politique. Nous l’avons dénoncé depuis  fort longtemps. L’éternel discours est tombé sur les oreilles  d’un sourd, muet et aveugle. Ne nous leurrons pas ! Le minable escroc ne peut pas scier la branche sur laquelle il est assis. Face à des dictateurs corrompus et corrigibles,  seul le rapport de force prime sur tout. Il faut le virer, en  lui  mettant une muselière et le mettre hors d’état de nuire, et l’emmener contre son gré  dans un camp militaire, où il sera en résidence surveillée,  sous bonne garde, à l’instar de son compère « IBK », adepte de la secte maléfique.  Ce dernier s’il y  a eu de tant de bruits et bénéficie de soutiens indéfectibles de la cédéao, c’est parce qu’il fait partie de la galaxie des franc –maçons.

Comme le disait, Nicolas Boileau : Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement.  IL  n’est pas le premier à le dire.  Un adage de chez nous dit «  so nare lu jup danko wax buleer nañ ci dig penc mi ».

Ce qui n’est pas le cas du menteur professionnel, franc-maçon himself.  LA Vérité du peuple ne compte  pas, seuls comptent ses mensonges perlés. IL  est une  fois de plus  pris la main dans le sac, pour e pas avoir respecté sa parole donnée.  Qui ne dit rien, conçoit, entretient le flou et le faux suspense. Et pour cause.  Soyons vigilants et sur nos gardes !  Réveillons-nous  de notre somnolence !

Point n’est besoin de dialoguer. Et quel dialogue ? L’imposteur veut-il  rempiler, cristalliser les esprits autour de sa personne qu’il se fait de lui-même et  s’attribuer des faveurs illégitimes ? Son dialogue est une entourloupe  inacceptable.

C’est qu’il n’entend nullement prendre sa retraite politique à date échue. Qu’il se le tienne donc pour dit !

En vérité,  Le tourniquet  n’a  que des intentions malveillantes,  des arrière-pensées et un calendrier caché.  C’est lui donner du crédit. C’est  aller à contresens de l’histoire, qui consiste  à lui  accorder des circonstances atténuantes et un blanc seing sincère mal placés. Alors que cela  n’a pas sa raison d’être.

L’abruti singulier, qui est fidèle à lui-même, ne change pas d’une seule virgule de sa trajectoire totalitaire,  n’est  jamais une sainteté,   n’a jamais incarné ce qu’il prétend être,  est  totalement  disqualifié de fond en comble,  mais développe à chaque circonstance exceptionnelle des  charrettes d’inepties  et  des  sujets de diversions à la pelle  par la mécanique bien huilée de sa sarabande, est corrompue de la tète aux pieds.

1° D’abord, quoiqu’il arrive, le  principe de précaution doit être  un préalable de tout  dialogue   politique, véridique, n’a de sens que si on  exclut  d’avance  l’autocrate à la présidentielle de 2024. Cela  est la condition  sine qua non,  de rigueur,  n’est pas ni négociable, ni  de près  de  loin,  sous aucun prétexte.

2° le maintien  d’Ali NGOUILLE NDIAYE, l’acteur principal  politicard et ministron de l’intérieur représente  un  HAUT RISQUE,  reste comme jamais une épée de Damoclès et les yeux et les oreilles auprès  de l’autocrate, chef de parti, et juge et parti,  est déclaré persona non grata dans le paysage du soi-disant  dialogue de la ruse. A Défaut, il garantira l’impunité de celui qui l’a gratifié.   S’il reste à son poste, c’est aller en guerre et la perdre. Il n’y a aucune discussion possible. A défaut, c’est comme aller en guerre et la perdre.

3° auditer absolument  le double  fichier électoral opaque contenant 1 million  500.000scrits, échappe au contrôle du conseil constitutionnel.

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