LE BAZAR-APR-RHDP : DEUX DECHARGES TOXIQUES À CIEL OUVERT AU CŒUR DE L’AFRIQUE DE L’OUEST. PAR AHMADOU DIOP CPC.
LE BAZAR-APR/RHDP /TIMBRÉ D’INCOMPETENCE ET DE CORRUPTIONS MASSIVES À HAUT DEBIT : OU PAR EXTENSION LE BANDITISME DE DEUX SUPERS MARCHÉS DE DUPES, TOXIQUES, MAFIEUX, FICHES AU GRAND BANDITISME FINANCIER INTERNATIONAL.
AU SEIN DESQUELS TRÖNENT DEUX MASCOTTES MARIONNETTES INDECROTTTABLES BENI OUI-OUI, S’ACCOMODENT ET S’ACCORDENT, S’UNISSENT À JAMAIS COMME DEUX JUMEAUX INSEPARABLES, RETARDENT, PLOMBENT ET FREINENT DURABLEMENT LES MECANISMES FONCTIONNELS DU DEVELOPPEMENT ET LES LIBERTES FONDAMENTALES DE CONSCIENCE EN AFRIQUE DE L’OUEST.
Reparlons donc de la saga, ou l’envol rapide de deux câbles renégats notoirement, opportunistes, inspirés par l’hydre mafieuse, se distinguent bien dans le club de la galaxie fermée de l’impérialisme, plus connu sous le non bien sonnant de la françafrique. Pour rappel, il convient de préciser que le vocable de la françafrique a été conçu, et élaboré par deux valets : Senghor et Houphouët Boigny pour lesquels nous avons le devoir moral de respecter leurs âmes. Pour autant, nous ne pouvons faire table rase de l’histoire. Nous y reviendrons en milieu de notre chronique. Tel un cordon ombilical, Alassane Ouattara et son acolyte, Macky Sall, les deux combinards se valent, se complètent et se complaisent dangereusement, mutuellement par leur platitude manifeste contre l’émergence de l’Afrique à l’échelle continentale. L’un ne va sans l’autre. C’est du pareil au même.
Commençons d’abord par le premier, c’est-à-dire de celui qui est sorti de l’école du FMI, ou le symbole du capitalisme, tendant à asservir davantage les pantin-satellites ; larbnisés, assujettis, prennent, la tète baissée, les causes et les faits de l’expansionnisme, prétendument suprémacistes leuco dermes. Vous le devinez sûrement, il s’agit bien d’Alassane Ouattara, d’origine Burkinabé, ex Haute Volta. À l’échelle continentale africaine, dite bassement francophone, la trahison des politicards désertiques en bande organisée, sert de promotion sociale cataclysmique indue. La prétendue qualité de chef d’état africain, esclave de droit divin, s’achète-t-elle donc exclusivement chez nos éternels oppresseurs nombrilistes, et ce à coups de Mrds FCFA à la pelle, avec en prime les transvasements automatiques des ressources naturelles de toutes sortes, ce don de dieu exceptionnel devient un purgatoire ? Contrairement à qui est dit ici o u là, nos richesses immenses, ne sont jamais devenues une malédiction. Les politiques, maléfiques et soumis par leur platitude criarde, l’incarnent plutôt à cause de leur culture de trahison, qu’ils ont dans leurs gènes ou leur ADN. Ceux qui font du bruit assourdissant par leurs médias interposés, du haut de leur nombrilisme, et qui mettent en bandoulière la justice, peu crédible, ne défendent, ni la démocratie, encore moins la liberté d’expression, mais leurs propres intérêts économiques, financiers, s’en foutent éperdument des droits humains, peu ou prou. Le natif de Dimbokro( Haute Volta), malgré ses nombreuses casseroles, empilées les unes après les autres-« AM GUINAW »- ne craint rien, et qui agit abondamment en toute impunité, en sait quelque chose, est arrivé au sommet de l’état ivoirien, rempile exagérément en toute logique, grâce au raccourci des coups de canon, bien tonnants, au point que les vies humaines ivoiriennes ne valent plus que celles des animaux. BLACK LIVES MATTER, victime de la politique ségrégationniste des Etats-Unis, a donné à la face du monde une véritable rhétorique pédagogique, voire morale. C’est pourquoi nous sommes bien obligés de dire à haute et intelligible voix que ceux qui ont une étrange approche étriquée, hégémonique, fondamentalement idéologique, comme arrière-plan, et sur fond de mépris et de domination, n’en démordent jamais, et veulent à tout prix que le panafricanisme soit nécessairement source de casus belli anti blanc.
Le 5 août 1960, la Haute Volta, accéda à la souveraineté internationale, bâillonnée de la dépendance dynamique, formelle, à l’instar des pays francophones. Alors, Maurice Yaméogofut le premier président de la république jusqu’en 1966.
Aboubacar Sangoulé Lamizana, a été formé à St Louis du Sénégal (baptisé plus tard le Prytanée militaire, portant le nom de l’officier gabonais, Charles Ntchororé, fut assassiné le 1 décembre 1944 à Thiaroye, pour avoir soutenu ses camarades de combattants, en transit, demandèrent l’égalité des mêmes salaires que leurs collègues métropolitains. Tous périrent à la suite d’un incendie.
Par le travail forcé, les voltaïques venus en masse en côte d’ivoire servaient de main d’œuvre gratuite pour les plantations du cacao, appartenant à Houphouët Boigny, esclavagiste de renom, cofondateur de la France-Afrique avec Senghor en 1955. Ce qui explique aujourd’hui la double nationalité burkinabé et ivoirienne des travailleurs ayant servi dans les plantations. Alassane Ouattra, né à Dimbokro( Haute Volta), dans les années post -60, débarqua au pays de l’Oncle Sam pour effectuer des études économiques, l’une des grosses de la Françafrique et du FMI, fit une pierre deux coups : y tissa en même temps de solides relations bien payantes au plus haut niveau des décideurs politiques américains, notamment dans les lobbies chocolatiers. Le burkinabé de naissance, eut deux enfants issus d’un premier mariage avec une américaine. Sous le fallacieux prétexte de la crise du cacao, en 1982, et sous la diligence du patriarche, Houphouet Boigny, il est nommé l’adjoint du gouverneur, Abdoulaye Fadiga, malade. Comme on dit, qui veut aller de l’avant, ménage sa monture. Trois ans plus tard, il fit la rencontre de Dominique Nouvian, qui gère notamment les propriétés immobilières du président Félix Houphouët–Boigny et de son homologue gabonais. Alassane épouse Dominique Nouvian le 24 août 1991.
Le 18 février 1992, lors des manifestations étudiantes, le Premier ministre ALassane Ouattara, accuse Laurent Gbagbo d’être l’auteur des troubles et l’arrête avec sa femme, Simone Gbagbo. N’eût été le gendarme patriote, le couple serait mort, depuis ce jour-là.
La constitution de 2016, interdit de facto un 3 EME MANDAT à OUATTARA, peut-elle se dédire au point de valider sa candidature à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 ? L’immoralité veut que les compteurs soient remis à Zéro et sous le faux fallacieux prétexte d’une instabilité ou de déstabilisation incertaine. Auquel cas la prétendue constitue n’existe pas, ou qu’elle appartient au boucanier. Alors, Ouattara, ou le va-t-en guerre, le démon capricieux, l’intriguant aventurier putschiste, déclaré, non éclairé, par ses rapines politiques et ses coups tordus, comme sa bouche, pris en flagrant délit une fois de plus, piétine, et outrage publiquement avec un culot démesuré les clous de la constitution, qu’il a lui-même élaborée bruyamment; et ce par la mécanique des légèretés sismiques, cousues de fil blanc, dont il a lui-même l’unique secret. C’est bien ça le visage hideux d’un menteur professionnel de son rang, non repenti, aux longues dents, impose sa loi arbitraire, tyrannique à son pays d’adoption, se plie sans broncher à sa règle totalitaire, a-t-il donc la mémoire courte, qui dénonçait orbi et urbi la candidature illégale de son bienfaiteur en 2010 ? L’objectif est d’absoudre ses crimes tous genres et ceux de son clan, en particulier, veut sauver à tout prix par la petite, le soldat fugitif, Blaise Compaoré, le premier suspect numéro un de l’assassinat de Thomas Sankara et le journaliste Norbert Zongo, dont son propre frère François Compaoré, est co-auteur direct. Les parrains de l’escroc autoproclamés la communauté internationale, qui étaient hier très bavards, avaient forcé Ahmed BAKAYOKO, président de la CNI et membre du RHDP, à déclarer avant l’heure, Ouattara, le vainqueur dans le QG de la république du GOLF.
Celui qui n’a jamais rien obtenu de lui-même n’est qu’une
marionnette et une décharge toxique en Afrique de l’ouest au sud du Sahara. Car tout ce qu’il a obtenu vient directement de ses amis. Même chose aussi pour son Co pédigrée, vassal, nègre de service, ou l’autre décharge toxique à ciel ouvert autocrate au Sénégal et en Afrique de l’ouest. Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es, n’est-ce pas ?
Derrière Alassane Ouattara, l’insaisissable girouette, putschiste, indécrottable marionnette, qui est nécessairement sous les plis de la Françafrique, et dans les valises colonialistes, ou l’inimitable mercenaire, opportuniste, arriviste du haut de son rang par ses coups permanents, Macky Sall HIMSELF en chair et en os, son jumeau et cousin de sang ethnique, dénommé l’Envoyé Spécial, Colonial, attitré en Afrique et Accrédité à Dakar, le Bougre de Naissance Incorrigible, dit l’Entonnoir colonial, ou le Caniche de l’occident, de la tète aux pieds, n’est jamais loi. Et pour cause. Tant sa ressemblance avec l’ivoirien de la dernière heure par ses manières anormales et sa gestion calamiteuse sur les affaires de la Cité, se passent de commentaires.
«3e mandat – Macky Sall : « c’est fini pour moi…». La même girouette, insaisissable, semble-t-il, fait volte- face, entretien le doute, le faux suspense, ni oui ni non, à l’instar de son compère, pègre, nègre de service, s’est dédit, se représentera mordicus pour un 3 e mandat de trop pour la présidentielle du 31 octobre 2020.
Alors, quelle image le minable escroc nous renvoie ? Et pourtant contre toute morale, le bouffon béni oui-oui, s’auto flagelle, et s’auto déclare hystériquement lui-même le cheval de Troie de la démocratie, trompe-l’œil, et la traque des biens mal acquis à double standard et à géométrie variable. EN VÉRITÉ, IL Y A LIEU DE PARLER D’UN BAZAR-APR-RHDP : DEUX DECHARGES TOXIQUES À CIEL OUVERT AU CŒUR DE L’AFRIQUE DE L’OUEST. NI PLUS NI MOINS.