LE PÈRIL ÉTAT-APR MAFIEUX- « CORONAVIRUS », L’ÉPICENTRE DE LA CORRUPTION À CIEL OUVERT; OU LA REPUBLIQUE DE LA PAGAILLE, DES CANAILLES ET LA CHORÉGRAPHIE SURRÉALISTE DE SES ÉTRANGES FLAGORNEURS, EXUBÉRANTS, SONT DEVENUS MIRACULEUSEMENT SI RICHES ET ENRTURBANNÉS À LA LIBANAISE ? PAR AHMADOU DIOP CPC.
S’agissant de la pandémie mortelle, qui continue de défrayer hystériquement la chronique, sans répit, est sortie de terre on ne sait où et comment, les projecteurs se focalisent sur les multiples clusters à la pelle, c’est-à-dire les foyers de l’épidémie, dont il faut freiner et rayer les effets multiplicatifs, si on veut éviter à tout prix une deuxième vague à l’échelle internationale. On sait que la pandémie atteint les couches sociales les plus vulnérables. Pour cela le port du masque est conseillé, notamment dans les milieux clos. Chez nous au Sénégal, les langues se délient, mais on l’oublie souvent. Un adage bien connu dans notre pays, le Sénégal, la Terre de la Téranga, ne se trompe jamais, martèle : LIGENGU LIKO JENGUEL MOKO EUP DOLEY. Une maxime à bien méditer et pour cause. Car le corollaire du Covid-19 en place, porte en lui-même les mêmes germes cataclysmique, par sa dangerosité corrodante, mérite le sobriquet timbré : « LE PÈRIL ÉTAT- APR»-CORONAVIRUS, L’ÉPICENTRE DE LA CORRUPTION À CIEL OUVERT : OU LA REPUBLIQUE DE LA PAGAILLE DES PRIVILEGES, DES CANAILLES, DES PASSE-DROITS, ET LA CHOREGRAPHIE SURREALISTE DE SES ÉTRANGES FLAGORNEURS EXUBÉRANTS, SONT DEVENUS MIRACULEUSEMENT SI RICHES ET ENRTURBANNÉS À LA LIBANAISE ?
Malgré le tapage médiatico-politique à grand renfort de publicité mensongère, la république de la bamboula, de la pagaille, des rapines, et des canailles unifiées, tel un cordon ombilical, fait partie des plus corrompues de la planète entière. Nous avons donc le devoir moral de le dire tout haut à la place publique sans langue de bois, ni fioritures. Car les postes de nomination TANSABULAX NEX sont source d’impunité et d’enrichissement illicite. C’est la même chose pour une certaine nomenklatura politico-religieuse, clientéliste, non assumée. C’est du pareil au même dans un pays à deux vitesses, où les uns n’ont que des passe droits et des privilèges indus, s’enrichissent allégrement, gloutonnement et en toute impunité, selon leur posture supposée, tandis que de l’autre coté, est classé de second rang, tire le diable par la queue, est laissé pour compte sur le quai.
Heureusement comme le disait à l’époque et à juste titre, Cheikh Anta Diop, qui sévissait contre l’école poly génétique des falsificateurs historiques, ici au Sénégal, l’action salutaire des uns et des autres libres, compense l’habitacle des corrompus.
Tout d’abord, avant d’aborder notre sujet d’aujourd’hui, j’ouvre une parenthèse et pour cause et pour des raisons évidentes !
Nos frères maliens, qui sont plus courageux que nous, bougent et font du bruit assourdissant, mettent en action leurs biceps, tentent de déloger l’un des soldats de la françafrique, IBK. A quelques jours des scrutins de pacotille, savamment élaborés, le kidnapping du leader de l’opposition par des djihasdistes et les dernières parodies législatives ont mis le feu aux poudres.
Quant à nous, nous sommes léthargiques jusqu’à la lie par notre somnolence atavique, abyssale, pour n’être que des abonnés absents, au point que nos éternelles incantations stériles, en pis, sont devenues synonymes d’abdication réactionnaire, voire de couardise, de résignation et de fatalisme.
En vérité, dans une certaine mesure, un confessionnalisme à la libanaise, s’est transposé peu à peu la sénégalaise clientéliste, présumée notable des leurres, corrompue, est constamment arrosée par les deniers de l’état, Laquelle clientèle est reçue au palais « Nédo ko bandoum » , que l’on appelle l’épicentre de la corruption massive à Haut Débit avec « un H et un D » en MAJUSCULE – HD- À HAUTE DEFINITION, et dans le secret le plus absolu, malgré sa respectabilité, a des entrées illimitées au palais des fétichistes : MADE LE PERIL ETAT-APR- CORONAVIRUS , la cohorte des flagorneurs enturbannés copieusement engraissée, en transe, y trouve nécessairement son gagne-pain, pendant que la majorité croupit, et vit dans une misère chronique et à l’indifférence quasi générale. Ce qui explique nos impérissables déconvenues, quand bien cela reste un tabou. En politique tout se tient en toute logique. L’étrange constitution, moribonde, étrangère même, est par définition, articulée à la démocratie de la charte de l’impérialisme, n’a jamais prévu ni de près, ni de loin, peu ou prou, des fonds politiques, ni des fonds spéciaux, ni une quelconque caisse de ce genre, que l’on appelle intempestivement et impunément une caisse noire, par ignorance. Le poste de premier ministron au Sénégal avait son budget, n’était qu’un jouet pour le monarque, s’est gloutonnement enrichi lamentablement dans des conditions scandaleuses, lui ont permis d’arrivé au pouvoir. Ce dernier l’a supprimé par son assemblage de godillot pour éviter demain une concurrence.
Tenez-vous bien ! Le budget extensible de la présidence de la république est si colossal : un secret bien gardé, dont personne ne connaît réellement le chiffre exact. Ce que l’on sait d’avance, c’est qu’il atteint au moins la somme astronomique de 120 MRDS FCFA chaque année. Silence et motus sur la loi de l’omerta. Ce budget s’est transformé « en caisse blanche » toxique, permet de corrompre légalement sa clientèle de canailles et une certaine classe politico- religieuse. Au Sénégal on ne dresse que les éloges du président-monarque. Celui de l’assemblée nationale tourne aux environs de 15 ou 17 MRS FCFA. La cour des comptes et les autres supposés organes de contrôle institutionnels n’ont qu’une existence virtuelle, se soumettent, la tète baissée. C’est une spécificité sénégalaise et africaine, abracadabrantesque surréaliste. En France, le budget de l’Elysée est sous le contrôle de la cour des comptes. Celui de l’assemblée nationale est rigoureusement gérée jusqu’au moindre centime d’euro.
Par ailleurs, depuis le code noir, légalisé par Colbert, l’esclavagiste, ministre du roi Louis XIV, le noir est devenu mauvais, par définition. Pour lui, les esclaves, qu’il appela des noirs, sont des meubles Je n’en veux pour preuves : le marché noir, travail noir, caisse noire, l’homme de couleur, que sais-je encore ? Sommes –nous vraiment du charbon ? Au départ la couleur marron- kamit- « xeum », a changé sa peau, pour devenir blanche, c’est-à-dire une couleur de circonstance, s’est acclimatée, selon la géographie tempérée extrêmement froide, qui a duré 100. 000 ans, au point qu’il a perdu sa mélanine, d’après l’’icône immortelle, CHEIKH ANTA DIOP, auteur, entre autres ouvrages, CIVILISATIONS OU BARBARIE ET NATIONS NEGRES ET CULTURE, pour ne citer que ceux-là. Si l’africain ne s’était pas déplacé en Europe, l’humanité serait homogène, écrivait-il.
L’homme blanc est-il donc vraiment blanc comme neige, comme du papier blanc ? Le kamit garde toujours sa mélanine, est la couleur de tous les jours, n’a jamais changé de couleur. Or, selon Cheikh Anta Diop, le savant kamit- panafricain, l’intellectuel de référence par excellence, le scientifique, égyptologue, historien le plus tenace de tous les temps, les anciens égyptiens ne se faisaient jamais appeler des noirs, mais des kamits- Xeum ou brulé.
Parlons de la France, qui est par définition, une référence pour le Sénégal ! En hexagone, les politiques de référence, se réclament Gaullistes patriotes, mettent en avant et en exergue la capacité de résistance de leurs parents, ou leurs arrière-Grands parents, de sorte qu’ils émergent, restent comme jamais dans la postérité, et défraient la chronique. Tandis que chez nous, hélas, on marche sur la tète. Car afficher son appartenance à Lat Dior Ngoné Latyr Diop par le sang direct, est source de ringardise et de péchés, sauf si on se déclare arrière-petits fils des fondateurs confrériques religieux. Les médiocres, qui sont toujours à l’honneur, ont eu tous la culture de la trahison dans le sang, comme adn, je veux dire de la trempe du valet autocrate, servent de référence cataclysmique et de rigueur au Sénégal. Voilà donc l’étrange face cachée de la Téranga, clivant, effarante, fataliste, résignée, par définition à ciel ouvert et à la renverse.
Lat Dior Ngoné Latyr Diop et l’épidémie de la haine viscérale des tribalistes.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, certains adeptes, tribalistes, mal informés, mal intentionnés, des négationnistes, nihilistes, de la haine viscérale de la tète aux pieds, veulent à tout prix inverser le cours de l’histoire, sévissent sur internet, et tentent d’entacher ou de salir la mémoire du dernier Damel, l’homme d’honneur, le résistant, hors-pair, a livré plus que d’autres, des combats acharnés sans merci, durant 24 ans.
Les ignares unifiés dans l’âme, qui sont apparentés des tribalistes de la débauche, investis dans l’art de la démesure et des boules puantes et des invectives insultantes, qui leur collent à la peau, jusqu’à l’abime, charcutent, dénigrent sans discernement, ni moralité aucune, ni remords, crachent inconsciemment, tranquillement et gratuitement, honteusement sans vergogne leur venin, s’acharnent indignement contre Lat Dior Ngoné Latyr Diop, l’homme d’honneur, le résistant aux âmes bien nées. Dans le cas d’espèce, seuls les esprits étroits, tordus, chevaleresques, incantatoires, les plus bavards, représentés par l’escarcelle d’une certaine caste d’intoxiqués, de malfrats, timbrés, surexcités, chauffés, grincheux, vindicatifs, en mal de publicité ou de notoriété, dignes d’eux, colportent de pareilles légèretés, se réclamant , entre les lignes, une parenté douteuse, lointaine, approximative avec Coumba ndoffène Famak Diouf, ont le déshonneur, le verbiage creux, balaient d’un revers de main, toute qualité de résistance à celui , qui est né en 1842, à Keur Amadou Yalla, qu’ils considèrent comme étant un fuyard, face aux troupes coloniales. On ne sait par quelle mouche les a piqués, pour qu’ils s’accommodent bassement à des inepties ou des litanies purulentes, du haut de leur rang.
À noter que, la famille immédiate, honorable de Coumba Ndoffène Famak Diouf, bien éclairée sur l’histoire, mouride majoritairement dans l’âme, se garde bien de sortir de telles fadaises si ridicules sont à l’encontre de la réalité tangible. Il ne suffit pas d’accoucher à longueur de journées des âneries absurdes dans la toile, pour qu’elles soient des vérités éternelles devant l’éternel.
A cet effet, il faut bien distinguer les vrais arrière-petits fils directs de l’ex royaume du Saloum et les rats-vautours, qui gravitent autour. Point n’est besoin de rappeler les batailles historiques de marbre à Mékhé ( le 3 juillet 1869) ; Fatick ( le 18 mai 1859) ; Koki ( 1861) ; Ngolgol près de Nguiguis ( le 29 décembre 1863) ; le RIP( le 30 novembre 1865). Lat Dior Ngoné Latyr Diop, le Général, tel un tigre, a combattu farouchement avec l’almamy, Maba Diakhou, laissa sa vie à la bataille de Somb, en juillet 1867. Paix à son âme ! Dans cette bataille acharnée sans merci, les français subirent de lourdes pertes, dont plusieurs gradés, et non des moindres, des médecins militaires, y compris même Pinet Laprade blessé à l’épaule et le capitaine Henri Philibert Canard, un administrateur colonial, a été poignardé, et ce malgré la supériorité numérique, disproportionnée et les moyens matériels, dont ils disposèrent.
On se connaît bien entre nous, et on sait qui était qui et qui a fait quoi hier. Aujourd’hui, contrairement aux idées reçues, toute raison gardée, les contenus dans les réseaux sociaux, en particulier, Wikipédia, demeurent plus que jamais des tribunes à ciel ouvert à tout vent des FAKE NEWS, ne sont pas de l’argent comptant, où n’importe quel farfelu, s’il le désire, peut raconter sans crainte des ragots à gogo, et s’exprimer librement, sans qu’on puisse les vérifier, tant soi peu.
Le comble du comble est que certains franchissent allégrement des paliers supplémentaires, se mettent en porte à faux avec l’histoire écrite, en la travestissant délibérément, que le Damel-Teigne Lat Dior Ngoné Latyr avait une dent contre le roi du Sine, Maad a Sinig Coumba Ndoffène Famak Diouf, lui a accordé l’asile. La réalité était toute autre.
NB : en toute connaissance de cause, Maad a Sinig Coumba Ndoffène Famak Diouf n’a eu que de brèves rencontres avec le Damel Du Cayor. On ne peut tromper ceux qui savent parfaitement l’histoire de fond en comble. Les représailles violentes coloniales de l’époque étaient-elles donc dissuasives, pédagogiques ?
Il faudrait que ces gens-là nous disent à quel moment avec une date précise, ce prétendu asile ait eu lieu ? Quant à nous, nous disons simplement que de telles balourdises ignominieuses, fumantes, n’engagent que leurs auteurs, car nous ne pouvons pas nous rabaisser et tomber si bas dans les chemins de traverse et dans un débat stérile, hystérique, creux. Ce n’est pas notre vocation, loin de là.
Bour Sine Coumba Ndoffène Famak Diouf, fut un grand homme, est mort le 23 août 1871.
Comment Lat Dior NGoné Latyr Diop en tant refugié Du BUUR, si cela est vrai, a pu combattre avec Maba Diakhou contre les français ?
Amadou Bal BÄ, du haut de son ignorance dégoulinante sur l’histoire réelle des résistants et par son parti pris, sur des bases abjectement ethniques, haineuses, étranges et à la renverse, ne reposent que sur une ligne de crête, voire un effet d’optique, décrète lui seul et à la place de Lat Dior Ngoné Latyr Diop, écrit, sacralise « Maba Diakhou BA, qu’il déclare héros national du Sénégal ». Qui peut vraiment accorder un crédit à un aventurier, un charlatan, si grossier, ce n’est sa propre personne imbue qu’il se fait de lui-même, pour exister virtuellement ? Décidément, dans notre pays, le Sénégal, qui perd peu à peu ses repères et ses pédales, la haine et la rancune sont le socle et l’apanage des faibles, voient le soleil avec un tamis, ne l’admettent pas, comme disent les algériens. TAL BUYALLA TAL SANI CAK MATTA GUEN FEYKO- en terme clair, mieux vaut ajouter un morceau à la braise, plutôt que de vouloir l’éteindre, n’est-ce pas ? Lat Dior Ngoné Latyr Diop, le Héro National du Sénégal, car pour certains aigris, la pilule d’avance présumée amère, reste comme du plomb dans leurs gorges. Et tant pis pour eux. La caravane passe et les chiens aboient. Une question sans tabou, s’impose. Et pour cause. Qui alimente le faux débat clinquant des ritournelles, tire les ficelles par derrière, clive les uns aux autres, sème la zizanie et la pagaille, construit des mausolées, taillés sur mesure, à géométrie variable, à des fins bassement politiques, utilise par devers les deniers de l’état, si ce n’est l’autocrate bruyant des horloges de la déconfiture, restitue à la famille d’el hadji Omar Tall, peu convaincue, le soi-disant sabre du Grand Guide, a disparu dans les falaises de Bandiagara, le 12 février 1864 ?
Le plus audacieux soldat, emblématique de toute l’histoire du Sénégal, est mort les armes à la main, le 27 octobre 1886 à Dékheulé avec deux de ses enfants majeurs : Sakhéwar Niabassee et Thienddella Niabass. Comme on dit, tout n’est pas permis ! Halte et stop, ça suffit et la coupe est pleine ! Ne mélangeons pas tout ! Mais quand même ! Soyons justes, rationnels, conséquents et rigoureux ! Lat Dior Ngoné Latyr Diop, fut incontestablement l’ennemi public numéro un le plus redoutable, le plus redouté des leuco dermes. Certes, nous sommes donc très courtois et modérés, mais pour autant, nous sommes bien obligés de remettre les pendules à l’heure, en nous fondant exclusivement par rapport aux faits têtus. Toutefois, nous avons du respect à l’égard de Coumba ndoffène Famak Diouf, pour sa mémoire. Le Héros National, naturel du Sénégal, Lat Dior Ngoné Latyr Diop, fut inévitablement le plus considérable, le plus coriace de tous les temps, parmi ceux qui prirent les armes contre le colonialisme français, durant toute sa vie, prouva et laissa sa marque digitale par son courage, et à l’épreuve des faits indiscutables par sa résistance, inégalée, inégalable, maîtrisa le terrain, s’imposa héroïquement, dicta sa loi, ses valeurs guerrières contre la volonté coloniale, qui a elle- même reconnu de marbre et par écrit tant que Lat Dior ngoné Latyr est en vie, ne sera pas en sécurité au Cayor. Alors, aujourd’hui, le Sénégal des temps modernes, les falsificateurs historiques, défroqués et illuminés, tentent orbi et urbi de souiller la mémoire de Lat Dior Ngoné Latyr Diop, face à Coumba Ndoffène Famak Diouf à qui ils attribuent des qualités faussement supérieures. Sous l’ère du Fétichiste, putschiste, clivant, qui est arrivé au pouvoir par accident, à cause de notre étourderie généralisée à l’échelle nationale, on a tout vu et vécu n’importe quoi, parce qu’il promeut la culture de la trahison , la division , à travers sa presse corrompue, charrie des charniers de mensonges de plus en pimentés. Est-ce donc un hasard ou un accident ? Certains prétendus historiens, opportunistes, arrivistes de la débauche, s’érigent lamentablement en Docteurs, spécialistes ÈS Négationnistes, de la désinformation et la manipulation tout azimut, qui sont très proches de Marième Faye et Macky Sall HIMSELF, attribuent à ces derniers du sang Royal, certains falsificateurs , qui ont déjà franchi le rubicond, depuis belle luette, inventent de toute pièce, une lignée TOROBE imaginaire au valet de l’occident, allant jusqu’à le considérer comme un arrière-petit fils direct d’el hadji Omar Tall. Ce qui est quand même fort de café. Ce qui se passe au Sénégal est tout simplement surréaliste. D’une part, désormais, il convient donc de rétablir la vérité historique, et d’autre part, de Grace, nous devons rendre à Lat Dior Ngoné Latyr Diop, notre Héros National, ce qu’il lui appartient.
Décidément, le Sénégal des Temps modernes, est si méconnaissable, contraste avec son passé historique, glorieux, d’autant plus que la qualité de notable se mesure aux éloges de la tartufferie.
20 Septembre 2013- La République des lascars multimilliardaires, des nullards et des médiocres. Par Ahmadou Diop. Le combat continue !
En toute humilité, j’ai écrit beaucoup de contributions à la pelle. Toutes sont d’actualité pressante. Je n’invente rien, car les faits parlent d’eux-mêmes. Et d’ailleurs, je salue au passage le juriste, Seybani Sougou, la célébrissime indomptable plume alerte, dite la grosse pointure à l’endroit ne mâche pas ses mots, pèse bien ses mots, écrit de marbre sans langue de bois, ni fioriture à la place publique SENEGAL : « LA République est à terre », n’est pas à son coup d’essai. C’est un véritable redresseur des consciences et un soldat intrépide contre la mal gouvernance et ses méthodes indignement fascistes jusqu’à l’os.
Au lendemain du coup d’état contre Mamadou Dia, pour protéger les intérêts français, Senghor, le putschiste historique, ou l’homme des français, s’est auto proclamé le poste de la république, a éjecté le colonel Amadou Fall , chef d’état major des forces armées, et l’a remplacé par Jean Alfred Diallo. Depuis ce jour là jusqu’ici, malgré son apparence d’armée dite républicaine, soi-disant équidistante au nom d’une neutralité discutable et sous le faux prétexte d’éviter une prétendue instabilité politique, ne repose que sur une ligne de crête. La réalité est que l’anarchie de l’oligarchie militaire, compte plus de 30 hauts gradés supérieurs que nécessaires, dans une certaine, apparaît ne jouer que son rôle de supplétif, pour exister, s’est toujours rangée du côté de l’exécutif, s’engraisse, et prend de plus en plus de galons et de façon, dont le moins que l’on puisse dire, est abusive.