LE BLOG D'AHMADOU DIOP

QUI EST DONC L’INDIGNE MENTEUR PROFESSIONNEL AU SÉNÉGAL JUSQU’À L’ABÎME, QUI LE PROUVE SUR LE TERRAIN DU CRIME ? PAR AHMADOU DIOP CPC.

Décidément,  le ridicule ne tue plus dans notre pays étrange et à la renverse, le Sénégal, perd peu à peu ses valeurs et au fur à mesure que le régime prédateur des canailles en bande organisée,  le  plus scandaleux, le plus corrompu de toute l’histoire  au Sénégal. Un  tel moribond  par ses casseroles ubuesques, torrentielles, inverse les rôles, bande ses muscles si  plastiques, utilise par devers  la force publique, imprime sa marque de fabrique totalitaire par sa lâcheté congénitale.

Lequel par ses tintamarres surréalistes, exceptionnels reporte sine die et les municipales et  les législatives, fixe le  tempo et entretient en même temps  le doute sur l’illégalité évidente du 3 ème  mandat, est source de trahison et de casus  belli. Chassez le naturel, il revient toujours au galop.

Qui  est donc l’indigne professionnel  menteur  au Sénégal  jusqu’à  l’abîme, qui le prouve au Sénégal sur le terrain du crime, et dont  la parole n’a jamais  valu un sou ?  Ce n‘est  pas un scoop et  regardez  dans la direction du palais « Alpulaar nédo ko bandoum ».

 La bête immonde, qui reprend du poil et du  service, tient à blanchir  et  laver à grande eau celui qui l’engraisse,  n’y va plus de mainte morte. Elle n’est pas  la seule. La même  multitude  des canailles unifiées s’abreuve des eaux troubles de l’apr, ou le symbole des troubadours réunis  en conclave.

Le régime  fantoche, négationniste  et capitulard, nihiliste, suffocant, continue sa fuite en avant.  Pour cela, malgré son piètre bilan, qui est de plus en plus chaotique, AbdouMbow, le  fourvoyé sémillant mécaniquement, qui s’est lamentablement  en  «  doungourou », envoyé aux charbons, ou l’une     des  vermines captives , dévergondées, tondues et   bouffonnes  de service, de  son rang, catapulté  le nouveau 1 er  vice-président de l’assemblage de godillot,  défraie hystériquement la chronique.

Et ce, à dessein de croire sauver  par la baguette magique  et à bras raccourci  le déshonneur en lambeau  de son  mentor,  menteur professionnel jusqu’à l’abime. Pour cela, le mercenaire tente vaille que vaille et par la petite porte d’arrondir les angles et cintrer les coins.

Comme si le leader Pastef doit être  l’homme à abattre à tout prix. Comme on dit, ceux qui se ressemblent,  s’assemblent, s’accommodent et s’unissent  à jamais, n’est-ce pas ? À chaque scandale  qui n’est jamais tiré a clair,  la république pro coloniale  des passe-droits, des privilèges indus,  des  proxénètes ethniques en rajoute des contre-feux  en abondance, tendant à se croire tirer d’affaire et au nom de la Com` des charniers de mensonges  cousus de fil blanc.

Que fait donc le chagriné  Abdou Mbow sur la prétendue Structure  Bidon, ou  l’Association Servir le Sénégal pour Asservir le Sénégal : une grosse arnaque, l’embrouillamini  mystificateur d’une Famille paresseuse ?

Que fait donc le chagriné  Abdou Mbow sur la prétendue Structure  Bidon, ou  l’Association Servir le Sénégal pour Asservir le Sénégal : une grosse arnaque, l’embrouillamini  mystificateur d’une Famille paresseuse ?

 Le camérier  du mulard est-il  donc aveugle   sur les scandales du Coud et d’autres affaires scabreuses  à la pelle et   couper le souffre, comme le prodac, que sais-je encore ? Evidement, le mercenaire se nourrit en toute circonstance et sur son mandat de dépité, d’appartenance à l’engeance maléfique, maçonnique,  ne peut pas en  parler  au risque de mettre en péril sa vie menacée  de faim.    Les faibles d’esprit  n’ont aucune conviction politique.  Ils ne roulent  qu’au gré du vent et pour eux-mêmes, selon la météo du moment et les rétributions financières.

Aussi étrange que cela puisse paraître, les médiocres de référence, font leurs propres  lois, sont beaucoup plus  structurés que l’ensemble d’un pays entier  apparenté soumis, résigné  et fataliste.

Je le rappelle et le répète pour cause.Nos frères militaires  maliens, qui sont plus courageux que nous, ont mis  en action leurs biceps, et  délogé avec une remarquable prouesse  patriotique  l’un des valets  de la Françafrique, IBK.  Le gouvernement de transition ne durera que 18 mois. La junte militaire l’a promis par écrit et à voix audible.  Le kidnapping du leader de l’opposition par des djihasdistes  et les dernières parodies législatives  avaient mis le feu aux poudres.  N’eût été le réflexe patriotique des militaires, non seulement, il n’y aurait ni changement, ni aucune libération du chef de l’opposition, encore moins des autres otages occidentaux.

Quant à nous, nous resterons  léthargiques  jusqu’à la lie par notre somnolence atavique, abyssale, pour n’être que  des éternels abonnés  absents, au point que nos incantations stériles en pis, nous égarent, nous perdent, sont devenues  synonymes d’abdication réactionnaire, voire de couardise, de résignation et de fatalisme.

Le régime présidentiel,  prédateur, illégal, politiquement, moralement, juridiquement,  tel qu’il a été conçu  arbitrairement et tyranniquement    par n seul homme constitue, par définition, la clé de voûte de notre régression totale

Le budget extensible de la présidence de la république est si colossal : un secret  bien gardé, dont personne ne connaît réellement le chiffre exact.   Ce que l’on sait d’avance, c’est qu’il atteint  au moins la somme astronomique de 120 MRDS FCFA chaque  année.

Silence coupable   et bouche  motus cousue sur la loi  de l’omerta,  d’un scandale, qui n’a que  trop autorise toutes   les dérives cataclysmiques, récurrentes   d’un  paresseux  président-monarque, qui  vit éternellement  aux  crochets  et aux rackets  des citoyens et des citoyennes, que l’on  considère comme étant  un matelas  financier extensible.

Le budget de la présidence de la république  s’est transformé  allégrement  « en caisse  blanche »  toxique, permet de corrompre  légalement et  librement  sa clientèle de canailles et une certaine  classe politico- religieuse. Au Sénégal on ne dresse que les éloges du président-monarque. Celui de l’assemblée nationale tourne aux environs de 15 ou 17 MRS FCFA.

La cour des comptes et les autres  supposés organes de contrôle institutionnels n’ont qu’une existence virtuelle, se soumettent,  prêtent  allégeance  la  tète baissée  à celui  qui promeut  ouvertement  la  trahison de la   culture de la trahison .  C’est une spécificité  sénégalaise et africaine, abracadabrantesque  surréaliste.  En France, le budget  de l’Elysée  est sous le contrôle de la cour des  comptes. Celui de l’assemblée nationale est rigoureusement gérée jusqu’au moindre centime d’euro.  

L’étrange constitution, moribonde, étrangère  même, est  par définition, articulée  à la démocratie de la  charte  de l’impérialisme, n’a jamais prévu   ni   de près, ni  de loin, peu ou prou,  des fonds politiques, ni des fonds spéciaux, ni une quelconque caisse de ce genre,  que l’on appelle intempestivement  et impunément  une  caisse noire, par ignorance, relève incontestablement «  d’une monarchie blanche ».

Alors,  entre Ousmane Sonko et Macky  Sall, l’ennemi publique numéro un,   le trompe-l’œil, le  coupable  traitre versatile,  le Casseur du Siècle au Sénégal, est tout  trouvé.  On ne peut pas  tourner le débat   autour  de  Mansour Faye,  qui n’est  rien sans les largesses indignes de  son beau-frère, en l’occurrence, le juge et partie,  le chantre du népotisme, de la transhumance, des transvasements, de la  corruption et de la pagaille à tout vent.  

 En vérité, celui qui n’a aucune parole donnée, minime, soit-elle,  ni moralité  peu ou prou, c’est  le tonnant, clinquant, indigne d’un  dictateur en place, revient sur ses promesses électorales, se décharge de tout,  comme  si rien n’était, notamment sur la non réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, brade à huis clos  les yeux fermés  toutes les ressources vitales, et surtout  pétrolières et gazières  du Sénégal.

Et  en échange des services rendus, ses protecteurs tapis dans l’ombre, qui ne défendent ni la démocratie, ni les droits humains, mais leurs propres intérêts  mal placés, se gardent bien doigt, encore moins de se mêler dans les affaires internes sénégalo-sénégalaises. Alors que sous d’autres cieux, ils étaient très loquaces.

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