LE BLOG D'AHMADOU DIOP

QUAND L’HYPOCRISIE DE LA SURCHARGE PONDERALE, OU LE COROLLAIRE DE LA PANDEMIE NOUS ENCODE PAR SA RHETORIQUE CREUSE ET VIDE.PAR AHMADOU DIOP CPC.

MOSIBA BIIFINEK-le Satan  en chair et en os  n’a rien  envier à son corollaire   CORONAVIRUS  politise à ciel ouvert la  pandémie apocalyptique.

Face à la dynamique  pandémique, à quoi donc  joue son corollaire, Macky Sall ?  Le  Sénégal est-il  donc  devenu le seul pays d’Afrique de l’ouest  le plus  atteint  par la contagion ?   Qu’il s’agisse  du choléra, du paludisme séculaire ou d’autres maladies répétitives  des pauvres, silence radio.   C’est ça la vocation  d’un cynisme profanateur  qui  dit en long sur une république fantoche  des prédateurs et des rapines en bande organisée, fait du bruit hystérique sur la question préoccupante, parle plus qu’elle n’en fait en termes de progrès pérennes. 

Pour rappel, aux yeux du dictateur béni oui-oui, le principe de précaution contre le coronavirus, est supérieur à celui du virus Ebola, qui  continue de tuer massivement en Afrique, notamment en RDC,  l’ex Congo belge.

Plutôt de commander du matériel de répression, il vaut mieux  développer une politique  dynamique de santé en action matérielle, en mettant le prix à l’appui. Sans la santé, il n’y aura pas de survie, ni d’avenir pour tout pays qui l’ignore. Le champion- chouchou valet de l’occident préfère  s’enrichir   lui-même  gloutonnement  et grossièrement,  et sur l’autel de l’égoïsme insolent,  planque  de plus en plus dans le secret absolu,  son magot si considérable dans ses  nombreux comptes bancaires  ouverts  à  l’étranger et dans des paradis fiscaux, et ce à l’abri des regards indiscrets.

mercenaire irrécupérable, narcissique de classe exceptionnelle,  ne s’arrêtant  pas là,  protège aussi  toute sa famille immédiate,  y compris son clan et ses obligés.

Tous sans exception  sont à l’abri de tout  besoin réel. Alors tout en restant sourd et muet,  face aux hôpitaux d’indigénat,  lesquels sont devenus des mouroirs  à ciel ouvert, notamment le Dantec manque de tout  et les  soins les plus élémentaires.

Voilà donc la caractéristique  d’un régime moribond,  machiavel, autoproclamé l’émergence  des leurres, dans lequel les mensonges en abondance servent de rigueur ! Le prédateur occulte par devers et balaie  d’un revers de main  et à bras raccourcis  ses moult  crimes économiques imprescriptibles tous genres,  en particulier le pétrole et gaz du Sénégal, dont il est comptables  devant l’histoire.

Face au coronavirus intempestif auquel se sucre   le gouvernement de  capharnaüm  et de la flétrissure fait  tant de  bruit, se donne de la voix, ambitionne  de sévir  partout, sous le prétexte de sauver  des vies.  Et l’affluence nauséabonde, corrompue, toujours prompte, convertie en machine toxique à contribution,  s’arroge effroyablement  le relais de la mal gouvernance passe en boucle l’abondance de  la politique de la poudre aux yeux et la Com  des charniers de mensonges cataclysmiques.

Un bien grand mot. Un masque de théâtre. Une marque de fabrique très emphatique, utilisée fréquemment en politique pour coopter l’auditoire présumé crédule. La Com est une dialectique. La Com est l’ensemble des stratégies élaborées au service d’un homme politique, de manière à orienter le public pour qu’il adhère, en faisant cause et fait de ce dernier. C’est une philosophie, un art qui s’acquiert.

Le Communicateur est un idéologue habile, un professionnel  émérite, réquisitionné pour les besoins du service.

En fait, l’objectif majeur, c’est de retourner l’opinion publique, dubitative, en faveur de son envoyeur. C’est sa mission.  C’est un imposteur à l’apparence respectable. C’est le résultat qui compte.

Le plus souvent, il retourne sa veste en fonction du climat, selon qu’il soit en bonne posture, au bon moment et au bon endroit. Dans nos sociétés abâtardies politiquement, hier, le pourfendeur incurable, sans merci, se métamorphose en caméléon, en griot assermenté du maître momentané du palais. C’est un opportuniste qui vend sa plume aux plus offrants.

Il confond sciemment opportunisme et intellectualisme.  C’est un génie de la contrefaçon, contreproductive, un pressoir impénitent, agissant au gré du vent, selon ses propres pulsions.  Oui, mais qui sont donc ces  professeurs émérites, docteurs ès lettres, dans l’art des dithyrambes et qui mutent constamment comme des serpents ?

Pendant que  les campagnes rurales abandonnées, les plus  vulnérables,  exposées sont laissées  elles- mêmes  sur le quai  et pour compte,  trinquent et trépassent, meurent quotidiennement  de faim tout et par manque de considération, et à l’indifférence quasi générale.

QUAND L’HYPOCRISIE  DE LA SURCHARGE PONDERALE, OU LE COROLLAIRE DE LA PANDEMIE NOUS ENCODE PAR SA RHETORIQUE  CREUSE  ET VIDE.

Le  maître du bluffe  s’abonne à des folies dépensières, excessives   prétend se donner lui-même  une bonté de façade sur la contagion en cours  au Sénégal et  dans   le monde. Pour  se donner une  conscience  imaginaire, il  verse des larmes de crocodile,  en alignant, soi-disant  le chiffre fictif  de 1 MRDS 450 FCFA millions pour la lutte contre la transmission mortelle.

Alors que   le virus Ebola  faisait des  ravages  en Afrique,  le même impassible    clouait  le  bec aux journalistes sénégalais.   En revanche,  il change  de tonalité à bras raccourcis   au moment où toute  l’Europe est directement concernée  sur le coronavirus. La vie  de l’homme blanc vaut-elle donc plus que celle des africains ? Et pour cause.

Le bougre de naissance, Caniche de l’occident épie et  copie systématiquement  et textuellement la France interdit  TOUS LES RASSEMBLEMENTS ET SUSPEND LES COURS DANS LES ECOLES ET UNIVERSITES.

   À contrario, le paludisme  qui  est aussi mortel que le coronavirus  n’a jamais  suscité autant de débats  cataclysmiques  sur le continent européen et du côté de l’hémisphère nord. Autrement dit,  seul le coronavirus est présumé universaliste par sa dangerosité. La recherche d’un vaccin contre la pandémie qui défraie la chronique, devient  absolument une urgence prioritaire, alors que son corollaire tropical  décimant des milliers d’africains n’est  jamais dans les  champs d’action  des laboratoires atlantiques.

La nature ne passe pas deux fois dans son processus d’évolution, écrivait et martelait,  l’honorable Cheikh Anta Diop,   kamit- panafricain historien, égyptologue, scientifique hors-paire, le plus élevé de tous les temps.  Selon la volonté de la nature, le monde  est divisé en deux zones distinctes : il y’ a le climat tempéré et le climat tropical.  Au-delà, de plus 22 degrés, le  coronavirus  sera vaincu et neutralisé.  La preuve est la grippe prolifère  quand il fait froid, mais s’arrête dés que le soleil apparaît plus chaud.

 Au fur et à mesure que les chiffres bidonnés, apocalyptiques deviennent grotesques, la surenchère décousue se corse au Sénégal, reste comme jamais exclusivement le seul sujet de préoccupation majeur. Car le politiquement incompétent de la tète aux pieds, mélange tout,  tue la vérité, sème sciemment la panique,  crée la psychose permanente, la zizanie et la confusion, cherche à tout  prix  à impose  sa marque fabrique satanique,  désigne  automatiquement  le coronavirus comme étant  le bouc  émissaire, le mal  absolu,  s’accroche mordicus  à la thématique en grande pompe  de  ceux qui lui donnent des ordres. 

  Le paludisme présente les mêmes symptômes que le coronavirus.  Les victimes du choléra, du paludisme et du sida seront systématiquement  comptabilisées dans le bilan  chaotique de la pandémie. Ce  n’est pas une question  de couleur, qu’on  est  à l’abri de toute maladie. La notion de race n’existe pas en biologie.  C’est lié strictement  à la géographie dans laquelle on se trouve.

À chaque camp correspondent  ses maladies  spécifiques qui lui sont propres. En Afrique, le paludisme prospère, tandis que  de l’autre côté les virus  se multiplient,  circulent en toute circonstance, là où il fait froid.   Quand il fera chaud en France, la pandémie sera considérablement réduite et disparaîtra  totalement.

 Le vassal nègre de service de l’occident n’en démord jamais, imprime sa marque de fabrique totalitaire, ferme le consulat général du Sénégal à Bordeaux, fait la même chose, provisoirement  à Madrid, nous dit-on à cause du coronavirus.  En fait tout sert de prétexte et fourre-tout pour confisquer durablement la démocratie autant que cela est nécessaire.

 Je l’ai déjà martelé à maintes reprises, le tourniquet en profite tente par la baguette magique, pour croire  compenser en un quart de tour  son incurie et son amateurisme, le coronavirus. Il  joue sur deux tableaux, à dessein  d’y trouver une bouée de sauvetage sur le coronavirus,   espérant redorer son image qui est plus ternie, et  une  virginité imaginaire sur la thématique terroriste,  pour oublier ses trahisons, notamment  le report  sine die des locales et des législatives.

COTE D’IVOIRE : OUATTARA PRECISE QUE SA DECISION DE RENONCER AU 3ème MANDAT N’A PAS VOCATION A FAIRE JURISPRUDENCE.

Il s’adresse entre les lignes  tacitement  à son acolyte kleptocrate,  Macky Sall, pour lui dire qu’il n’est pas obligé de le suive.  D’un coté, bien avant la pandémie,  le dictateur en place,  prend les devants,  a reporté  unilatéralement et les locales et les législatives sine die, monopolise par devers ses dépités fanfarons et aux ordres.  

Mais  aussi extraordinaire que cela puisse paraître, en même temps, il réquisitionne à tout moment son assemblage de godillot de service,   apparaît en toute circonstance disponible, continue de voter les yeux fermés et la tète baissée, des  lois antidémocratiques, dont l’objectif est de torpiller le suffrage universaliste.   Au nom de la lutte contre la pandémie du coronavirus, il  réunit ses ministrons  au garde-à vous, et nomme à tout vent, ses cancres béni oui oui, défroqués et bien dévoués, et sans discontinuer, et  interdit tout rassemblement à la place publique.

 Qu’on le veuille ou non, le respect, la souveraineté monétaire et la défense nationale  constituent immanquablement  la caractéristique essentielle  le génie et la grandeur  d’un pays souverain,  libre  et indépendant.  Tous ces éléments  interactifs sont corrélatifs à la faculté mentale  et par la capacité  intrinsèque de ses élites clairement  altruistes  à l’endroit et au degré de  conscience  de son  peuple d’agrégat d’hommes et de femmes,  tous debout et fiers de l’être,  se prennent eux-mêmes  en charge, et ce sur des bases voulues.

Un pays  véritablement émergent, souverain, libre et indépendant se distingue nécessairement  par sa résilience patriotique indemne. C’est la règle de ceux qui ont eu une histoire remarquablement matérielle. À contrario,  les slogans creux et vides relèvent  du domaine exclusif  , ne sont que des écrans de fumée,  trompe-l’œil, des bourriques suffisantes, et des attardés ne jurent que par la charte de l’impérialisme. Point ni  n’est besoin  d’ergoter, ni d’être énarque, ou  expert en la matière.

Un pays qui ne maitrise ni son économie, ni sa souveraineté monétaire, politique, ni sa défense nationale,  n’a pas d’avenir

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