Le Sénégal, une Dynastie, une Famille, un État dans un État et ses Secrets. Par AHMADOU DIOP CPC.
Comme le disait à juste titre, François- Xavier Verschave, dans son ouvrage NOIR SILENCE « Qui arrêtera la Françafrique », en Afrique, le pouvoir est une Affaire de famille et de clan. Une vérité têtue que l’on ne saurait démentir dans le temps et dans l’espace. Les pillages organisés des ressources du Sénégal par la marionnette en place priment sur tout. Car la culture de la trahison, qu’est ce legs colonial, prévaut plus que jamais, et devient nécessairement source de référence et de promotion sociale. C’est bien le cas du tonnant nègre de service.
À l’instar du modélisme des monarchies moyen-orientales, autoritaires, héréditaires des Wahhabites, les compagnies américaines contrôlent exclusivement les installations pétrolières en Arabie saoudite, en échange, selon les clauses secrètes signées, du « pacte de Quincy », entre Abdel Aziz ibn Abdel Rahmane al-Saoud et le président américain, Franklin D. Roosevelt, le 14 février 1945, les Etats-Unis ne se mêleront jamais dans les affaires saoudo-saoudiennes.
Le bipolarisme mondial oblige. C’est la même chose pour le faquin inimitable Facho de la sphère « nédo ko bandoum » pion mercenaire, « Pétain noir », le sous-marin américano-français en place, proclamé, pour garantir son impunité abrasive, copie servilement et textuellement, et confie la sécurité des puits de pétrole aux entreprises françaises.
Aussi étrange que cela puisse paraître, la constitution moribonde, qui est articulée à la francophonie, accorde la primauté à la langue française, devient universaliste et un outil linguistique de domination, politique, économique d’asservissement et de service public. Le clou est que, pour candidater au poste de soi-disant président de la république, il faut savoir lire et écrire correctement la langue de Molière. Voilà un comble de l’indignité.
Alors que le wolof est la langue la plus parlée, n’a rien à envier aux autres langues européennes et dans le monde, pourrait servir de langue officielle, n’est jamais antinomique à la science. Les chinois qui jouent dans la cour des Grands avec un « Grand G ». Pourrait-elle se hisser à l’instar des puissances occidentales, si elle avait adapté d’autres idiomes et d’autres cultures ?
Je le répète et le martèle à chaque instant : aucun pays ne peut se développer en dehors de son environnement linguistique, culturel et spécifique. L’Afrique est-elle une terre de malédiction, au point qu’elle semble ignorer, toutes les conséquences de son histoire, alors qu’elle a souffert plus que d’autres dans son passé douloureux si douloureux.
Le président du Niger, ne compte pas briguer un 3 EME MANDAT, se met en porte faux avec l’escarcelle des despotes africains francophones, va changer l’hymne national de son pays, ne briguera pas un 3 EME MANDAT. BUHARI : «Je ne vais pas commettre l’erreur de tenter un troisième mandat ». Le tonnant autocrate en place en jointure avec son acolyte ivoirien de la dernière minute, qui sont tous les deux dans les plis de la Françafrique, rechignent, traînent leurs pieds et entretiennent le doute, en faisant par-dessus tout, des surenchères cataclysmiques dignes d’un casus belli, gouvernent contre la volonté de leurs pays.
Je me passerai pas de la dynastie plastique corrompue des Eyadéma, des BONGO, SASSOU, Pierre NKURUNZIZA ET CIE, ou la cohorte unifiée des inamovibles, ne s’inquiète pas outre mesure, et dont l’impunité en pis, est garantie publiquement par ceux- là mêmes qui se donnent la qualité des parangons de la démocratie et de la liberté d’expression à travers la planète entière!
Or, non seulement au Sénégal bouche et motus cousue sur l’hymne national décrié. Lequel, a un caractère fondamentalement franc-maçonnique et défrayé la chronique, ces derniers mois. L’hymne national a été composé par la première femme de SENGHOR, Ginette éboué, une franc-maçonne, fille du gouverneur Félix éboué, qui fut lui-même un adepte de la secte.
Récemment, l’enseignant-chercheur, Cheikh Oumar Diagne, est bien renseigné et documenté, révèle un scandale parmi tant d’autres. Le chercheur enfonce le clou, brocarde sans langue de bois, désigne des politicards et certains marabouts, sans les nommer d’obédience franc-maçonnique, et s’étonne à juste titre de la couleur du lion rouge , le sceau du drapeau du Sénégal. Où a-t-on vu un lion rouge, s’interrogeait-t-il ?
Pis encore, les hôpitaux deviennent des mouroirs à ciel ouvert, manquent de tout et des soins de santé les plus élémentaires. Pour ne rien arranger, les plans structurels de la banque mondiale et du FMI aggravent de plus en plus et pourrissent la vie de nos concitoyens et nos concitoyennes, payent le matériel de répression.
Le désolant kleptocrate, virtuose de classe exceptionnelle, adoube par devers et contre le peuple sénégalais, la structure bidon de Marième Faye, qui est sortie de terre on ne sait où et comment, baptisée immoralement, emphatiquement et indignement la nébuleuse « Association Servir le Sénégal », la plus vaste escroquerie gigantesque, jamais égalée, un scandale d’état familial, ou sous le label d’un bazar, ou le casse du siècle de toute l’histoire, pour se servir elle-même gloutonnement et scandaleusement dans la gestion calamiteuse des affaires de la Cité jusqu’à la lie.
Un tel embrouillamini mystificateur digne d’une bande familiale organisée de malfaiteurs, agit de façon concomitante avec Aliou Sall, le frangin de la surcharge pondérale- Deum-, l’étrange multimilliardaire, prête-nom, mongolien crocodile, qui dispose de multiples casquettes légères, digère tranquillement sa proie dans les eaux troublantes de l’apr, et ce, face au nom et à la barbe du juge et son assistant, tous les deux se convertissent lamentablement en auxiliaires de service et de ramassis, pour n’être que les jouets d’un chef de clan.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, aucun jour ne passe sans qu’il y ait des compilations de ratonnades d’une certaine servilité, qui tire à boulets rouges sur les présumées querelles d’arrière boutique internes du PDS, comme pour excuser davantage et à demi-mots, le régime négationniste, prédateur- capitulard et pantouflard de la démesure, le plus corrompu et son éco système de vase clos « nédo ko bandoum », crève les yeux, donne la chair de poule, est sorti de nulle part, hier.
Ce que l’on reprochait à tort ou à raison, à KARIM WADE, l’ex super ministre d’état du CIEL et de la TERRE ENTIÈRE, le CHANTRE DU NEPOTISME ET DE LA PAGAILLE, utilise exponentiellement, abusivement les mêmes schémas décriés de façon disproportionnée, est sans commune mesure avec le défunt régime, nomme sans vergogne, toute sa famille immédiate, son clan , ses proches, dont des cousins, cousines, sœurs, amis, frères, beau-père, entre autres, des tailleurs, proches, ou parents d’alliance, des obligés, sont à l’abri de tout besoin, ont tous trouvé une planque taillée sur mesure dans toutes les structures de haut niveau cœur de l’état sénégalais, y compris même des griots de la dernière heure, qui vont plus que les aiguilles d’une montre, deviennent des députés multimilliardaires. L’opulence exhibitionniste, cynique contraste avec la précarité de la majorité des sénégalais lassés et laissés pour compte sur le quai, vivent en permanence dans la diète, tirent le diable par la queue, et ce à l’indifférence quasi générale du pouvoir de la désinvolture, n’en a cure.
L’affluence nauséabondes, corrompue jusqu’à la moelle, qui n’agit qu’au doigt et à l’œil du tyran vassal béni oui-oui de l’occident veuille bien entendre, occulte sciemment les dettes industrielles contractées au club de Paris et de la banque mondiale et du FMI. Et auxquelles s’ajoutent et les nombreuses agences très onéreuses, clientélistes à la pelle et les réalisations incongrues, coloniales inutiles, à coup de MRDS de FCFA.
À combien s’élèvent les dettes de 2012 à nos jours ? par ses vacataires retraités clientélistes interposés, reprennent du service, lesquels sont constamment en intelligence avec le ministron des finances, l’aventurier aligne des chiffres bidon, croit pouvoir embellir et laver à grande eau son bilan si chaotique, comme si le Sénégal se porte plutôt bien aujourd’hui, qu’il ne l’était hier. Alors que la marchandise avariée n’est qu’un trompe-l’œil.
Tous ces éléments réunis, enchevêtrés les uns après les autres, expliquent les augmentations effrénées des prix des denrées de première nécessité et du courant électrique, si bien que les paniers des ménages en reçoivent un sacré coup.
Où-a-t-on vu dans le monde des sommets développer des pays ? C’est un non sens.
IL n’y a jamais eu en Afrique et à l’échelle continentale, de véritables plans de développement pérennes, ni d’installations d’usines, destinées à transformer les matières premières en produits finis. Il n’y a que des discours mielleux, lénifiants, creux et verbeux aux lèvres, frisent la démence et le bluffe.
Seuls l’Angola et la Guinée Équatoriale sortent la tête de l’eau, disposent de leur pétrole, fixent leurs populations, n’ont pas besoin d’immigrer en Europe. L’Ethiopie prend son destin en main, avance à pas de géant, développe un partenariat avec la chine sur des bases voulues. La république centrafricaine se démarque peu à peu du pré-carré colonial, fait de même avec la Russie de Poutine, n’a jamais eu de colonie, respecte ses alliés. Quant au Rwanda, après une guerre ethnique meurtrière, se réveille, et se reconstruit, monte sur place son usine de Smartphones. En revanche, chez nous, la platitude et la régression sont de mise.
Et pour ne rien arranger, la publicité mensongère à grand tapage médiatico-politique, que l’on appelle les prétendus accords de partenariat économique (APE), sont des exemples frappants, constituent en vérité, des déséquilibres patents entre les pays signataires du sud et le nord. Il s’agit de rapport en faveur des pays dominateurs – gagnants et perdants contre les dominés, c’est-à-dire oppresseurs et oppressés, puisque ces derniers, non seulement, perdent annuellement plus de 200 MRDS de FCFA, importent plus qu’ils n’exportent en réalité, car les effets induits, pervers de la monnaie coloniale, qui a été instauré depuis le 25 décembre 1945 , freinent et plombent durablement les mécanismes fonctionnels du développement économique et l’avenir des 14 pays francophones
Le Liban est considéré de régime confessionnel. On l’oublie souvent. Ici au Sénégal et en Afrique des élites fantoches, le régime prédateur présidentialiste, tel qu’il est conçu, a aussi un caractère religieux et monarchique. C’est donc du pareil au même, c’est blanc bonnet et bonnet blanc. Toute capacité de résistance, est synonyme de déstabilisation, porte atteinte à la sécurité de l’état.
C’est bien la conception et la marque de fabrique de la république bananière de la bamboula des pâteux en bande organisée.
Sous le règne le plus scandaleux de l’aventurier négationniste intégralement intégriste ethnique, le Sénégal, bat le triste record des inégalités sociales au monde.
Car les écarts grossiers, mirobolants entre les salaires, frisant la démence et l’esprit rationnel, contrastent parfaitement avec les compétences et les expériences bidonnées, deviennent de facto une norme sacralisée, établies.
Le seul critère qui vaille, c’est d’avoir une proximité, ou une consanguinité avec « le couple affectionné » des leurres.
Toute la famille immédiate du larron nombriliste, détiennent tous les leviers clés de l’administration et du pouvoir politique, roulent sur de grosses cylindrées aux vitres noire fumée, vivent ostensiblement dans une opulence attentatoire, cynique et exhibitionniste.
Les mêmes bénéficient automatiquement plus de largesses et de promotion sociale rapide que n’importe quels sénégalais et sénégalaises à diplômés supérieurs, avérés, ou soutenus matériellement avec des preuves à l’appui. Le seul argumentaire léger, qu’ils avancent, ne tiennent que sur une crête : « nous sommes des sénégalais à part entière ».
C’est la règle stricto du chantre du népotisme « Gueneu laaté-Maatey muut mbaa mot ». La méritocratie n’existe pas, n’est qu’une chimère. Alors que la majorité des couches populaires les plus vulnérables, vivent au dessous du seuil de la pauvreté chronique, disposent de moins d’un dollar par jour.
Le comble du vandalisme est que la quantité industrielle avoisine plus qu’un village entier porte massivement et exclusivement les mêmes patronymes visibles bien sonnants « nédo ko bandoum ». pour échapper à la vindicte de la communauté dite internationale de 3 pays les plus bavards, le traitre versatile, opportuniste, ferme les yeux, leur balise le terrain du crime, pour qu’elle se serve abondamment en nature et en finances, le tout sur un plateau d’or, notamment le transvasement des ressources vitales du Sénégal.
Sous Macky Sall, le matelas financier, prédateur-tali nãreet-, et dans son rôle de farandole et de chef des esclaves de droit divin des leuco dermes suprémacistes, masque ses infinis forfaits. Le désertique, dit l’envoyé Spécial colonial attitré en Afrique, accrédité à Dakar, digne de son rang, par désinvolture et son manque de patriotisme, a eu le culot d’occulter le 3 eme mandat, pour lequel il disait que c’était fini pour lui. Contre toute attente, la singulière girouette, sans vergogne, change constamment son fusil d’épaule. À quelle fin et pourquoi ?
Le machiavel des légèretés abyssales à couper le souffle, veut-il encore revenir sur la scène politique et candidater à sa propre succession illégale et illégitime à l’horizon 2024 ? Pourrions-nous plier aux règles tyranniques d’un hâbleur éhonté, dont la parole ne vaut pas un sou ? Et auquel cas nous sommes loin d’incarner ce que nous prétendons être, pour dire la vérité, rien que la vérité.
Le Sénégal demeure dans l’expectative et la pénombre, tombe plus bas que jamais, s’inscrit dangereusement dans la dépendance dynamique expansionniste, redevient absolument, sûrement et peu à peu une colonie française au sens propre du terme, se frotte les mains, sacralise sa mainmise, et arrache par devers toutes les parts de marché sans appel d’offres.
La France renforce massivement sa présence et ses bases et ses troupes militaires qu’elles ne l’étaient dans le passé et sous l’ère Senghor et ABDOU DIOUF réunis : « le retrait des troupes et bases militaires relevait d’un nationalisme mal placé, dixit le renégat- traitre. Le F CFA est une bonne monnaie à garder, y ajouta-t-il, et ce n’est pas tout. Macky sall : « qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème ». Curieusement, il n’en fait pas autant pour les musulmans, qui sont épris de paix et de pédagogie.
Car les actes contre nature se multiplient tout azimut et à la place publique. Pour la première fois, un homosexuel présumé, eut le culot de porter plainte pour intégrité.
La preuve, est qu’ali ngouille ndiaye, l’une de la pègre, qui agit sous la bénédiction et la bienveillance du fourbe, légalise les associations de l’homosexualité, distribue à tout vent des récépissés. Pendant ce temps, tout imam, qui prêche la droiture, la piété, et la parole du saint coran, sera automatiquement considéré comme un terroriste potentiellement dangereux.