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Argentine : Voici les images horribles du sénégalais sauvagement battu par 12 policiers à Buenos Aires

Marchand ambulant à Buenos Aires, en Argentine, un Sénégalais du nom de El hadji Mansour Thiam a été sauvagement battu par 12 policiers. Le drame a eu lieu à Flores, un des quartiers de la capitale d’Argentine.

Hier, Après midi, encore une fois, la police de la ville a réprimé les vendeurs de rue. Encore une fois, la victime était un sénégalais, qui a fini par être hospitalisé après avoir reçu des coups sur la tête. Les actions courageuses des passants ont empêché les policiers de le prendre en détention. Comme le dénonce Alejandrina Barry, député de Buenos Aires, « Ce ne sont pas des policiers qui sont lâches, mais c’est une mauvaises politique envers les plus démunis de la ville ».

Bien que l’information n’est apparu sur aucune chaîne de télévision, une fois de plus la police municipale a réprimé les marchands de la rue. Cette fois l’incident s’est passé à l’intersection des rues Avellaneda et Cuenca dans le quartier de Flores.

C’est encore un sénégalais qui a été brutalement battu par la police de Larreta. Mais cette fois-ci, grâce aux actions courageuses de dizaines de passants, il n’a pas été arrêté même si sa marchandise a été emporté par les hommes en tenues.

La confirmation qu’il s’agit d’une politique du gouvernement de la ville est démontrée par une approche systématique de cette action policière, qui remonte à plusieurs années. En 2018, la Commission contre la violence institutionnelle du pouvoir législatif, présidée par la députée du Front de gauche, Myriam Bregman, avait rendu compte des allégations de persécution, de coups et de répression contre des vendeurs ambulants de la rue.

Le président de la même commission, Alejandrina Barry, actuelle députée de Buenos Aires, a désigné son groupe comme « un outil pour organiser la lutte contre de telles actions policières et politiques ».

La cruauté de la police de la ville contre les marchands ambulants est une politique de l’État de Larreta, tout comme la xénophobie contre les immigrants principalement originaires du Sénégal. Cela a été dénoncé en 2018, lorsque la Commission contre la violence institutionnelle a ouvert la porte du Parlement de Buenos Aires pour déposer sa plainte auprès des législateurs et des organisations de défense des droits de l’homme.

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