EN AFRIQUE, LA DÉMOCRATIE SE CONÇOIT`À COUPS DE CANON ET PAR LE VANDALISME DU SUFFRAGE UNIVERSALISTE DES SEIGNEURS DE GUERRE-VOLEURS EN BANDE ORGANISÉE. PAR AHMADOU DIOP CPC.
C’est la règle chez les fantoches nègres de service, francs –maçons de l’hydre mafieuse, versus la Françafrique. Circulez, il n’y a rien à voir !
Depuis 1963 à nos jours, des indépendances bâillonnées, formelles de la décadence dynamique, pour faire beau et amuser la galerie, la singularité de l’Afrique, s’est auto désignée honteusement et indignement la galaxie francophone, reste comme jamais le laboratoire et le ciel ouvert du far west et du banditisme cataclysmique, où la démocratie à huis clos se conçoit exclusivement à coups de canon et par le vandalisme du suffrage universaliste des seigneurs de guerre- voleurs en bande organisée.
Certes, la république algérienne démocratique et populaire, et le royaume chérifien-le Maroc, pour ne citer que ces deux là, parlent le français, mais ne se font jamais appeler francophones. Qu’il s’agisse de l’Afrique centrale ou de l’Afrique de l’ouest, la même pantomime, qui est fidèle à elle-même, se distingue, signe et persiste, s’arroge par devers et par-dessus tout vainqueur des leurres, remporte massivement et régulièrement les parodies électorales, en un quart de tour, et ce, à bras raccourci, par des scores fantasmagoriques. A qui donc profite le crime ?
Alors, dans ces conditions déplorables et condamnables, le vacarme erratique des pantins de service kamitophobes béni oui-oui, qui fait florès, prime sur tout le reste. Puisque le tabou ornementé, n’est que du vent et une simple formalité administrative, qui passe comme une lettre à la poste. Et les chiens aboient et la caravane passe.
Selon leurs propres intérêts économiques, financiers et au nom de la géopolitique, les prétendus distributeurs, autoproclamés de la démocratie à travers la planète entière, agissent à double standard et à géométrie variable, quand cela les arrange, restent peu réactifs, face à l’impunité abrasive de leurs pions, qui se réduisent comme des vaches à lait, qui sont tous ferrés, bridés dans le pré- carré colonial, se gardent bien de se mêler dans les affaires intérieures des pays du sud, et ce, sous le fallacieux prétexte d’ingérence.
Pour cela, les mêmes renvoient dos à dos et les autocrates déclarés, non éclairés, et les oppositions, dont on nie, semble-t-il, existence, tout en s’auto déclarant équidistants, et préfèrent parler de dialogue du bout des lèvres, comme pour légaliser, dans les faits, la tyrannie surréaliste de leurs poulains.
Tandis que de l’autre côté, ceux qui ont eu manifestement une résilience patriotique, vis-à-vis de leurs pays, ne se soumettent jamais à la charte de l’impérialisme, et qui veulent garder, à tout prix, leur indépendance et leu souveraineté, sont traînés dans la boue, et traités de tous les noms d’oiseau. Tout dépend de la posture des uns et des autres, selon le bon et mauvais en droit. Et qu’il faille défendre les intérêts des états et au détriment de ceux des humains.
En vérité, le suffrage universaliste à l’échelle continentale africaine soumise, est synonyme d’escroquerie, de trahison et de banditisme. Ni plus ni moins. C’est le cas de le dire tout haut. Pis, en Afrique des pantins – satellites kamitophobes tondus, de la tète aux pieds, l’issue des scrutins de pacotille se joue à huis clos dans la cour des voleurs en bande organisée : c’est une litote que l’on ne saurait démentir dans le temps et dans l’espace.
ALASSANE OUATTARA FAIT VENT DEBOUT CONTRE TOUT LE PEUPLE IVOIRIEN, SE MAINTIENT ORBI ET URBI AU POUVOIR ET CE, PAR LA FORCE. IDEM POUR SON CONFRÈRE SUPREMACISTE “NEDO KO BANDOUM “ : MACKY SALL ET CIE.
Article 27 de la constitution au Sénégal, est manifestement perverse idyllique, qui cache en même temps un caractère moribond, stipule par voie référendaire, le 20 mars 2016, ainsi qu’il ressort de la décision n° 1/E en date du 30 mars 2016, la constitution limite la durée du mandat du président de la république est de 5 ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».
C’est aussi pareil pour le président de la république de la Côte d’ivoire. Sauf que le putschiste Alassane Ouattara en a une autre lecture sur la loi fondamentale. Car selon lui, « La Constitution lui permet de faire deux autres mandats ». Ce n’est pas un cas isolé, loin de là. Denis Sassou Nguesso n’a jamais respecté peu ou prou les clous, bénéficie lui aussi d’une impunité, gouverne de 1979 à 1997.
depuis 1997, date de son retour au pouvoir par l’intervention ses cobras et les forces armées angolaises après avoir renversé le président élu Pascal Lissouba dans les premiers mois de la guerre civile du Congo-Brazzaville.
Il est actuellement l’un des plus anciens dictateurs exclamés francophones béni oui-oui, par qui et pour qui et en place dans le monde, cumulant 37 années de pouvoir. Et ce n’est pas tout. Le clan des Bongo I et II n’est jamais loin. Le Togo Des Eyadema père & Fils.
Le Patriarche Paul Biya, ne déroge point à la règle, règne en maître absolu, s’inscrit dans le même registre. Et le seigneur de guerre, Idriss Déby Itno, depuis 1990, est aussi dans cette logique abracadabrantesque, s’autoproclame le « premier Maréchal du Tchad.
En 1968, Francisco Macías Nguema, devient le premier président élu de la République. ll s’auto-proclame président à vie en 1972. Cousin éloigné de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, celui-ci le considère comme son oncle. Il lui offre le poste de commandant de l’armée et des régions militaires de la capitale. 1975, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo prend la tète la tête des forces armées puis est nommé vice-ministre des Forces armées populaires en 1979.
La même année, il renverse Francisco Macías Nguema, à qui il reproche ses violations « systématiques » des droits de l’homme2. Il prend le pouvoir comme président du Conseil militaire suprême avant d’être nommé président de la République en 1982, est toujours au pouvoir, gouverne avec son fils, Teodoro Obiang , est vice-président du président Nguema,.Teodorin.
<< La maturité des masses consiste en leur capacité de reconnaître leurs propres intérêts. Mais cela présuppose une certaine compréhension du processus de production et de distribution des biens.
La capacité d’un peuple de se gouverner démocratiquement est donc proportionnelle à son degré de compréhension de la structure et du fonctionnement de l’ensemble du corps social. >>, Écrivain KOESTLER (Arthur).