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IBA DER THIAM : UN IGNORANT IGNOBLE HISTORIEN SATANIQUE –FALSIFICATEUR QUI LE PROUVE. PAR AHMADOU DIOP.

De quoi s’agit-il ?

KHALI  MADIAKHATE KALA, dont personne n’ignore la stature au Sénégal,  fait partie  de ceux qui  sont sortis de  l’école d’El hadji Malick Sy,  selon  IBA DER THIAM, l’ignoble historien-falsificateur Ès  Mensonges hors-pair, qui le  prouve.   Des  grossièretés flagrantes  n’engagent que cet ignoble ignorant historique, satanique.

 Le juge, érudit et écrivain de grande qualité, fut  formé uniquement à bonne école  par son propre père biologique, Moussé Daro.  Ce dernier, a reçu lui-même exclusivement l’enseignement de son père, Makala Diakhaté à KEUR MAKALA.   

   À part son père,  KHALI  MADIAKHATE KALA, n’a jamais reçu l’enseignement d’une autre personne, maîtrisa parfaitement et la grammaire arabe et le wolof. Il naquit en 1835  et mourut en 1900  dans son village, Aïnoumady DIAKHATE, qu’il fonda  L lui-même en 1893.  De nombreux d’érudits au Sénégal sont passés à son école. Il  Faut préciser  qu’il était plus  âgé  de 20  ans  que son  cousin direct, hadji Malick Sy. Or, à cette époque là,  il enseigna  déjà  ses nombreux disciples, venus des contrées les plus lointaines.  De tels propos  présomptueux  et scandaleux disent en long sur  un soi-disant historien des leurres, et  dont l’insuffisance criarde, nous laisse tous pantois.  Il faudrait qu’il aille fouiner et apprendre l’histoire, au lieu de nous raconter des  contrevérités.

  Monsieur IBA DER THIAM,  Vous êtes donc un minable  clivant infâme, un monstre atypique, par ses vos ratonnades et incongruités abracadabrantesques, dont vous détenez l’unique secret devant dieu.  Vous vous rabaissez davantage, en voulant enterrer un homme de valeurs. Solennellement, je vous le dis  directement sans ambages, ni langue de bois, car vous êtes condamnable au regard de la morale, puisque vous  outrepassez  délibérément  ce que vous prétendez incarner. Vous vous comportez comme un  malfrat,  un grand guignol, ignoble historien. Vous n’avez nullement la moindre  qualité d’un historien, digne, ni l’étoffe d’un transmetteur du savoir.

 Permettez-moi de vous dire que vous n’avez jamais de  mérité ni de près, ni de loin, la qualité émérite d’un  éminent historien honorable.

 Vous le savez parfaitement dans votre for intérieur en lambeau. La rengaine et la bassesse sont l’apanage des faibles.

N’avez-vous pas honte  de salir,  ou de nier l’histoire glorieuse d’un grand serviteur d’honneur,  hors du commun,  qui a bien marqué son temps par ses empreintes digitales, et enseigné l’islam et la sagesse dans tout le Sénégal, le savoir pluriel  dans toute sa dimension par ses facultés mentales très fertiles, Macha Allah.

  Vous  n’êtes qu’une moisissure, bien connue, de triste mémoire, au point de vous rabaisser davantage, par la petite porte, en essayant de  reléguer au second plan la grandeur  d’un gros calibre. 

 Vous n’êtes pas digne d’exercer ce métier noble d’historien. Vous déviez outrancièrement  de votre trajectoire, pour avoir  failli manifestement et sciemment à votre mission à la place publique. Et vous  avez l’obligation  de  briser  votre  plume démoniaque au nom de l’histoire et des hommes de valeurs .

  En toute logique,  ce qu’a écrit  l’historien de pacotille, sur l’homme d’honneur, aux âmes bien,Khali Madiakhaté Kala , est totalement  inexact et abject, résulte incontestablement  d’une méconnaissance de l’histoire,  voire  un blasphème inexcusable. Le  falsificateur compile des mensonges à des fins de prestige de  piètre qualité et pour des raisons bassement matérielles. Le prétendu ouvrage sur l’histoire générale du Sénégal  n’est qu’un chiffon, n’a aucun sens, ni aucune crédibilité tant soi peu.

Quand un tel étalage verbeux  est faux du début à la fin, tout s’écroule comme un château de cartes.  Rien absolument  dans son  défroque ne tient, car tout est décousu de fond en comble. Il n’y a que des affirmations gratuites et des  montagnes de balourdises.  

  Quelle mouche a donc  piqué  Iba Der  Thiam pour  avoir  accouché  des légèretés industrielles empilées les unes après les autres  sur une icône immortelle   célébrissime, laquelle  est dans le panthéon des Saints d’esprit,  et qui fut  investie dans l’art épistolaire  par ses joutes,  qui sonnent comme des coups de marteau,  restent plus que jamais   gravés  dans les mémoires collectives ? Ne vous fiez à l’apparence, car   la déconfiture n’est qu’un tissuthèque de mensonges,  ne vaut  nullement   son pesant d’or.

 Iba  der Thiam et tous ses collaborateurs ont commis une faute  professionnelle, lourde de conséquence, qu’ils doivent  absolument corriger, à défaut d’être de vulgaires falsificateurs-profanateurs dans l’âme jusqu’à l’abîme.

 Comment a-t-il pu écrire de pareilles dissimulations fumantes ?  Un historien  sérieux, respecté, respectable, digne de ce nom,  et  qui le prouve matériellement, doit se renseigner d’abord  auprès  des familles concernées,  avant de faire paraître publiquement  un livre d’une importance capitale. L’aventurier, inculte de son espèce, très bavard, connaît-il vraiment l’histoire du Sénégal et  ses hommes de valeurs ?  Pas si sûr et pour cause ;

Avant  de publier un ouvrage  sensible, la morale veut qu’il interroge d’abord la famille du célèbre érudit,  philosophe, écrivain de pure souche. Mais apparemment, l’énergumène digne de  son rang par son égo, n’en a cure, préfère, hélas,  étaler des litanies mensongères, dont on ne sait pour quelle raison et mobile, le motivent, par sa  suffisance, à dessein de croire rabaisser la stature d’une belle plume emblématique magique. Or, une telle mission est vouée à l’échec.

Mais cela ne m’étonne pas de lui. Que voulez-vous ?  Le mercenaire ne changera   jamais, a  toujours roulé  au gré du vent, selon la météo du moment  Ce  type n’est pas à son coup d’essai, loin là.  Il n’est jamais un homme d’honneur. C’est le moins que l’on puisse dire.  Je l’ai toujours martelé, et écrit à maintes reprises dans mes chroniques sur internet. Chassez le naturel, il revient au galop.

Serigne Cheikh Idrissa Diakhaté, le Calife Général D’Aïnoumady Diakhaté,Serigne Ousmane Diakhaté, le porte-parole de la famille de  KHALI MADIAKHATE KALA  et tous les descendantes sont  tous indignés, choqués et horripilés devant les  escalades de IBA DER THIAM : UN IGNORANT  IGNOBLE  HISTORIEN SATANIQUE – FALSIFICATEUR DE LA DECONFITURE HORS- PAIR.

 «  Au   CARREFOUR DES LITTERATURES AFRIQUE- EUROPE »-Voici ce qu’a écrit, le regretté  PR  AMAR SAMB [1972 :259]  sur le fondateur D’AÏNOUMANE-AÏNOUMADY :

[Tout écrivain de haute stature porte dans son ombre un lambeau de son époque]. SI une telle formule peut s’appliquer à un homme, il convient de le faire à propos de KHALI MADIAKHATE KALA […]

Ce qu’il y a d’étonnant c’est qu’on n’ait jamais parlé de cet homme extraordinaire et si attachant, c’est qu’on ait enterré sa mémoire avec son propre corps, alors qu’il était l’homme le plus intelligent, le juge le plus  habile, le poète le plus original, l’un des princes les plus valeureux de son siècle.

L’histoire a été injuste envers KHALI MADIAKHATE KALA, la littérature a été injuste envers  celui qui  devait occuper la première place dans  son panthéon.

Son arbre généalogique montre qu’il est  cousin de EL HADJI MALICK SY, fondateur de la confrérie des Tijan (Tivaouane).  CHEIKH AHMADOU BAMBA, fondateur du Mouridisme (Touba) et Lat –Dior Ngoné Laytyr Diop, dernier Damel du Cayor.

Gobineau,  Voltaires,, Victor Hugo et Cie, « hiérarchisent les races »- quand bien même la notion de race n’existe pas en biologie- mais ici, chez nous au Sénégal, les postulés intellectuels des charniers de mensonges, mettent les fondateurs des  confréries les uns après les autres,  les hiérarchisent dans les faits .  Que voulez-vous ? Lors le premier chef de clan intégriste et intégralement  négationniste ethniciste, de la tète aux pieds, donne le tempo, privilégie sa culture, et  en fait sa marque de fabrique et son label.  Il va sans dire que les drives  en soient crescendo. Où va donc le Sénégal ?

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