LE SURREALISME ÉVENEMENTIEL. PAR AHMADOU DIOP CPC.
À QUI PROFITE DONC LE CRIME SUR LE TERRAIN DU CRIME AU SENEGAL ?
L’histoire a démontré une fois de plus que lorsqu’il qu’il y a une crise ou des pandémies, des guerres, les autoritaires, bluffeurs les plus ignobles, s’y logent, et bandent leurs muscles plastiques apocalyptiques, en mettent des couches de plus en plus épaisses, profitent de la situation exceptionnelle, aggravent la psychose , et s’en accaparent avec un taux d’adrénaline démesuré, s’érigeant eux-mêmes les messies des leurres. Et la référence mondialiste de l’arbitraire –relais passe en boucle de celui qui est faussement peint comme faisant partie des dirigeants les plus influents de la planète entière.
Un paternalisme dit en long sur des intérêts expansionnistes. Quand il dérape, elle est invisible dans ses radars et joue aux abonnés absents. Le Mal du Siècle au Sénégal, encombrant en place, autoproclamé, s’auto glorifie, en s’auto flagellant hystériquement le Général et chef de Guerre- Mystificateur et ses ratonnades mensongères récurrentes confirme la règle et à l’épreuve des faits, fait croire à ceux qui veulent l’entendre de cette oreille, qu’il est le seul à pouvoir apporter la solution miraculeuse, face au drame en cours. En revanche, quand il s’agit de défendre la démocratie, il reste droit dans ses bottes, reporte et les locales sine die, tout en donnant des ordres à son assemblage béni oui-oui, vote des lois libertcides. Nous avons eu les preuves sur le code des communications.
Face à l’événementialisme surréaliste mondial, venu d’ailleurs on ne sait où comment, le Casseur du Siècle au Sénégal s’en saisit comme un ballon sur la question, pour mieux rebondir par la petite porte, et ce par sa mécanique relais interposée, dressée en coupe réglée, et en fait son prétendu son cheval de bataille cousu de fil blanc, à dessein de croire redorer par la baguette magique son blason plus que jamais terni. L’objectif est de nature à attirer l’opinion publique candide sur lui. Voilà le label des turpitudes et la praxis d’un médiocre-référent contrefacteur, par son cynisme exhibitionniste, s’acclimate, s’accommode à chaque tragédie, et qui en abuse dangereusement sur le mélodrame pandémique, qui défraie la chronique et sans discontinuer!
Sur la contagion, Macky, le naufragé joue les bouchées doubles, en faisant une pierre deux coups pour faire passer la pilule amère. Pour ce faire, comme traitre de son rang, il promeut la culture de la trahison, y trouve obligatoirement une bouée de sauvetage, évacue le débat, fixe le tempo et les mécanismes confiscatoires de la démocratie et aux libertés fondamentales, l’esquisse, en occultant d’un revers de main, comme pour blanchir et laver à grande eau à grand renfort de publicité mensongères ses crimes incommensurables, dont il est coupable devant l’éternel imprescriptibles. Ainsi donc, au-delà du coronavirus par son caractère dangereux, le vassal de l’occident en profite, s’en saisit telle une teigne, légalise le diktat de la charte de l’impérialisme, édicté par la banque mondiale et du FMI auxquels laquelle il s’accroche sur le symbole des plans structurels des deux institutions financières internationales. C’est ça la face cachée de la fête nationale du 4 avril n’aura pas lieu cette année à cause du CORONAVIRUS !
L’augmentation effrénée du prix du courant électrique par la charte impérialiste oblige. LE FRANC- MAÇON EN CHAIR ET EN OS PAR SON VERBATIM VEUT-IL ENCORE TROMPER UNE FOIS DE PLUS LE BON DIEU, EN LAVANT À GRANDE EAU ET À BRAS RACCOURCI SES MULTIPLES CRIMES IMPRESCRIPTIBLES, ET CE PAR LA MECANIQUE DES ANGES GARDIENS DE LA CHARTE DE L’IMPERIALISME ?
Le miracle apocalyptique interplanétaire sauvera-t-il encore sauver son corollaire, le corrompu en place ?
Sous aucun prétexte, je ne peux ni féliciter le kleptocrate, voleur et casseur du siècle au Sénégal encore moins de lui accorder un blanc seing ou des circonstances atténuantes peu ou prou -Pendant qu’il nous confine, l’Excellence des légèretés, préside ses Conseils ministériels bidon au Palais de la République des prédateurs, amuse la galerie pour faire beau et à la fin seule de se tirer d’affaire sur la transmission mortelle.
Main basse BASSE SUR LE PETROLE impliquant directement Aliou SALL avec prise illégale d’intérêts passe sous silence, et ce malgré de nombreuses plaintes dans le bureau du procureur.
En même temps Coronavirus: Macky Sall interdit à ses ministres de quitter le territoire sénégalais –les kidnappe aucun ne porte un masque.
Interdiction de la vente de la baguette de pain et confinement des sénégalais- l’assemblage réquisitionné sous n’importe prétexte bidon farfelu tourne à plein régime SE réunit- obéit au doigt et à l’œil du label satanique fait son numéro au palais « nedoko bandoum » . Et le fallacieux conseil ministériel bidon-Covid-19 : Macky reçoit l’opposition.
À quoi joue donc le comédien ?
62 cas supposés ou peut être servent de prétexte pour interdire tout. Celui qui interdisait déjà tout avant la venue du coronavirus, n’est pas à son coup d’essai, brûle tout et rase tout marché par ses bulldozers. En 2013, Il a profité des inondations récurrentes pour raser la cité TOBAGO. Abou Abel Thiam, le proxénète dit le technocrate, Yakham Mbaye, l’infatigable mercenaire, transhumant, y compris certains magistrats, ont tous bénéficié des terrains gratuits, auquel s’ajoute le marché SANDAGA a été étrangement brûlé. Et pour qui et à quelle fin ? Il faut dire les choses telles qu’elles sont et non point que les attardés en bande organisée le veuillent entendre.
Par rapport à la gravité exceptionnelle de la transmission dangereuse, la France , quant à elle dispose d’hôpitaux modernes, est un état parfaitement organisé, consciente des risques encourus, a pris le taureau par les cornes, décrète l’état d’urgence et prend des mesures conservatoires de confinement de grande envergure, en même temps et par ricochet, elle déploie matériellement des moyens matériels et financiers colossaux , en y mettant le prix fort pour endiguer le mal. Pour cela, le conseil d’état et les professionnels scientifiques ont un rôle déontologique et pédagogique de premier plan en la matière Ses élites politiques ont plus d’éthique et d’équité que les pantins africains. Comparaison n’est pas entre le Sénégal et la France. « Le petit césar « qui est constamment en entente directe avec son acolyte ivoirien de la dernière heure, n’est jamais loin, s’agrippe à son tour sur l’état d’urgence. Il faut souligner que les pays sont atteints par le coronavirus ont un climat tempéré. Le pays de Marianne a des corps de contrôle institutionnels qui sont libres et indépendants du pouvoir de l’exécutif.
Au pays de la Téranga et à l’échelle continentale africaine, ils n’ont qu’une existence virtuelle, et demeurent tous à jamais et les outils et les jouets sous contrôle et au service des laquais de la françafrique, sans que ces derniers soient sous contrôle.
En vérité, l’état d’urgence irresponsable n’obéit qu’à des l’aventurier mène la danse, décide tout, et fait réécrire sa constitution moribonde à son image. Et pour sa propre cause. L’assemblée de godillot s’exécute promptement et machinalement, vote les yeux fermés. Les contradictions et les incohérences du caniche de l’occident démontrent à la place publique qu’il n’a jamais eu de méthodes de travail.
Car le donneur de leçons -voleur dans l’âme, qui est à l’abri de tout besoin réel, protège sa famille, son clan, ses proches, ses amis et ses obligés, n’en fera jamais autant pour la majorité des sénégalais, confinés chez eux, qui n’ont rien à manger, malgré sa rhétorique des charniers de mensonges cataclysmiques en abondance. Quand on a faim, et qu’on ne mange pas, on ne pense, et on meurt. Le coronavirus : ou le surréalisme évènementiel, est-il donc devenu un fourre-tout ? Le label mythomane cherche-t-il à nous affamer, pour que nous soyons asphyxiés par la pénurie alimentaire ? les restrictions de plus en plus draconiennes prennent dessus sur tout, sans qu’il y ait nécessairement des mesures d’accompagnement à l’appui, face à la contagion. La gestion calamiteuse du charlatan sur le coronavirus en dit long sur son amateurisme ahurissant. Ses promesses sur la question n’ont aucune valeur, ne sont que des effets d’annonce et sur fond d’enfumage classique, comme tout le reste.
Le verbatim apocalyptique de la gouvernance de la terreur et de la flétrissure, digne de la Stasi, légalise sa violence comme unique solution, comme source de pédagogie.
Entre la France et le Sénégal, c’est le jour et la nuit. Ici chez nous, plutôt de communiquer par visioconférence un marqueur pédagogique e à l’instar de l’Elysée, l’intrigant – autocrate béni oui-oui, fait du bruit assourdissant, s’expose lui-même, sans le savoir, et met en danger sa cohorte de « doungourou « »ministronsalignés, tous réunis et réquisitionnés au palais pour les besoins du service de piètre qualité, et ce dans un tapage médiatico-politique, une entourloupe pour amuser la galerie.
Après avoir entendu les mesures financières et salutaires du président Emmanuel Macron et de la chancelière Angela Merkel contre le coronavirus, l’imposteur déclaré-non éclairé, décrète à son tour l’état d’urgence, et veut à tout prix les égaler. Le tumultueux, qui est toujours fidèle et égal à lui-même, n’y va avec le dos de la cuillère, dans un premier temps prétend dégainer 1 MRD 450 MILLIONS FCFA pour la lutte contre la pandémie. Dans un deuxième temps, comme à l’accoutumée, il y ajoute nécessairement et systématiquement un chiffre astronomique de 1000 MRDS FCFA, à grand renfort de publicité mensongère, tendant à pimenter la sauce- un dessein politique comme arrière-plan, qu’il appelle emphatiquement le fonds de riposte et de solidarité, soi-disant pour soutenir les entreprises, les ménages et la diaspora. Ce n’est pas une première dans la mal gouvernance d’un écosystème d’apartheid en vase clos « nédo kobandoum » à la Macky en chair et en os visiblement clinquant, clanique et bien sonnant.
Car la montagne a maintes fois accouché d’une souris. Nous avons vu et vécu. Tout cela n’est que du vent pour nous tromper et confisquer durablement la démocratie et les libertés fondamentales de conscience.