LE BLOG D'AHMADOU DIOP

La République Scandaleuse des Lâches Traitres Mafieux et des Corrompus avec son Éco système Népotique Clanique, Clientéliste, et Place à une Révolution du Pouvoir du Peuple par le Peuple et pour le Peuple ! Par Ahmadou Diop CPC.

Pour commencer, parlons sans tabou et faisons  moins de langue de bois sur l’éternel climat délétère  qui  va en pis dans notre pays, le Sénégal. Vu le comportement de la République Scandaleuse des Lâches Traitres Mafieux et des Corrompus avec  son Éco système Népotique Clanique, Clientéliste, nous ne pouvons pas éviter de faire un parallélisme entre  le Sénégal des temps modernes  contraste parfaitement avec celui  de nos anciens guerriers. Lesquels avaient l’esprit du sacrifice, la parole sacrée et le sens de l’honneur. Ce monde d’hier et celui d’aujourd’hui, c’est le jour et la nuit.

Car la culture de la trahison, qu’est ce legs colonial,  prévaut plus que jamais, et devient nécessairement  source de référence et de promotion sociale.

  Le kleptocrate déclaré  qui continue d’entretenir la culture de la trahison  n’a jamais cessé de  surfer sur les mêmes thématiques de ses maîtres leuco dermes  plastronnait ceci et  indignement  devant Nicolas Sarkozy : « le retrait des troupes et des bases militaires relevait quelque peu d’un nationalisme placé ».  pour garantir son impunité, un tel  ignare qui  se croit plus futé que nous tous, confond sciemment le  nationalisme et le patriotisme.

Avant la pénétration coloniale, l’organisation sociale africaine était analogue à celle de l’Europe, disait le kamit panafricain emblématique, charismatique, Cheikh Anta Diop, le plus célèbre savant,  scientifique historien, égyptologue hors pair,  le coriace de tous  temps par ses facultés mentales.

 Les faits  qui  parlent d’eux-mêmes sont têtus.  Depuis  2012 à nos jours et à cause de notre étourderie massive  généralisée à l’échelle nationale,  pour  faire beau, on  a cru  changer  la  molécule  prétendument usée pour la remplacer par une autre qui est manifestement plus préjudiciable et monstrueuse.  La montagne a  donc accouché d’une souris.  Nous sommes toujours  au point au même de départ.

Rien absolument n’a véritablement changé et tout continue  dans la répression totale  tout azimut, comme facteur avec  de  régression  qui va en pis. Nous  voyons le soleil, mais  ne l’admettons par notre hypocrisie  et  notre laxisme.  Ce qui corrobore  les propos des algériens,  selon lesquels, ils voient le soleil avec un tamis.  Quoique l’on puisse dire,  ils ont du mérite patriotique dans leur adn, pour l’avoir prouvé maintes fois  sur le terrain,

Sans répit, depuis des mois, ils bravent ouvertement  leurs autorités,  qu’ils défient, en manifestant  dans la rue pacifiquement chaque semaine, et exigent  sans conditions  le départ  obligatoire de l’oligarchie militaire et de tous ceux qui faisaient partie de l’ancien régime, dont en tète  Bouteflika, qui a  bien fini par lâcher du lest  en larguant les amarres, face à la pression de la rue qui continue  bel et bien.

Le frère du président, Saïd Bouteflika et la plupart des anciens  dignitaires  sont aujourd’hui  dans  les verrous et sous bonne garde.  Le général Ahmed Gaïd Salah,  le chef d’état major  des armées, dont  son rejeton a  eu le culot  de gifler violemment,  parait-il, de source bien renseignée,  un préfet, reste pour l’instant l’homme  fort du régime, se  maintient  au pouvoir,  promet  la présidentielle le 12 décembre 2019,  malgré  les contestations.  Au lendemain  des  scrutins présidentiels,  il  n’aura d’autre choix que d’abandonner le pouvoir, et s’exiler au pays  de la dynastie des AL SAUD.  Sans se tromper, on peut dire que l’Algérie verra tôt ou tard le bout du tunnel,  même si elle n’est pas sortie de l’ornière.

  À contrario, chez nous, rien ne passe, sauf les discours incantatoires  pimentés, aigre doux et stériles font florès. Face à une  caste d’abrutis et  de Lâches Traitres Mafieux et des Corrompus apparaissent  plus structurés avec son label d’Éco système Népotique Clanique, Clientéliste, que l’ensemble d’un pays entier,  résigné, et capitulard, se laisse hypnotiser,  on ne sait par quel philtre magique, sorti de terre et comment,  joue l’expectative et  les  abonnés  absents, se donne bonne conscience.

 Comme on dit, les mêmes causes irréfragables reproduisent nécessairement les mêmes effets  multiplicatifs cataclysmiques. Autrement dit le très bavard  principal acteur immédiat de l’ancien régime,  qui a été catapulté aux postes de nomination TAN SABULA NEX-lequel  après s’être scandaleusement engraissé  lui-même par les raccourcis politiques,  inversant les rôles, a eu l’outrecuidance et l’indécence de  se  peindre faussement sur des oripeaux victimaires des leurres.

Grâce  à l’abondance et au  vacarme hystérique   endogène en place, dans son rôle de supplétif et de farandoles,  était en jointure et  jusqu’ici,  avec  la mécanique huilée  de la machine propagandiste mondialiste de référence arbitraire et de la tyrannie.

 Laquelle  affluence  mortifère proclamée  faiseur de roi et d’opinion,  a joué les services après vente et  réussi à  déterminer, et  orienter  dans le sens voulu, l’issue de scrutins de pacotille, et ceci avec une prouesse titanesque.

 Comme toujours, les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient. Alors, l’escroc de grand chemin,  parrainé par le lobby mafieux politico-médiatique,  focalisa  la campagne électorale sur la  la rupture,  en faisait son tempo, et son ADN, a été  largement élu  au second tour avec un score sans appel de 65%.

NB : pour rappel, le vote massif en faveur du secrétaire général de l’apr- versus ethnique-franc-maçonnique, en l’occurrence,  le diable  Macky Sall,  machiavel en chair et en os,  candidat par définition de la France,  n’était  nullement  spontané, en termes  d’adhésion populaire et  de programmes politiques cohérents bien ficelés, visibles et tangibles , mais relevait plutôt d’un suffrage contestataire contre  la dynastie supposée, virtuelle «  des  Wade ».  

Paradoxalement,  le cheval de Troie,  présumé  de  la  rupture tant attendue, n’a jamais  produit tant soi peu  ses effets escomptés, n’a pas changé sa mouture d’un pouce, ce à quoi il a été élu,  si ce n’est qu’il est pire que son bienfaiteur par ses méthodes fascistes et ses ratonnades convulsives,  récurrentes,   sont peu habituelles dans le paysage politique sénégalais.

Entre temps beaucoup a coulé sous les ponts. Et je ne citerai que trois  ou  quatre gros  mensonges parmi tant d’autres, du  label menteur professionnel, profanateur, mécréant, kleptocrate,  qui nous donnent la chair de poule, auraient pu créer la descente aux enfers  du  tonnant changeant,  s’éterniserait  en prison pour le reste de sa vie  à Rebeuss, et  bénéficierait automatiquement, immanquablement d’une  peine incompressible de 30 ans  avec des circonstances aggravées, pour moult trahisons et pertes de ses droits civiques supposés.

D’autant  plus que sa pathologie épileptique,  irréversible, constitue une  menace réelle à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience.  

Interview de Macky Sall au journal français, l’express, et dont  les propos  étaient recueillis  textuellement et publiés  par le journaliste, écrivain français, Vincent Hugeux,   le 26/01/2016.

Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole? 

 1° Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017. Voilà un premier  gros mensonge  d’un vrai franc-maçon !

2° Parodie référendaire deum en mars 2016/ une volte face digne  d’un menteur  qui le prouve : le fameux  référendum  ne concernait pas son mandat de 7 ans en cours. La suite  qui est bien connue, passe comme une lettre à la poste.

 3° En avril 2013  au  JA :  il faut cacher son patrimoine et ne pas le publier , en y ajoutant, je ne mêlerai jamais ma famille dans la gestion de l’état. Qu’en est-il  depuis 2012 ?

 4° 2017 : dans  l’optique de   s’ériger le maître des horloges, le minable planifie  un vaste  hold-up électoral en 2019, rempile davantage, et   prend les devants,  en vue de  réquisitionner  tout le temps l’assemblée nationale godillot, organise les législatives des submersions cataclysmiques, qu’il gagne à tous  les coups.

5° Cerise sur le gâteau, l’imposteur, fidèle à lui-même, en met toujours une couche épaisse,  comme au cinéma,   réécrit  nouveau  le scénario du film, arrache son propre score fantasmagorique, digne de lui, blanchi par des observateurs douteux, dont l’obédience n’échappe à personne : obtient plus  58%  des suffrages exprimés, lors de la dernière comédie électorale, en la personne de  son  juge à lui, Demba Kanji, son négrier   de service -Taali nãreet, s’est exécuté, après avoir  entretenu le faux suspense. 

Malheureusement, jusqu’ici, nous ne sommes pas  conséquents avec nous nous-mêmes,  en le laissant faire  ce qu’il veut et à sa propre guise.

 Or ce que l’on croyait révolu hier, revient en surface ouvertement à la place publique, à savoir l’émergence familiale de la dynastie  de la dernière heure Nédo ko bandoum des  FAYE –SALL-TIMBO –GASSAMA ET CIE, auxquelles s’ajoute l’abondance  plus massive  qu’un village entier portant les mêmes patronymes particuliers bien sonnants, s’emparent de tous les postes  clés  que compte l’état sénégalais, vassalisé jusqu’à la lie, comme si les compétences et les expériences des cv de ramassis bidon présumées, se mesurent scandaleusement et exclusivement  à l’aune d’un bazar enjolivé et son éco système d’apartheid  doivent  primer sur tout.

 «  Kuy mi ngayar diko xont molay fad » : cela signifie en terme clair qu’à un moment ou à un autre, le bélier engraissé par son maître finira par lui rendre des coups fatals, dit un adage de chez nous.  Le Sénégal, passif et fataliste dans son âme, par essence d’une philosophie renversante, improductive, selon laquelle-«  njariñ~lo feeke»- n’est que  la culture de la trahison,  ou le manque de patriotisme-«  d’un masla »[ dialogue] insensé, qui est  par définition,  source d’abdication totale.

 Comment en est-on arrivé là ? Car historiquement, la  répression coloniale étant pédagogique, a crée des effets cataclysmiques et considérablement abîmé les consciences fragiles, et depuis, le psychique s’est effiloché  gravement  jusqu’à  atteindre des proportions inquiétantes, si bien que l’état  fantoche colonial en place, dont la culpabilité affligeante ne souffre d’aucune discussion,  s pour faire respecter l’ordre établi, sacralise et reproduit textuellement  les  mêmes ressorts   de la violence expansionniste, en la légitimant de facto, et pour cela, toute manif légale pacifique, est férocement réprimée et automatiquement, sous le fallacieux prétexte de déstabilisation, de  trouble à l’ordre public, ou d’atteinte à la sécurité de l’état et des institutions.

 Qui trouble vraiment  l’ordre  public, si ce  n’est l’état apr-  ethnique- franc-maçonnique Macky Sall, qui promet tout et fait le contraire de ce qu’il dit, dont les trahisons multiples  prennent le dessus sur tout ? Qui peut le nier, sauf les hypocrites et les naïfs ?

 Ce qui explique aujourd’hui en plein 21 ème siècle au Sénégal, la somnolence et  la résignation totale à grande échelle nationale de tout  un peuple soumis par le matériel répressif, qui  pèse sur sa tète comme une épée de Damoclès.

 C’est pourquoi, un tel peuple craintif, mal préparé politiquement et culturellement,  reste peu  réactif, face à l’impunité de  la soldatesque Waffen SS  de la république  mafieuse et des corrompus, bande ses muscles à la moindre incartade, toute velléité de résistance.

Est-ce à dire que nous aimons nos bourreaux,  ou les craignons ?  La question  reste posée sans tabou.

Le pays de la Téranga, malgré ses valeurs historiques d’antan,   est le dernier de la classe, par opposition autres pays dont les populations, qui sont  imbues de la fibre patriotique, continuent de  braver courageusement avec une pèche d’enfer  les interdits surréalistes, et au péril de leurs vies,  en manifestant pacifiquement, la tète haute contre   l’hystérie de leurs despotes  respectifs, pour les contraindre à  dégager, et les mettre hors d’état de nuire.  Ici,  chez nous, comme d’accoutumée, la  résignation cataclysmique, partagée, est plus que jamais de mise, nonobstant les incantations stériles, ici ou là. C’est ça la singularité étrange de notre pays à la renverse.

Pour un effondrement de  la république des  ploutocrates/ gérontocrates- malfaiteurs délinquants  et  son  éco système  de vase clos  mafieux, népotique clientéliste et place à une révolution !

Face  au gangstérisme d’une république  bananière des voleurs et  des lâches, qui ne nous promettent que du feu, du sang  et des rivières de larmes par sa répression  brutale, institutionnalisée, comme unique solution, pour garder  ses  privilèges indus, il n’y a que le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, qui puisse renverser  le rapport de force, et pour  venir à bout  une bande de malfaiteurs rancuniers, en tête desquels le lamentable kleptocrate impose sa marque de fabrique digitale  par sa police politique instrumentalisée,  interposée, qui est elle-même avariée jusqu’à la lie, n’a jamais eu la confiance du peuple.

 L’heure a  plus que jamais   sonné pour dégager et mettre fin à  l’impunité de  l’oligarchie d’un  régime abruti, corporatiste et de  son éco système ploutocrate pullulant, clanique, clientéliste en bande organisée de rats et de vers   de terre,  vivent dans une  opulence exhibitionniste cynique  attentatoire, porte atteinte à la survie des citoyens  menacés de faim.

 Lesquels qui manquent  de tout, avec en prime,  des soins de santé les plus élémentaires,  lassées et  laissés pour compte  sur le quai, croupissent dans la misère sociale chronique, tirent le diable par la queue et à l’indifférence quasi générale d’une minorité bien gloutonnée, qui demeure plus que jamais  le symbole d’un misérabilisme déconcertant.

Pendant que les hôpitaux  de l’indigénat constituent  une  décharge publique et le ciel ouvert  des mouroirs de la capitale sénégalaise, les voleurs qui n’en ont cure, se font soigner en Europe, en utilisant les deniers de l’état. Les charrettes de morts dans le  monde rural  ne se comptent plus. Faire sauter les verrous d’un régime calamiteux, ordurier, devient une nécessité   et un   impératif absolu. Le fatalisme ahurissant est synonyme de résignation à l’échelle nationale.

  Que s’effondre  tout de suite  la  république des fake news  et la  Com`  des charniers de mensonges !

 Avant qu’il ne soit trop tard, soyons tous vigilants et sur nos gardes. Pour cela,  réveillez-nous de notre torpeur  mortifère ! Que nous prépare encore le label menteur professionnel  profanateur, mécréant, franc-maçon sur le 3 ème mandat illégal !

Comme si rien n’était,  l’usurpateur incorrigible, après avoir plastronné publiquement que pour lui  le 3 ème mandat présidentiel c’est fini,    qui  a viré « son doungourou » Sory  kaba et un certain nombre de ses thuriféraires, nous donne  encore des signes avant- coureurs sur ses  intentions   malveillantes en 2024.  Comme tout traitre non repenti  ferré à la secte maçonnique,  il entretient le doute jusqu’à la dernière minute.

 Le menteur dévergondé rempilera, en annonçant sa possible candidature à grand tapage médiatique international, et ce  par effet de surprise et par  intelligente  directe avec  les lobbies pétroliers, lesquels dirigent  le monde,  sont  tous  encartés à l’engeance maléfique,   feront des pieds et des mains, pour valider l’ insolence  de leur poulain kleptocrate,  et ceci sous la bienveillance  du  communautarisme  leuco derme suprémaciste. Ces derniers ne cherchent nullement ni le droit humain, ni la démocratie,  ni la justice dans les pays du Sud soumis,  mais le renforcement de leurs propres intérêts économiques.

Wade-macky : le cas karim wade menace les retrouvailles : un tel article bidon au contenu loufoque, insensé, frise des  légèretés. L’auteur  dégingandé d’un tel article si ridicule, est  un mercenaire hypocrite, indigne et gonflé.

 Les retrouvailles sont nécessairement conditionnées par le retour de karim wade au Sénégal, qui a   été déporté arbitrairement par le tyran, alors qu’il  ne dispose  d’aucune prérogative juridique  à l’encontre de l’ancien super ministre.

 Ceux qui s’acharnent  et tirent à boulets rouge contre WADE père et fils, tempèrent leurs plumes, se dégonflent  modèrent,  adoucissent leur sémantique et leurs discours quand il s’agit de Aliou Sall,  par crainte du retour du bâton, c’est-à-dire l’épée de Damoclès pèse sur leurs tètes.  

 Il n’y a ni plus ni moins que d’un abus de pouvoir. Le Sénégal appartient-il  au lâche fourbe  en place, qui  s’autorise toutes les dérives infinies ?

 Peut-on interdire à  karim wade de revenir  au Sénégal et  sur la scène  politique et  renvoyer à la corde à  khalifa SALL  ET  vouloir rétablir des retrouvailles sincères et pérennes avec son père biologique, en épargnant Aliou Sall et Cie ?

  À quelle planète sommes-nous ? Détrompons-nous ! La franc-maçonnerie est  désormais aujourd’hui, plus présente qu’au Sénégal, qu’elle n’était hier, apparaît  plus  coriace  que  la  majorité  des sénégalais présumés  musulmans réunis, même si cela reste un tabou.

 Le Sénégal est-il donc ce géant  virtuel aux pieds d’argile qui  se laisse phagocyter par le cartel   de franc-maçon est nettement  plus structuré que l’ensemble des citoyens résignés sur leur sort ? La caste  invétérée de la secte franc-maçonnique, qui dénonçait haut et fort  orbi et urbi  la dévolution monarchique  virtuelle des « WADE », se  retrouve en bande familiale  organisée.

Restons  un peu sur le cas Moustapha Niasse, le patriarche, chef de service d’un capharnaüm et ses décorations coloniales superflues, dont le moins que l’on puisse dire, n’est pas l’odeur d’une sainteté ! De quoi s’agit-il ?

Décryptage d’un béni oui-oui de la république scandaleuse des Traitres mafieux  comploteurs.

Qui est donc ce personnage timbré, proclamé «  kilifeu de l’argent à gogo », ou l’expert exceptionnel, reconnu par  ses  insultes abrasives, nocives, suffocantes et au verbatim chevaleresque ? Il faudrait qu’il nous  montrât  et sa valeur ajoutée et son apport économique, financier, en terme  de progrès, de  démocratie  pérenne et de liberté d’expression  visible ?

  Le 23 juin 2011, le  paradoxe est  que les mêmes qui nous gouvernent d’une main de fer,  et qui interdisent toute manifestation légale, brandissent l’épouvantail de la violence, légitiment la violence de l’état, alors  qu’ils  s’arrogeaient pourtant   hier, les chevaux de Troie de la démocratie à la  Place de l’Obélisque,  avaient réussi avec une prouesse titanesque à braquer l’opinion publique et  créer les conditions du déclic  contre le ticket président-vice président 

Ceux qui se ressemblent, s’assemblent, n’est-ce pas ?

Alors,  dans le secret des dieux,  l’étrange pétrolier des chemins de traverse et ses accointances opaques avec  l’hydre mafieuse, appartient-il donc à la pègre pétro- franc-maçonnique dans laquelle le vassal en place, homme de l’année  est un adepte silencieux, collectionne à longueur de journées une quantité industrielle de prix loufoques à n’en plus finir,  mais agit activement dans le secret ? 

  Tous les pétroliers et les dictateurs sont des adeptes de la secte. Il n’y a pas un seul qui échappe à la règle édictée.  Ils se tiennent par leur solidarité de classe, contrôlent la presse. Et ceux qui contrôlent les médias et la  presse, contrôlent tous les pays.

Au  sein de Benno Bokyakaar timbré, le cartel enjolivé des traitres mafieux  et des comploteurs baveux de la débauche,  on  y trouve en première loge, le gérontocrate ploutocrate, Moustapha Niasse,  ex directeur de cabinet de Senghor, qui a bien  brouté et mangé dans tous les râteliers, s’est gloutonnement enrichi par le miracle des mêmes raccourcis politiques.  Un fonctionnaire  si riche n’est jamais synonyme de patriotisme

 En vérité, le richissime  politique très nanti, a presque eu  autant  de médailles coloniales  que son acolyte autocrate avec qui il partage les mêmes tares sur les affaires de la Cité, ne peut pas ni de près, ni de loin,  justifier son magot si colossal, gigantesque  étalé, qu’il a bien obtenu par les raccourcis des postes de nomination TAN SABULAX NEX.  Ce qui est sûr et certain, c’est  qu’il ne prendra pas  le risque de piper un seul mot sur la question.

A chaque magistrature aux histoires carambouilleuses, il change  telle une girouette, s’y loge, telle une teigne,  et s’y maintient dur comme fer et à dessein de sauver sa peau, pour échapper belle et couvrir ses propres arriérés qui sont aussi opaques que la nuit.

 De 70 à nos jours, il a toujours trouvé une planque à tous les gouvernements.  Le dinosaure médaillé  de tous les temps, n’échappe pas non plus  à la règle  de  l’actuel  gouvernement de  bazar, détient le record absolu des décorations superflues. La plupart d’entre eux été reçus au palais feutré de l’Elysée et eu un par un leur gratification, y compris et  les justiciers du désordre et ceux qui ont claqué la porte, pour rejoindre les rangs de l’opposition.   

 Depuis  2012 à nos jours, le dinosaurien, en tant que le secrétaire général  de l’AFP, privatise par devers et  tient    mordicus son parti politique d’une main de fer, le gère comme une entreprise unipersonnelle familiale,  dresse en- coupe réglée, « ses sourgueué-, sont convertis en camériers dociles, s’exécutent, la tète baissée. Ceux  qui ont osé le braver,  l’ont eu  à leurs dépens, en avaient pour leur grade, étaient copieusement arrosés  d’insultes.  C’est la politique « MUUT MBA MOOT  »,  bouche  ou motus cousue.  n’est pas le seul-  fait fi de  toute morale, cumule  honteusement et hystériquement  le perchoir et la qualité  de chef d’entreprise, oryx, est  classée  la 4O ème  compagnie pétrolière au monde, gagne plusieurs mrds de FCFA..

Macky Sall, himself, secrétaire général de l’apr,  cliniquement clanique à visage découvert,  proclamé président de la république, et  sous le sceau  de nazi déclaré ;  s’octroie librement le statut   de chef d’entreprise,  et  possède plusieurs sociétés d’écran, dont ALIOU Sall n’est qu’un prête-nom. 

 Que mijote-t-il dans le secret des dieux et de façon souterraine avec  Amadou BÄ,, son cousin alpulaar «  nédo ko bandoum », un  simple inspecteur des impôts, devient en un quart si  immensément si riche  par le miracle  de la baguette magique dans eaux trouble de l’état apr- franc-maçonnique, poinçonnée la machine toxique à corruptions massives  à haut débit   ?  L’unique solution alternative se mesure-elle à l’aune de la dévolution  ethnique ?

 Non seulement  toute la progéniture  de  tout  ce beau monde d’aventuriers  a trouvé une planque dans  toutes les structures de haut niveau, malgré  son apparence de respectabilité,  confisque par devers  tous les leviers judiciaires, politiques, législatifs,  financiers et économiques de l’état sénégalais. 

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