Macky Sall : ou l’itinéraire d’un hâbleur, est-il devenu et le porte-parole et le promoteur des lobbies homosexuels au Sénégal ? Par Ahmadou Diop.
Ne soyez pas pressés ! En effet, nous allons développer notre argumentaire magistral sur des faits matériellement avérés, prouvés et tangibles, que personne ne peut démentir dans le temps et dans l’espace. La vérité ne saurait être synonyme de mensonge.
Le traitre dictateur, comploteur en chair et en os, c’est celui qui est impassible, insaisissable, se cache sous les faux habits d’un démocrate. Une foi élu, candidat à sa propre succession, se maintient au pouvoir par des mécanismes douteux, trie au volet ses auxiliaires de service les plus fidèles, gagne automatiquement à chaque comédie électoral, et Change sa mouture comme une girouette, renie sa parole, sans vergogne, ni scrupules , crache par devers sur ce à quoi il était élu, se décharge, en se défaussant sur tout, gouverne par la terreur , abuse de ses propres lois liberticide, et en fait un label comme mode de pensée unique.
Macky sall : autoproclamé ingénieur des leurres, admet être un technicien. Quel technicien ? Un technicien des mensonges. Celui qui ment sur ses diplômes mentira sur tout le reste. Derrière un menteur professionnel se cache un voleur, pris constamment la main dans le sac.
D’un poste de pca à Pétrosen , une entreprise de droit sénégalais, en passant comme directeur de campagne d’Abdoulaye Wade, pour lequel il devient son premier ministre, l’arriviste-opportuniste, occupe le perchoir.
Le taciturne, fidèle à lui-même, est sorti de terre, on ne sait où et comment-si ce n’est des postes de nomination « tan sa bulanex ».
L’agent colonial, cagoulé, pour mieux sauter et rebondir demain, gravit et franchit peu à peu et facilement tous les échelons et sans encombre. Tout en travaillant à la fois dans le secret des dieux et de façon souterraine avec ses maîtres blancs, le sous-marin américano-français, prétend donner des gages à son ex-mentor, en lui montrant une apparence de façade à son ex-mentor, qui ne se doutait de rien.
Pour ce faire, le traitre tissait peu à peu sa toile à travers la planète entière avec ses futurs parrains. Alors, en 2009, le silencieux, qui a été bien engraissé dans les deniers de l’état, chercha à l’époque un prétexte,- c’est-à-dire un talisman- consistant à faire entendre, Karim Wade, le super ministre d’état, du ciel et de la terre, à l’assemblée nationale, notamment sur la gestion de l’anoci. C’est le moment de se peindre faussement sur les défroques victimaires. La suite est connue.
Le flibustier a été catapulté par effraction au sommet de l’état sénégalais, grâce à ses étranges mrds de CFA, qu’il a obtenus bassement dans des conditions totalement scandaleuses. Entre temps, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts.
Un tel pedigree, qui est devenu si riche par le miracle des postes de nomination cousus de fil blanc, ne peut que gouverner contre la volonté peuple, en abusant dangereusement de la force publique, mais protège son clan, charcute , cisaille et élague, tous ceux qui s’opposent à sa mal gouvernance ethnique. .
En l’espace de 12 ans, malgré ce qu’il affiche publiquement sur la scène nationale et internationale, les folies dépensières et les escapades superflues du pigeon voyageur dans les airs, à l’échelle planétaire, constituent un gouffre financier au contribuable sénégalais. Par son cynisme corrosif et son manque d’empathie, le délinquant de son espèce, s’est froidement enrichi gloutonnement, dans un exhibitionnisme cynique, ostensible et attentatoire et ce par les raccourcis politiques de bas étage.
Pour amuser la galerie, le revoilà encore en France jouer son rôle de pantin, de farandole et d’agent figurant comme au cinéma dans le club des G7 de la démocratie mondialiste à huis clos qui aura lieu ce week end à Biarritz
Que nenni, le parvenu, kleptocrate, a amassé une grosse fortune si colossale et possède plusieurs biens immobiliers ici ou là au Sénégal, et hors de nos frontières extra-africaine, sont estimés au rabais à 8 MRDS de F CFA, dans un pays, où la majorité des citoyens vivent dans une misère chronique, ne mangent jamais à leur faim, et qui manquent de soins de santé les plus élémentaires.
Or, celui qui s’autoproclame le parangon de la rupture et de la démocratie -mon œil- est en réalité, l’actionnaire principal de Sahel Aviation, domiciliée aux Etats-Unis et de la société Agitrans, dont Aliou Sall, maire de Guédiawaye, président des maires du Sénégal , président des élus locaux banquier, administrateurs de plusieurs autres compagnies ; ex-directeur de la Caisse des Dépôts. Aliou sall, est accusé par la BBC d’avoir touché des pots-de-vin lors de l’attribution de deux champs pétroliers et gaziers.
Je me passerai des nominations à caractère purement ethnique d’un village entier « Nédo ko Bandoum » dans toutes les structures étatiques de haut niveau.
Soyons conséquents, courageux, clairs, nets et précis ! N’en déplaise au coupable présumé et sa bande composite de fripouille alignées, cette interrogation légitime ne peut être un quelconque secret d’état, ni une offense tant soi peu, encore moins un tabou.
« Ludéfu waxu lu ay di ndiambat »- qui parle, agit, s’expose à la place publique. C’est la loi de la liberté d’expression en action. Nous ne faisons pas de la diffamation gratuite, ni de la propagande, désinformation, ni de la manipulation, tendant à l’invectiver, ou le diaboliser, pour le livrer à la vindicte populaire loin de là. Ce n’est pas notre vision de la démocratie.
En conséquence, nous ne saurions accepter l’idée farfelue, selon laquelle il fallait situer les faits accablants dans leur contexte, comme le font souvent les politicards de mauvaise foi, lorsqu’ils sont pris la main dans le sac, et en flagrant délit. Nous ne sommes pas amnésiques, ni des veaux ni des demeurés, même s’ils nous prennent pour ce que nous ne sommes jamais.
En dépit de ses mensonges récurrents, auxquels il nous a habitués, le sous-marin colonial en chair et en os, rempilera-t-il davantage à l’horizon 2024 ? La question ne se pose pas. Compte tenu de l’abondance de la rhétorique de caniveau en bande organisée qui se perle de plus en plus à la pelle, nous devons être vigilants et sur nos gardes. Plus les mensonges deviennent gros, mieux ça passe dans les consciences abimées.
Pour sa fidèle indéfectible à l’égard l’oncle SAM et du pays de Marianne, pour lui avoir bradé tout le pétrole et gaz du Sénégal. Les marchands d’illusions timbrées « les agents secrets spéciaux officieux » s’activent en nébuleuses tractions souterraines, on ne sait pour quelle raison, et se convertissent eux-mêmes en experts dociles de la géopolitique, tentent vaille que vaille de peindre la marchandise avariée, pour la vendre, de sorte que la pilule amère passe de nouveau en 2024.
Une telle idée contradictoire, insolite, selon laquelle le Sénégal est un allié de premier plan des États-Unis , mais le pays de la téranga , est soumis, sous le règne du kleptocrate béni oui –oui, nègre de service, demeure plus que jamais un satellite -vache à lait, parmi tant d’autres en Afrique des guignols, pour dire la vérité. Contrairement à ce que l’on peut penser ici ou là, le 12 janvier 2018- Donald Trump, le suprémaciste blanc colonial, a qualifié les pays africains de « pays de merde ».
Le dictateur en place, dont l’impunité constitue une déclaration de guerre, protège son frangin AlIou Sall, son entonnoir, prête-nom, circule librement et tranquillement, en échange en 2024. Est-ce à dire que le béni oui-oui des intérêts colonialiste et des dénégations cataclysmiques, quoiqu’il arrive, serait encore parrainé par devers par le philtre magique de la même communauté internationale impérialiste, autoproclamée ? Entendez 3 pays.
Le monde appartient à ceux qui ont des puissances de feux. Les dividendes politiques, économiques, financiers, exogènes, passent avant le droit humain. Le pétrole et gaz du Sénégal couleront à flot, seront livrés pour un sou à la compagnie américaine et autres, mais au détriment du Sénégal. Je le répète encore, tout autocrate de son rang, est toujours soutenu par de gros bras invisibles.
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Cela en dit long sur un remake du pacte de Quincy, signé le février 1945 entre le président Roosevelt et Abdel Aziz ibn saoud, qui s’est autoproclamé roi , à la suite de l’accord de protection avec les britanniques en 1914. certains discours alambiqués bien huilés cherchent à accréditer l’idée, selon laquelle le caniche de l’occident, ou le maître des paroles dédites, pourrait remporter haut la main la comédie électorale présidentialiste en 2024. Est-ce à dire que les lobbies travaillent d’arrache- pied ?
Nous n’inventons rien, puisque les faits accablants parlent d’eux-mêmes, nous donnent la chair de poule. Pour qui se prend-il pour interdire tout et n’importe quoi ? Au Pakistan, on s’en souvient, le traitre commandait et testait des armes, que les citoyens payent eux-mêmes.
Si Macky Sall veut se donner la qualité d’un vrai dirigeant en action, prétend lutter contre le terrorisme djihadiste invisible dans le ciel sénégalais dégagé de toute terreur.
Au lieu de jouer le pantin, il feraitmieux d’emprunter les traces de Lat Dior Ngoné latyr Diop et montrer ses biceps avec l’armée, pour les combattre, s’il les voit sur le terrain. En ce moment là, on verra bien. Le monarque-président n’est jamais une institution, qu’il prétend incarner. Idem pour la constitution étrangère.
C’est une insulte et un blasphème contre le peuple, qui reste plus que jamais la véritable institution dans les faits. Sans celui-ci il ne serait rien.
Les populations africaines sont incapables d’en finir une fois pour toute avec leurs autocrates qui leur pourrissent quotidiennement la vie. C’est une spécificité indigne mondiale.
Si en Afrique, les traitres agissent en bande organisée et en toute impunité, violent, piétinent et foulent du pied les constitutions fictives, qu’ils considèrent comme des poupées, c’est parce le droit international se conçoit à sens unique et dans la cour royale de ceux qui l’ont élaboré que pour eux-mêmes. En d’autres termes, pour garantir leur impunité, les pantins satellites calent leurs intérêts à ceux de leurs maîtres.
L’avenir de l’Afrique dite francophone, vassalisée se décide ailleurs dans les palais feutrés occidentaux, en lieu et place des populations africaines méprisées. Et pour cause. Alassane Ouattara, le putschiste ethnique, pro-colonial, le béni oui-oui, a modifié à sa propre guise la constitution et livré tout le cacao aux lobbies chocolatiers du côté de l’hémisphère nord, et modifié la constitution, et dont le deuxième mandat et le dernier s’achève en 2020, déclare. : « La Constitution me permet de faire deux autres mandats ». S’il a eu un tel culot, c’est qu’il est encore utile aux gros bras qui le soutiennent mordicus.
Pour preuves, la Côte d’Ivoire aurait reçu une aide américaine de 525 millions de dollars, visant à soutenir la croissance et à encourager les investissements privés.
Derrière Alassane Ouattara, Macky Sall, l’autre pédigrée, le caniche de l’occident, n’est jamais loin, sera élu l’homme de l’année. Pétrole et gaz du Sénégal obligent.
Les bonnes expertises sur la thématique terroriste en Afrique relèvent-elles de la volonté des marchands d’armes et des puissances de canon ? Autrement dit, les chantages, la stabilité et la récurrente sécurité de la zone sahélienne dépendent-ils des élites satellites des courbettes, avec comme arrière-plan, la géopolitique, tendant à dominer toute l’Afrique à l’échelle continentale, et ce sur fond de mépris et de la présence militaire permanente colonialiste suprémaciste blanche ?
Juin 2013-{VIDEO}Macky Sall s’exprimant sur les droits des homosexuels à l’Université de Harvard: « Il faut protéger les minorités ».
La vidéo virale, était visible à l’époque, disparaît miraculeusement dans les radars de youtube, mais le titre parlant, reste plus que jamais de marbre sur internet. Le menteur professionnel profanateur, voleur au double discours contradictoire, fidèle à lui-même, en rajoutait délibérément une couche épaisse supplémentaire, je le cite textuellement, « qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème », mais se garde bien d’en dire autant pour nous les musulmans.
27/juin /2013 : Curieusement, lors de la visite à Dakar du président américain, Barak Obama, la girouette insaisissable, change et édulcore encore son discours, déclare ceci : « La société sénégalaise n’est pas encore préparée à ça ». En terme clair, selon lui, au fur et à mesure que le temps passe, nous finiront par lâcher du lest , en l’intégrant dans nos valeurs, qu’il méprise et pour plaire à ses maîtres leuco dermes.
Constitution poupée, articulée au paradigme universaliste, colonialiste.
Pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, celui qui est au pouvoir par l’esclandre de ses mrds de francs CFA, qu’il a bien volés dans les deniers de l’état sénégalais, plaide pour la cause et les faits de l’homosexualité, crypte son langage. Lequel laisse apparaître nettement entre les lignes, qu’il s’agit bien d’une question de temps, pour croire pouvoir avaler la pilule amère, passe par derrière, en la légalisant ouvertement de facto dans les faits, les mariages homosexuels à la place publiques et dans les mœurs qui sont de plus en plus en décrépie.
Pour la première fois au Sénégal, sous Macky Sall, la Taupe et le Caniche de l’occident, des homosexuels présumés ont eut le culot de porter plainte contre l’imam Kanté. Un surréalisme insolite qui en dit long sur une justice qui est aux attaches d’une constitution moribonde, importée, se substitue à nos modes de pensée.
En vérité, une telle intrusion de l’extérieur constitue une insulte flagrante permanente contre la mémoire d’un agrégat d’hommes et de femmes de tout un peuple, ont la même histoire et la même culture, que l’on ignore et piétine, et au nom d’un paradigme prétendument universaliste, conquérant et repoussant jusqu’à l’abîme.
Laïcité, séparation des pouvoirs entre l’église et l’état, ou la symbolique idéologique des valeurs culturelles politico- c chrétiennes ?
Au lieu de baptiser la république sénégalaise, qui aurait pu avoir une résonance particulière et une autre tonalité remarquable, à l’instar de la république française et la république algérienne démocratique populaire, le pays de la Téranga, s’appelle affreusement la république du Sénégal : une sémantique inadaptée, décousue de fond en comble, que nous déclarons solennellement nulle et non avenue, soit laïque-dans un pays majoritairement musulman à 95 %- un comble de l’incongruité abyssale.
Dans les faits tangibles, la laïcité est une escroquerie, un mensonge. Il n’y a pas de pays laïcs, car le terme laïcité, est une notion abstraite, n’est qu’une manœuvre et une habileté politique savamment orchestrée, mais la réalité est toute autre, chez les pays les plus bavards, qui s’auto déclarent eux-mêmes les parangons de la démocratie, de l’égalité, que sais-je encore ?
Lorsqu’il s’agit de la religion, qui est elle-même par définition, la pierre angulaire de la politique. Telle une huître, l’Europe, reste mordicus sur ses valeurs propres chrétiennes et culturelles, y compris les autres pays indépendants, souverains et libres, tandis que l’Afrique poinçonnée francophone, aplatie sur toute la ligne, et sous tutelle coloniale, suscite l’appétit, à qui on dicte servilement des constitutions photocopies, taillées sur mesure à l’échelle des pays accroupis et en tete desquels des soi-disant élites ethniques, larbinisées jusqu’à la moelle, s’exécutent machinalement, mécaniquement et promptement à la demande du gendarme colonial, le tout-puissant, malgré ses discours trompe-l’œil.
Sous Macky Sall, tout prêche d’imam qui prône la droiture et le respect des préceptes de l’islam vrai, est synonyme de terrorisme et casus belli, ou source de déstabilisation de son régime foutoir.
La platitude manifeste du minable macky Sall révèle scandaleusement la capacité de nuisance d’une arme de destruction massive et de pillage systématique au point qu’elle plombe les mécanismes fonctionnels du développement au Sénégal. Il faut le dire tout haut à la place publique et sans langue de bois aucune.